samedi 16 novembre 2013

NICOLAS DEMORAND ET LE RACISME

Nicolas Demorand, directeur du quotidien « Libération » s’est mué en un nouveau ZORRO, sortant son sabre vengeur pour démolir le racisme en France:
Maque de pot, le pauvre journaliste s’est pris les pieds pas dans un tapis mais carrément dans un magasin rempli de tapis. Eh oui, le journalisme de supermarché, vite fait, pas cher et mal fait, ca crée des dégâts ; et des dégâts il y en a pas mal dans sa bafouille à deux cents.
D’abord il découvre un vent de colère qui est « la manifestation d’un effroi face au délitement de ce qui nous tient ou nous tenait unis, rassemblés dans une même histoire et une même géographie. » Mais il somnole depuis combien d’années, sinon des décennies sieur Demorand ? Car ca fait un bail  que ce délitement est une réalité dans le paysage du pays, que les liens qui nous tenaient unis ne sont plus une réalité dans  ce que des auteurs ont nommé « Les territoires perdues de la République ». Je n’ai pas besoin de les citer, tout les gens sans œillères, c'est-à-dire 90 % de la population (à l’exception de certains bobos des quartiers huppés de la capitale) connaissent bien la situation.

Lui, de sa haute position à la tête de Libé découvre le fil à couper le beurre : c’est uniquement depuis quelques mois que des manifestations racistes se font connaître. Bien sur, les excès dont il fait écho sont condamnables. Mais résumer le racisme uniquement à ces phénomènes récents démontrent une méconnaissance terrifiante de la réalité du pays ou une mauvaise fois totale (j’opte pour la deuxième hypothèse) Car « apparemment »  il ne connait pas :
-        Ni le racisme anti-blanc proféré partout par les « Indigènes de la République » et accolites dont le porte parole Houria Boutedja s’est fait connaître en traitant les français des « souchiens » ; dans des manifestation diverses, les émules de ce groupuscules ont crié « mort aux faces de craie »
-        Ni le racisme anti-français des groupes et individus divers proférant des obscénités que je n’ose même pas reproduire dans cet article ; dont des groupes de cesoi-disant art  appelée rap se sont fait  une spécialité, sans que personne dans l’univers (de plus en plus restreint) de la gauche bien pensante ne s’en émeuve. Demorand inclus.
-        Non plus la haine anti-juive dans des zones et quartiers entourant la capitale et des grandes villes de France, haine manifestée à satiété, jusqu’aux agressions physiques.
L’incompétence de M. Demorand ne s’arrête pas là ; il englobe dans les actes racistes les jacqueries bretonnes et les huées pendant le discours u Président de la République ! Rien que ca ! Alors mon petit Demorand,  si je critique la politique du gouvernement je suis aussi un raciste ? Ou peut-être de vous ridiculiser, c’est bien sur du racisme anti-Demorand…
Ce n’est pas fini !
Il  amalgame l’antisémitisme et l’islamophobie. Or tout élève de terminale sait que le premier est une haine contre une population bien définie (les sémites) tandis que la deuxième – comme le nom l’indique – est une phobie, donc une peur incontrôlée, pathologique envers l’islam. Sur le plan juridique la différence est de taille aussi : le premier est un délit, le deuxième non, personne n’est responsable de sa phobie, tant que celle-ci n’amène pas vers des actes délictuels. Tout élève de terminale le sait, Nicolas Demorand non !

Voilà où est arrivé le journalisme de gauche (pléonasme) où est le niveau intellectuel des prêts à  penser issus de l’école de journalisme.

mardi 12 novembre 2013

UNE HONTE, J’AI HONTE.

Tout le monde (ou presque) connait le désastre de la politique actuelle de nos dirigeants et principalement du premier d’entre eux, le Président de la République, François Hollande. On peut comparer les effets ravageurs de sa politique  avec le typhon qui a provoqué les dégâts subis par le pauvre peuple thaïlandais, la décrédibilisassions internationale en plus.
Mais hier, le 11 novembre 2013, sur les Champs Elysée, les français assistaient à une manifestation de grande importance, en souvenir de la Grande Guerre et ses souffrances et en honneur des militaires morts pour la France. Les sifflements, les huées, les incidents provoqués par une partie de la foule m’indignent, me font honte car c’est une salissure, encore une, à la dignité du pays. Ce sont des manifestations d’un mépris pour ce qui reste de la dignité nationale. Ce sont des manifestations qui résultent de l’abandon de l’autorité à tous les niveaux, de l’abandon de toutes valeurs morales dont celui du respect de la nation et de ses symboles. Et ceci depuis plusieurs décennies, depuis que le laisser-aller, la permissivité totale, le slogan « est interdit d’interdire » sont devenus monnaie courante, une idéologie souveraine dans notre pays.
Ceci me fait penser aux conséquences qui seront inévitables le jour où toute l’autorité publique serait inopérante : les hordes de ces  écervelés haineux se rueront sur nos maisons, sur les membres de nos familles pour piller, tuer et détruire tout ce qui veulent ou tout ce qui se présente sur leurs chemins. C’est à cela qui nous conduit une politique de laxisme généralisé, la création d’une populace qui ne craigne rien, tout étant permis.
Il est grand temps qu’une autre politique soit mise en place, une politique de réhabilitation d’une discipline républicaine, du respect pour nos valeurs, pour les maîtres de l’école, pour les parents, et surtout pour les représentants de nos institutions : policiers et gendarmes, pompiers etc.
J’attends de nos gouvernants futurs, dès leur prise du pouvoir, une mise en place des lois fortes et justes –si nécessaire sous forme de décrets - avec des peines indiscutables - pour toute manifestation de haine à l’égard du pays, de ses symboles, de ses représentants qu’elle soit violentes ou par paroles. Que les rappeurs qui instillent cette haine dans les têtes écervelées de certains jeunes soient punis ; que les parents d’élèves qui refusent des matières enseignées à l’école soient punis ; que les représentants de cultes ou des associations qui incitent au refus de la légalité républicaine soient punis ; que des actes  conduisant à la détérioration ou la destruction des biens publics soient punis. Et enfin, que toute zone de non-droit, toute parcelle de « territoire perdu de la République » soit reconquise. Et tout cela, sans la possibilité que des troupes d’avocats en connivences avec des juges marqués idéologiquement, puissent faire obstruction à leur application. Et sans tenir compte des cris d’orfraies des « commissaires de la pensée » français ou de Mme Reding la suffisante, inutile et nulle commissaire européenne des droit de l’homme.
Il est grand temps que le pays retrouve un minimum de légalité réelle et de respect envers elle-même, pour retrouver aussi une pleine légitimité internationale.