Je me suis amusé d’observer l’attitude des médias et des « faiseurs d’opinion » français concernant les trois religions monothéistes et leurs créateurs.
1 On critique le catholicisme : plein d’encouragements, enthousiasme et surenchères, c’est très « mode »
On caricature Jésus, c’est bien vu, amusant.
2 On critique le judaïsme : un silence gêné, sinon certaines accusations d’antisémitisme.
On caricature Moïse, l’indifférence généralisée, a-t-il existé vraiment ?
3 On critique l’islam : accusations d’islamophobie, de blasphème, injures, insultes de toute sorte et à minima une désapprobation collective.
On caricature Mahomet, des menaces de mort, des manifestations dans les rues, l’exclusion de la vie sociale pour l’auteur kamikaze.
Il parait que nous vivons toujours dans le pays de Descartes
Sorel
vendredi 22 octobre 2010
lundi 16 août 2010
SUR LE PROBLEME DES ROMS
Nous sommes ensevelis sous le torrent des protestations concernant les mesures d’expulsion des Roms originaires de Roumanie et de Bulgarie. En dehors de l’aspect juridique que je ne maîtrise pas, je suis étonné (mais peut-on encore être étonnés) par le manque d’information des journalistes à ce sujet. Sans compter les associations abonnées aux jérémiades et décrivant d’une manière partisane le « manque des droits de l’homme » en France. Revenons aux Roms, particulièrement ceux de Roumanie que je connais. Ils sont organisés sous une forme clanique, sous la direction d’un chef, généralement connu sous le nom de « boulibacha » Il faut savoir que ces dirigeants envoyent leur troupes, par familles entières en Europe pour des activités plus ou moins illicites, afin de bénéficier au pays du fruit de leur « labeur » Je ne cite pas le genre d'activités, la population de nos villes connait parfaitement de quoi s’agit-il.
Voilà quelques exemples de la situation matérielle de certains boulibachas, ces exemples ne constituant qu'un très faible pourcentage de ce que les médias roumains peuvent nous offrir
1 En Moldavie, dans la localité GRAJDURI
Le grand boulibacha Stanescu possède un palais (le terme n’est pas exagéré) de 1200 m2 habitable, avec 25 pièces dont la majorité n’est pas utilisée. Sur la photo suivante on aperçoit la chambre à coucher derrière M. Stanescu. A titre d’anecdote, il a été la victime d’un vol de 4.8 kg. d’or et bijoux.
Le sous préfet du département, M. Corneliu Rusu Banu a déclaré : « dans des localités pauvres, sont érigés des vrais palais, plaqués de marbre :ce sont les palais des tziganes des localités Grajduri et Zanea, et leurs tours ne définissent pas uniquement le statut social mais aussi la position dans la communauté » En manque d’image, je vous offre une photo des palais roms d’une autre localité, Ivesti.
2. Caveau de 50000 euros
Dans une autre localité, OTACI, le boulibacha est décédé ; suivant la coutume, il a été enterré avec des boissons et des produits d’entretien personnels. Jusqu’ici, rien d’anormal, sauf que le caveau, tout en marbre et verre a couté 50000 € ! Une bagatelle
3 Boulibacha de Buzesti-Teleorman
Associated Press l'a photographié, très fier de son « poids en or » ; environs 10 kg. d’or, probablement y compris les couronnes…
4 Quand on est parrain !
Ca doit se voir quand le boulibacha Bot, surnommé Tempête ou Prince du Banat, parrain d’un couple de jeunes marié est venu en hélicoptère au mariage ; le père de la marié, Dan Goeru a mis à disposition deux hélicoptères pour lui et sa famille, rang oblige. Propriétaire d’une flotte d’avions et hélicoptères, M. Goeru a fait voler trois autres hélicptères pendant quelques heures pour répandre des roses et bonbons au dessus de la ville.
5 Des obsèques modestes
M. Trifu Schrot, boulibacha de Timisoara est décédé à l’âge de 65 ans ; pour l’honorer, sa famille a déboursé la modique somme de 200000 (deux cent mille) euros, noblesse oblige. Voyez, le dur labeur, dans la misère des camps des roms en France et ailleurs, ca rapporte…mais nos grand et petits directeurs de conscience ne sont pas au courant
Sorel Zissu Août 2010
PS Je n'ai pas réusi à insérer les images dans le blog ; je m'en excuse.
Voilà quelques exemples de la situation matérielle de certains boulibachas, ces exemples ne constituant qu'un très faible pourcentage de ce que les médias roumains peuvent nous offrir
1 En Moldavie, dans la localité GRAJDURI
Le grand boulibacha Stanescu possède un palais (le terme n’est pas exagéré) de 1200 m2 habitable, avec 25 pièces dont la majorité n’est pas utilisée. Sur la photo suivante on aperçoit la chambre à coucher derrière M. Stanescu. A titre d’anecdote, il a été la victime d’un vol de 4.8 kg. d’or et bijoux.
Le sous préfet du département, M. Corneliu Rusu Banu a déclaré : « dans des localités pauvres, sont érigés des vrais palais, plaqués de marbre :ce sont les palais des tziganes des localités Grajduri et Zanea, et leurs tours ne définissent pas uniquement le statut social mais aussi la position dans la communauté » En manque d’image, je vous offre une photo des palais roms d’une autre localité, Ivesti.
2. Caveau de 50000 euros
Dans une autre localité, OTACI, le boulibacha est décédé ; suivant la coutume, il a été enterré avec des boissons et des produits d’entretien personnels. Jusqu’ici, rien d’anormal, sauf que le caveau, tout en marbre et verre a couté 50000 € ! Une bagatelle
3 Boulibacha de Buzesti-Teleorman
Associated Press l'a photographié, très fier de son « poids en or » ; environs 10 kg. d’or, probablement y compris les couronnes…
4 Quand on est parrain !
Ca doit se voir quand le boulibacha Bot, surnommé Tempête ou Prince du Banat, parrain d’un couple de jeunes marié est venu en hélicoptère au mariage ; le père de la marié, Dan Goeru a mis à disposition deux hélicoptères pour lui et sa famille, rang oblige. Propriétaire d’une flotte d’avions et hélicoptères, M. Goeru a fait voler trois autres hélicptères pendant quelques heures pour répandre des roses et bonbons au dessus de la ville.
5 Des obsèques modestes
M. Trifu Schrot, boulibacha de Timisoara est décédé à l’âge de 65 ans ; pour l’honorer, sa famille a déboursé la modique somme de 200000 (deux cent mille) euros, noblesse oblige. Voyez, le dur labeur, dans la misère des camps des roms en France et ailleurs, ca rapporte…mais nos grand et petits directeurs de conscience ne sont pas au courant
Sorel Zissu Août 2010
PS Je n'ai pas réusi à insérer les images dans le blog ; je m'en excuse.
mercredi 11 août 2010
GOOD BY BUCAREST
36 ans après ! Me voilà, pour la première fois après tout ce temps, dans la ville que j’ai aimé pour ses richesses, une ville épanouissante pour le jeune Rastignac de 17 ans arrivé tout juste du fin fond de sa province.
Comment ne pas l’aimer : belle, avec des immeubles haussmanniens et néoclassiques (n’était elle nommée « le petit Paris » avant la guerre ?) ses nombreuses petites églises, des parcs, forets et lacs naturels à profusion et surtout d’une forte activité culturelle et artistique qui n’a pas cessé même sous le régime communiste.
Mais après presque 4 décennies… comment je la trouverais ? Je craignais d’être profondément déçu, tel que l’homme qui rencontre son amour de jeunesse 36 ans après (c'est-à-dire…un peu changé, pour m’exprimer élégamment). Sans compter les cicatrices d’un ravageur tremblement de terre suivi de la destruction d’une partie du centre par les folies du couple maudit que furent les Ceausescu.
J’arrive une après midi de juin sur le petit aéroport de Bucarest-Otopeni ; brève rencontre avec un couple de bons, de merveilleux amis qui nous attendent ; le coffre de leur voiture trop petit, on prend un taxi et nous voilà plongé dans l’ambiance coté système « D » ou l’art de se faire de l’argent par des moyens pas très…classiques, comme ce fut le cas depuis la nuit des temps. Il n’y a qu’à lire les célèbres écrits du non moins célèbre auteur Caragiale, c’est toujours d’actualité. Comme Molière pour certains travers dans la société française, sauf que Molière ne pouvait pas deviner d’autres « mœurs » qui se propagent dans les « cités sensibles » de nos jours (c’est trop long et hors sujet) L’anecdote : le chauffeur, dès qu’il entend que je parle roumain, me propose de bloquer le compteur à moitié et lui payer « au noir » l’autre moitié. Son patron doit être ravi…
Enfin, arrivés à l’hôtel, se débarrasser des bagages et vite, le tour des souvenirs ; un des foyers de ma vie d’étudiant, le parc Cismigiu, toujours aussi pittoresque et un peu suranné, et l’ancienne Ecole de Mines (actuellement le Conservatoire de Musique) où j’ai trainé mes guêtres pendant 3 ans avant d’intégrer l’Ecole Polytechnique; Histoire de vérifier la blague sur les policiers (ils sont toujours par 3 : un qui sait écrire, l’autre sait lire le troisième garde les deux intellectuels) ; je demande à deux policiers où se trouve le Conservatoire, la réponse : je ne sais pas, ca doit pas être loin ! Nous étions à 300 m. sur la même rue… Enfin des détails, pas importants.
Mais quel plaisir de voir l’ex Palais Royal, L’Athénée, la Bibliothèque Universitaire, le Palais Crétzulescu et l’église du même nom, avec leurs belles façades dans un bon état de conservation. Un bémol, le célèbre (ou ex-célèbre) café Capsa, lieu de détente et de rencontre de l’intelligentsia bucarestoise pendant des décennies, quelle tristesse : la plupart du temps vide, les rares clients se comptent sur les doigts de la main. Je me console comme je peux, au moins je ne trouve pas des traces de la présence du détestable politicard-écrivaillon Paul Morand que j’exècre.
Le lendemain nos bons amis nous prennent en charge, une échappée au bord du lac Herastrau, visites des musées du paysan et du village roumain.
Enfin, le jour J, la « festivité » de 50 ans de la promotion 1960 de l’Ecole Polytechnique, faculté d’Energétique, l’objet central de ma visite. Evidemment, de revoir des collègues (ceux qui restent, malheureusement) 50 ans après, c’est un moment d’émotion et d’introspection que je cache sous un air de (mauvais) blagueur. Suit la présentation de tout un chacun et un repas amical et décontracté au bord du lac Cismigiu. Occasion de rendre hommage à l’initiative et au travail des organisateurs qui méritent notre reconnaissance.
Les deux jours suivants, les mêmes amis, dont je tais le nom par respect pour leur proverbiale modestie, nous ont concocté des visites aussi intéressantes qu’agréables : Palais Mogosoaia, la colline de la Métropolie (siège de la haute hiérarchie religieuse orthodoxe) un déjeuner au Carul cu Bere (Palais de la Bière) un restaurant avec une décoration néogothique d’une rare beauté, une visite de leur « home » suivi d’un diner avec toute la famille dans une auberge typique et j’en passe. Sans oublier une virée pour se souvenir d’un « haut lieu » de ma vie d’étudiant, le foyer « 303 » dans les anciens haras royaux où je me suis éclaté pendant deux ans en compagnie de collègues et amis. Que de souvenirs cocasses, on pourrait écrire un livre.
Je profite d’occasion pour faire découvrir (ou redécouvrir) aux mêmes amis, bucarestois de souche, le bijou d’art religieux grec-byzantin qui est l’église Stavropoleus, dans la rue du même nom.
Je ne dois pas omettre le plaisir d’une rencontre, un peu trop brève mais d’autant plus intense avec un ancien collègue de travail, qui, bien qu’il ne fut un ami, m’a laissé le souvenir d’un homme de qualité ; le plaisir de le retrouver en parfaite forme physique et intellectuelle a compensé le trop peu de temps passé ensemble.
Conclusion : la visite a été intéressante, riche et le bilan est largement positif ; même mon épouse, malgré les 5 jours de conversation presqu’exclusivement en roumain (qu’elle ne possède guerre) resta avec une très bon souvenir de ce périple.
Une prochaine fois à Bucarest? L’avenir nous le dira
Sorel ZISSU
AOÜT 2010
Comment ne pas l’aimer : belle, avec des immeubles haussmanniens et néoclassiques (n’était elle nommée « le petit Paris » avant la guerre ?) ses nombreuses petites églises, des parcs, forets et lacs naturels à profusion et surtout d’une forte activité culturelle et artistique qui n’a pas cessé même sous le régime communiste.
Mais après presque 4 décennies… comment je la trouverais ? Je craignais d’être profondément déçu, tel que l’homme qui rencontre son amour de jeunesse 36 ans après (c'est-à-dire…un peu changé, pour m’exprimer élégamment). Sans compter les cicatrices d’un ravageur tremblement de terre suivi de la destruction d’une partie du centre par les folies du couple maudit que furent les Ceausescu.
J’arrive une après midi de juin sur le petit aéroport de Bucarest-Otopeni ; brève rencontre avec un couple de bons, de merveilleux amis qui nous attendent ; le coffre de leur voiture trop petit, on prend un taxi et nous voilà plongé dans l’ambiance coté système « D » ou l’art de se faire de l’argent par des moyens pas très…classiques, comme ce fut le cas depuis la nuit des temps. Il n’y a qu’à lire les célèbres écrits du non moins célèbre auteur Caragiale, c’est toujours d’actualité. Comme Molière pour certains travers dans la société française, sauf que Molière ne pouvait pas deviner d’autres « mœurs » qui se propagent dans les « cités sensibles » de nos jours (c’est trop long et hors sujet) L’anecdote : le chauffeur, dès qu’il entend que je parle roumain, me propose de bloquer le compteur à moitié et lui payer « au noir » l’autre moitié. Son patron doit être ravi…
Enfin, arrivés à l’hôtel, se débarrasser des bagages et vite, le tour des souvenirs ; un des foyers de ma vie d’étudiant, le parc Cismigiu, toujours aussi pittoresque et un peu suranné, et l’ancienne Ecole de Mines (actuellement le Conservatoire de Musique) où j’ai trainé mes guêtres pendant 3 ans avant d’intégrer l’Ecole Polytechnique; Histoire de vérifier la blague sur les policiers (ils sont toujours par 3 : un qui sait écrire, l’autre sait lire le troisième garde les deux intellectuels) ; je demande à deux policiers où se trouve le Conservatoire, la réponse : je ne sais pas, ca doit pas être loin ! Nous étions à 300 m. sur la même rue… Enfin des détails, pas importants.
Mais quel plaisir de voir l’ex Palais Royal, L’Athénée, la Bibliothèque Universitaire, le Palais Crétzulescu et l’église du même nom, avec leurs belles façades dans un bon état de conservation. Un bémol, le célèbre (ou ex-célèbre) café Capsa, lieu de détente et de rencontre de l’intelligentsia bucarestoise pendant des décennies, quelle tristesse : la plupart du temps vide, les rares clients se comptent sur les doigts de la main. Je me console comme je peux, au moins je ne trouve pas des traces de la présence du détestable politicard-écrivaillon Paul Morand que j’exècre.
Le lendemain nos bons amis nous prennent en charge, une échappée au bord du lac Herastrau, visites des musées du paysan et du village roumain.
Enfin, le jour J, la « festivité » de 50 ans de la promotion 1960 de l’Ecole Polytechnique, faculté d’Energétique, l’objet central de ma visite. Evidemment, de revoir des collègues (ceux qui restent, malheureusement) 50 ans après, c’est un moment d’émotion et d’introspection que je cache sous un air de (mauvais) blagueur. Suit la présentation de tout un chacun et un repas amical et décontracté au bord du lac Cismigiu. Occasion de rendre hommage à l’initiative et au travail des organisateurs qui méritent notre reconnaissance.
Les deux jours suivants, les mêmes amis, dont je tais le nom par respect pour leur proverbiale modestie, nous ont concocté des visites aussi intéressantes qu’agréables : Palais Mogosoaia, la colline de la Métropolie (siège de la haute hiérarchie religieuse orthodoxe) un déjeuner au Carul cu Bere (Palais de la Bière) un restaurant avec une décoration néogothique d’une rare beauté, une visite de leur « home » suivi d’un diner avec toute la famille dans une auberge typique et j’en passe. Sans oublier une virée pour se souvenir d’un « haut lieu » de ma vie d’étudiant, le foyer « 303 » dans les anciens haras royaux où je me suis éclaté pendant deux ans en compagnie de collègues et amis. Que de souvenirs cocasses, on pourrait écrire un livre.
Je profite d’occasion pour faire découvrir (ou redécouvrir) aux mêmes amis, bucarestois de souche, le bijou d’art religieux grec-byzantin qui est l’église Stavropoleus, dans la rue du même nom.
Je ne dois pas omettre le plaisir d’une rencontre, un peu trop brève mais d’autant plus intense avec un ancien collègue de travail, qui, bien qu’il ne fut un ami, m’a laissé le souvenir d’un homme de qualité ; le plaisir de le retrouver en parfaite forme physique et intellectuelle a compensé le trop peu de temps passé ensemble.
Conclusion : la visite a été intéressante, riche et le bilan est largement positif ; même mon épouse, malgré les 5 jours de conversation presqu’exclusivement en roumain (qu’elle ne possède guerre) resta avec une très bon souvenir de ce périple.
Une prochaine fois à Bucarest? L’avenir nous le dira
Sorel ZISSU
AOÜT 2010
jeudi 8 juillet 2010
EDWY PLENEL FASCISTE ?
Bien sur que non ! L’histoire nous rappelle que le fascisme fut une idéologie d’extrême droite (crée et développée par un ex-dirigeant socialiste, comme c’est bizarre…)
Mais quelle est la différence entre l’extrême droite et l’extrême gauche trotskiste ? Oui, une grande différence ! Les fascistes disent clairement ce qu’ils souhaitent faire une fois au pouvoir, les trotskistes (comme les staliniens autrefois) disent le contraire et ils font la même chose. Comme disait Jacques Duclos, bon connaisseur en la matière : « blanc bonnet et bonnet blanc »
Revenons à notre célèbre Plenel ; trotskiste de longue date, (adhérent de la LCR en 1970) il écrit sous le pseudo Joseph Krasky dans le Rouge et infiltre l’armée française sur ordre du mouvement trotskiste.
Démissionnaire du LCR, il démarre une carrière journalistique utilisant les méthodes appris dans le mouvement. Carrière riche en rebondissements, avec un égo tellement surdimensionné qu’il devient Edwy Plenel « maître du Monde » (souvenez-vous d’un certain J.-M. Messier) Même plus, directeur-dictateur du célèbre quotidien du soir, tellement dictateur qu’il est obligé… de démissionner.
Mais ses ambitions demeurent ; il crée un journal web MediaPart, plagiant au passage le nom d’un grand groupe de presse belge Media Participation.
Il assure que SON média est et sera totalement indépendant. En guise de quoi il embauche Benoît Thieulin responsable de la net campagne de Ségolène Royal. Comme indépendance, on a vu des meilleures.
Et pour survivre, il donne carrément dans une certaine presse des années ’30 : attaques ad hominem, campagnes haineuses et triviales, basées sur des mensonges calomnieux. Empêtré dans les manipulations et sous la menace de poursuites judicaires, il fait de la surechère : s’attaque à tous, y compris à des personnalités comme Simone Weill et Michel Rocard.
Alors, Plenel fasciste ? Non, uniquement patron de ce qu'on pourrait appeler :" Je suis (MEDIA)PARTout " ; mais pense-t-il à la triste fin de son homologue dans la calomnie haineuse ?
Mais quelle est la différence entre l’extrême droite et l’extrême gauche trotskiste ? Oui, une grande différence ! Les fascistes disent clairement ce qu’ils souhaitent faire une fois au pouvoir, les trotskistes (comme les staliniens autrefois) disent le contraire et ils font la même chose. Comme disait Jacques Duclos, bon connaisseur en la matière : « blanc bonnet et bonnet blanc »
Revenons à notre célèbre Plenel ; trotskiste de longue date, (adhérent de la LCR en 1970) il écrit sous le pseudo Joseph Krasky dans le Rouge et infiltre l’armée française sur ordre du mouvement trotskiste.
Démissionnaire du LCR, il démarre une carrière journalistique utilisant les méthodes appris dans le mouvement. Carrière riche en rebondissements, avec un égo tellement surdimensionné qu’il devient Edwy Plenel « maître du Monde » (souvenez-vous d’un certain J.-M. Messier) Même plus, directeur-dictateur du célèbre quotidien du soir, tellement dictateur qu’il est obligé… de démissionner.
Mais ses ambitions demeurent ; il crée un journal web MediaPart, plagiant au passage le nom d’un grand groupe de presse belge Media Participation.
Il assure que SON média est et sera totalement indépendant. En guise de quoi il embauche Benoît Thieulin responsable de la net campagne de Ségolène Royal. Comme indépendance, on a vu des meilleures.
Et pour survivre, il donne carrément dans une certaine presse des années ’30 : attaques ad hominem, campagnes haineuses et triviales, basées sur des mensonges calomnieux. Empêtré dans les manipulations et sous la menace de poursuites judicaires, il fait de la surechère : s’attaque à tous, y compris à des personnalités comme Simone Weill et Michel Rocard.
Alors, Plenel fasciste ? Non, uniquement patron de ce qu'on pourrait appeler :" Je suis (MEDIA)PARTout " ; mais pense-t-il à la triste fin de son homologue dans la calomnie haineuse ?
jeudi 1 juillet 2010
LE NOUVEL APOTRE DES BANLIEUS
Dominique Marie François René Galouzeau de Villepin, a trouvé sa voie ! Il est parti en croisade (ou en jihad ?) pour sauver les banlieues, en messie des laissés pour compte du 9.3. Mais bon sang c’est bien ça !
D’abord, parce qu'il est proche du terrain : son aïeule la baronne de Seewald, propriétaire du château « Châteauneuf sur Loire » a bien labouré le terrain ; en calèche, bien sur. Ca laisse des traces…
Ensuite les immigrés, il les connait bien ; il a commencé les fréquenter dès son jeune âge, au lycée jésuite « Le Caousou » établissement qui, comme tout le monde le sait, est peuplé majoritairement des immigrés.
N’oublions pas qu’il est très proche du peuple ; les contacts avec le peuple ont été ininterrompu pendant sa carrière : pas uniquement pendant les études à l’ENA mais aussi aux Affaires Etrangères, aux Ambassades de Washington et New Delhi sans oublier le secrétariat général de l’Elysée, ministre et Premier Ministre. Quel beau palmarès pour côtoyer la France d’en bas dans les salons diplomatiques et ministériels.
Ce qui est son point fort, c’est sa stature politique ; naturellement, il n’est pas nécessaire de solliciter le soufrage du peuple pour celui qui se prend pour Napoléon et de Gaulle réunis (excusez de peu). Il suffit de prendre des initiatives éclatantes, genre la dissolution de 1997 ! Mme Bernadette Chirac, bien placée pour le dire, l’a assimilé à Néron ; très juste, j’ajouterais un peu mâtiné de Caligula, sauf qu’il aiet peu de chance de devenir empereur. Brillantissimes aussi les initiatives prises comme Premier Ministre, particulièrement le CPE et son dénouement.
Je suis quand même un peu inquiet pour lui ; car, pour défendre le peuple des banlieues (plutôt pour piquer des voix…) ca se bouscule au portillon, entre le NPA et ses voilées, les PCF (les 3-4 qui restent) même les Verts, couleur oblige…
Il y a une solution ; comme lui et les susnommés ont le même discours (le reste c’est pour les imbéciles qui les écoutent) le Galouzeau ferait bien un front uni avec ses compagnons de route.
Sinon, avec un fidèle Sancho Pancha et à cheval sur sa Rossinante il a de l’avenir… derrière.
En tout cas, pour sa République Solitaire je l’encourage : en avant Dominique, à coté de Joey Starr et…NTM
Sorel Zissu
Juillet 2010
D’abord, parce qu'il est proche du terrain : son aïeule la baronne de Seewald, propriétaire du château « Châteauneuf sur Loire » a bien labouré le terrain ; en calèche, bien sur. Ca laisse des traces…
Ensuite les immigrés, il les connait bien ; il a commencé les fréquenter dès son jeune âge, au lycée jésuite « Le Caousou » établissement qui, comme tout le monde le sait, est peuplé majoritairement des immigrés.
N’oublions pas qu’il est très proche du peuple ; les contacts avec le peuple ont été ininterrompu pendant sa carrière : pas uniquement pendant les études à l’ENA mais aussi aux Affaires Etrangères, aux Ambassades de Washington et New Delhi sans oublier le secrétariat général de l’Elysée, ministre et Premier Ministre. Quel beau palmarès pour côtoyer la France d’en bas dans les salons diplomatiques et ministériels.
Ce qui est son point fort, c’est sa stature politique ; naturellement, il n’est pas nécessaire de solliciter le soufrage du peuple pour celui qui se prend pour Napoléon et de Gaulle réunis (excusez de peu). Il suffit de prendre des initiatives éclatantes, genre la dissolution de 1997 ! Mme Bernadette Chirac, bien placée pour le dire, l’a assimilé à Néron ; très juste, j’ajouterais un peu mâtiné de Caligula, sauf qu’il aiet peu de chance de devenir empereur. Brillantissimes aussi les initiatives prises comme Premier Ministre, particulièrement le CPE et son dénouement.
Je suis quand même un peu inquiet pour lui ; car, pour défendre le peuple des banlieues (plutôt pour piquer des voix…) ca se bouscule au portillon, entre le NPA et ses voilées, les PCF (les 3-4 qui restent) même les Verts, couleur oblige…
Il y a une solution ; comme lui et les susnommés ont le même discours (le reste c’est pour les imbéciles qui les écoutent) le Galouzeau ferait bien un front uni avec ses compagnons de route.
Sinon, avec un fidèle Sancho Pancha et à cheval sur sa Rossinante il a de l’avenir… derrière.
En tout cas, pour sa République Solitaire je l’encourage : en avant Dominique, à coté de Joey Starr et…NTM
Sorel Zissu
Juillet 2010
dimanche 27 juin 2010
COUPE DU MONDE ET FIN DE CIVILISATION.
Le spectacle révoltant, écœurant, que ces clowns, joueurs-milliardaires avec le cerveau dans les mollets nous ont donné à l’occasion de la dernière coupe du monde de football, m’a conforté dans une idée qui me taraude depuis une dizaine d’années : nous sommes bien dans l’étape finale de notre civilisation.
Un préambule : toute civilisation, et l’histoire de l’humanité nous offre de très nombreux exemples, subit le même cycle ternaire : création, développement et apogée, décadence et disparition. C’est donc une lapalissade de dire que notre civilisation suivra nécessairement le même cursus. L’interrogation est : à quel stade sommes-nous aujourd’hui ?
En ce qui me concerne la réponse est sans ambigüité, le tout dernier, point de vue tout à fait personnel et subjectif que j’essaies de démontrer.
Pour avoir des éléments de comparaison faisons un parallèle entre la civilisation gréco-romaine à sa fin (la chute de l’empire romain) et l’état actuel de nos sociétés.
Je pense que les principales causes de la chute de l’empire romain peuvent être synthétisées en quatre grandes catégories.
1 L’insignifiance, sinon l’incurie des élites, que ce soit les élites politiques, intellectuelles économiques. En effet, par rapport à des responsables qui ont crés la gloire et la splendeur de l’empire, les derniers empereurs se sont revelés pusillanimes, faibles et même vicieux, incapables de maintenir l’unité de l’empire et même de gouverner efficacement. D’autre part, les hauts dignitaires civils et religieux corrompus, avaient perdu le sens de l’intérêt général, privilégiant uniquement leurs intérêts directs et personnels.
2 La classe intermédiaire, les patriciens, sont devenus des personnes vivant dans une opulence qui leur a fait perdre le goût de l’effort et de l’action, devenant des êtres engloutis dans les plaisirs immédiats (rappelez- vous les célèbres orgies à la Lucullus) des ultra consommateurs de la bonne chère dans tous les aspects du terme. La conservation de leurs privilèges restait leur seule ambition et nullement le progrès de la société et l’adaptation aux changements inhérents à toute époque.
3 Ensuite, le travail de sape des classes et des catégories sociales et nationales qui n’ayant plus grand chose à perdre ou voulant accéder à leur tour aux privilèges ou tout simplement par haine envers les puissants, commençait à ébranler les fondements de la société.
4 Enfin, les coup de boutoir des ennemis de l’extérieur (les barbares) qui, d’une manière sporadique ou systématique commencent à profiter de la faiblesse de l’empire en l’attaquant et en obtenant des avantages stratégiques qui tôt ou tard ont abouti à sa disparition.
Peut-on établir des points de convergence entre ces causes loin de deux millénaires et dans un système politique, social et administratif totalement différent de nos sociétés actuelle ? Rien de plus simple.
1 Nos élites actuelles ? A quelle époque a t-on vu des responsables politiques d’un niveau aussi faible qu’à nos jours ? Comparons pays par pays, la personnalité de nos dirigeants actuels par rapports à ceux d’il y a un peu plus d’un demi-siècle et la conclusion aux les yeux. Quant aux nombreux leaders de la vie économique et financière, tous les événements récents me dispensent de commentaires. Ne parlons pas d’une partie de nos intellectuels (heureusement avec un nombre d’exceptions) qui nous procurent les mêmes images dans les mêmes circonstances qu’à l’époque du lointain empire romain finissant.
2 La nouvelle et nombreuse « middle class » présente des symptômes éclairants ; le crédo du « moins de travail, moins d’effort, moins de responsabilités » mais plus d’argent, plus de loisirs et une jouissance immédiate est devenu monnaie courante. Une jeunesse élevée avec le culte de « l’enfant roi » qui ôte toute capacité de vouloir se battre, de progresser et réussir dans la vie dont la mentalité s’est généralisé. Et malheureusement ce sont eux qui payeront la lourde dette matérielle et morale que notre égoïsme aveugle leur laisse en héritage.
C’est une classe moyenne embourgeoisée (dans le mauvais sens du terme), préoccupée uniquement de son bien être immédiat, qui ignore le sens de l’intérêt général et souvent même des valeurs morales élémentaires que sont le courage, la probité (matérielle et intellectuelle) le respect de l’autre. Une catégorie de gens qui sacrifient tout pour conserver leurs « acquis », inconscients aux dangers qui nous guettent, trop veulent pour les combattre.
3 Des ennemis de l’intérieur, les groupes et groupuscules extrémistes qui sapent les fondements de nos sociétés pour mieux les détruire. Ce sont :
- les extrémistes de gauche qui rêvent à leur révolution, incapable de prendre le pouvoir par la voie démocratique essayent de l’obtenir par l’éclatement de la société auquel ils contribuent activement. Dans ce but ils noyautent des syndicats et des associations les entrainant à la « lutte finale »
- le nouveau « lumpenprolétariat » cher à Karl Marx, comprenant certaines groupes de personnes issues de l’immigration qui, en réaction à l’échec d’intégration expriment la haine envers le pays d’accueil, rejettent les valeurs de la société. Ils sont souvent entrainée par des groupes d’intégristes religieux qui profitent du mal être de certains de leurs coreligionnaires et travaillent à leurs inculquer la priorité des règles de vie d’une autre époque en contradiction totale avec les règles et lois du pays où ils vivent.
On constate de plus en plus un rapprochement entre les groupes extrémistes de gauche et les radicaux religieux, la bien connue alliance islamo-gauchiste.
4 Le danger extérieur est bien sur le danger islamiste ennemi farouche de la démocratie, de l’Occident et des valeurs qui le caractérisent. Les islamistes de l’extérieur essayent d’ébranler nos sociétés par plusieurs moyens
- les attentats
- la guerre sainte partout où ils ont des masses acquises à leur cause
- l’utilisation de la « cinquième colonne » leurs relais installés dans les pays démocratiques
La volonté de l’idéologie islamiste est la création des califats partout dans les pays où existe une majorité musulmane (Dar al Islam, la Maison de l’Islam) la conquête par la force des pays « hostiles » (Dar al Harb, la Maison de la Guerre)) et la soumission totale des peuples sans forte présence musulmane contre le payement d’une dime (Dar al Ahd, Maison du Traité). Très actifs partout dans le monde, ils sont bien efficaces dans le monde occidental, profitant des faiblesses de nos démocraties et s’appuyant sur leurs relais intérieurs, les « idiots utiles »
La similitude entre ces quatre groupes de causes est saisissante à mes yeux ; ce qui est encore plus grave, c’est l’impression d’une cécité de la part d’une majorité de nos concitoyens, une lassitude qui ne présage rien de bon. Triste fin…
Sorel ZISSU
Juin 2010-06-27
Ps En terminant cette pensée, je trouve une interview du philosophe Michel Onfray qui récuse les arguments de ceux qui comme moi dénoncent la « décadence » de notre époque. Et, justifie son point de vue par le fait que le « pire ne soit pas une nouveauté, c’est la loi du monde depuis que le monde est monde » Je suis intégralement d’accord avec lui. Sauf qu’il fait référence à l’essai de Suétone « La vie des douze César », dénonçant les turpitudes de la fin de l’empire romain ! Merci M. Onfray, CQFD
Et je me permets de citer aussi la grande dame et éminente helléniste Jacqueline de Romilly qui nous a quitté récemment: "Je ne suis pas très optimiste, ni pour les chères langues anciennes, ni pour la française, d'ailleurs, ni pour les humanités en général et, pis, guère plus pour l'avenir de notre civilisation. S'il n'y a pas un sursaut, nous allons vers une catastrophe et nous entrons dans une ère de barbarie."
Un préambule : toute civilisation, et l’histoire de l’humanité nous offre de très nombreux exemples, subit le même cycle ternaire : création, développement et apogée, décadence et disparition. C’est donc une lapalissade de dire que notre civilisation suivra nécessairement le même cursus. L’interrogation est : à quel stade sommes-nous aujourd’hui ?
En ce qui me concerne la réponse est sans ambigüité, le tout dernier, point de vue tout à fait personnel et subjectif que j’essaies de démontrer.
Pour avoir des éléments de comparaison faisons un parallèle entre la civilisation gréco-romaine à sa fin (la chute de l’empire romain) et l’état actuel de nos sociétés.
Je pense que les principales causes de la chute de l’empire romain peuvent être synthétisées en quatre grandes catégories.
1 L’insignifiance, sinon l’incurie des élites, que ce soit les élites politiques, intellectuelles économiques. En effet, par rapport à des responsables qui ont crés la gloire et la splendeur de l’empire, les derniers empereurs se sont revelés pusillanimes, faibles et même vicieux, incapables de maintenir l’unité de l’empire et même de gouverner efficacement. D’autre part, les hauts dignitaires civils et religieux corrompus, avaient perdu le sens de l’intérêt général, privilégiant uniquement leurs intérêts directs et personnels.
2 La classe intermédiaire, les patriciens, sont devenus des personnes vivant dans une opulence qui leur a fait perdre le goût de l’effort et de l’action, devenant des êtres engloutis dans les plaisirs immédiats (rappelez- vous les célèbres orgies à la Lucullus) des ultra consommateurs de la bonne chère dans tous les aspects du terme. La conservation de leurs privilèges restait leur seule ambition et nullement le progrès de la société et l’adaptation aux changements inhérents à toute époque.
3 Ensuite, le travail de sape des classes et des catégories sociales et nationales qui n’ayant plus grand chose à perdre ou voulant accéder à leur tour aux privilèges ou tout simplement par haine envers les puissants, commençait à ébranler les fondements de la société.
4 Enfin, les coup de boutoir des ennemis de l’extérieur (les barbares) qui, d’une manière sporadique ou systématique commencent à profiter de la faiblesse de l’empire en l’attaquant et en obtenant des avantages stratégiques qui tôt ou tard ont abouti à sa disparition.
Peut-on établir des points de convergence entre ces causes loin de deux millénaires et dans un système politique, social et administratif totalement différent de nos sociétés actuelle ? Rien de plus simple.
1 Nos élites actuelles ? A quelle époque a t-on vu des responsables politiques d’un niveau aussi faible qu’à nos jours ? Comparons pays par pays, la personnalité de nos dirigeants actuels par rapports à ceux d’il y a un peu plus d’un demi-siècle et la conclusion aux les yeux. Quant aux nombreux leaders de la vie économique et financière, tous les événements récents me dispensent de commentaires. Ne parlons pas d’une partie de nos intellectuels (heureusement avec un nombre d’exceptions) qui nous procurent les mêmes images dans les mêmes circonstances qu’à l’époque du lointain empire romain finissant.
2 La nouvelle et nombreuse « middle class » présente des symptômes éclairants ; le crédo du « moins de travail, moins d’effort, moins de responsabilités » mais plus d’argent, plus de loisirs et une jouissance immédiate est devenu monnaie courante. Une jeunesse élevée avec le culte de « l’enfant roi » qui ôte toute capacité de vouloir se battre, de progresser et réussir dans la vie dont la mentalité s’est généralisé. Et malheureusement ce sont eux qui payeront la lourde dette matérielle et morale que notre égoïsme aveugle leur laisse en héritage.
C’est une classe moyenne embourgeoisée (dans le mauvais sens du terme), préoccupée uniquement de son bien être immédiat, qui ignore le sens de l’intérêt général et souvent même des valeurs morales élémentaires que sont le courage, la probité (matérielle et intellectuelle) le respect de l’autre. Une catégorie de gens qui sacrifient tout pour conserver leurs « acquis », inconscients aux dangers qui nous guettent, trop veulent pour les combattre.
3 Des ennemis de l’intérieur, les groupes et groupuscules extrémistes qui sapent les fondements de nos sociétés pour mieux les détruire. Ce sont :
- les extrémistes de gauche qui rêvent à leur révolution, incapable de prendre le pouvoir par la voie démocratique essayent de l’obtenir par l’éclatement de la société auquel ils contribuent activement. Dans ce but ils noyautent des syndicats et des associations les entrainant à la « lutte finale »
- le nouveau « lumpenprolétariat » cher à Karl Marx, comprenant certaines groupes de personnes issues de l’immigration qui, en réaction à l’échec d’intégration expriment la haine envers le pays d’accueil, rejettent les valeurs de la société. Ils sont souvent entrainée par des groupes d’intégristes religieux qui profitent du mal être de certains de leurs coreligionnaires et travaillent à leurs inculquer la priorité des règles de vie d’une autre époque en contradiction totale avec les règles et lois du pays où ils vivent.
On constate de plus en plus un rapprochement entre les groupes extrémistes de gauche et les radicaux religieux, la bien connue alliance islamo-gauchiste.
4 Le danger extérieur est bien sur le danger islamiste ennemi farouche de la démocratie, de l’Occident et des valeurs qui le caractérisent. Les islamistes de l’extérieur essayent d’ébranler nos sociétés par plusieurs moyens
- les attentats
- la guerre sainte partout où ils ont des masses acquises à leur cause
- l’utilisation de la « cinquième colonne » leurs relais installés dans les pays démocratiques
La volonté de l’idéologie islamiste est la création des califats partout dans les pays où existe une majorité musulmane (Dar al Islam, la Maison de l’Islam) la conquête par la force des pays « hostiles » (Dar al Harb, la Maison de la Guerre)) et la soumission totale des peuples sans forte présence musulmane contre le payement d’une dime (Dar al Ahd, Maison du Traité). Très actifs partout dans le monde, ils sont bien efficaces dans le monde occidental, profitant des faiblesses de nos démocraties et s’appuyant sur leurs relais intérieurs, les « idiots utiles »
La similitude entre ces quatre groupes de causes est saisissante à mes yeux ; ce qui est encore plus grave, c’est l’impression d’une cécité de la part d’une majorité de nos concitoyens, une lassitude qui ne présage rien de bon. Triste fin…
Sorel ZISSU
Juin 2010-06-27
Ps En terminant cette pensée, je trouve une interview du philosophe Michel Onfray qui récuse les arguments de ceux qui comme moi dénoncent la « décadence » de notre époque. Et, justifie son point de vue par le fait que le « pire ne soit pas une nouveauté, c’est la loi du monde depuis que le monde est monde » Je suis intégralement d’accord avec lui. Sauf qu’il fait référence à l’essai de Suétone « La vie des douze César », dénonçant les turpitudes de la fin de l’empire romain ! Merci M. Onfray, CQFD
Et je me permets de citer aussi la grande dame et éminente helléniste Jacqueline de Romilly qui nous a quitté récemment: "Je ne suis pas très optimiste, ni pour les chères langues anciennes, ni pour la française, d'ailleurs, ni pour les humanités en général et, pis, guère plus pour l'avenir de notre civilisation. S'il n'y a pas un sursaut, nous allons vers une catastrophe et nous entrons dans une ère de barbarie."
mardi 16 mars 2010
HONTE M. AOUNIT !
Monsieur Aounit, encore une fois j’ai la preuve que vous n’êtes pas mort ; encore une fois vous vous ridiculisez, vous et votre secte, et comme le ridicule ne tue pas…
Mais quelle tristesse de voir un mouvement jadis respectable, dont tant de noms célèbres l’ont honoré, de tomber si bas, de plus en plus bas !
Equilibriste, vous êtes ! Clown triste, dans un cirque en perdition aussi. Mais d’arriver si pitoyable pour se servir du nom de ce grand barde qui fut Jean Ferrat pour vendre votre spectacle à trois sous, c’est plus que grotesque, c’est honteux !
Jean Ferrat, dont vous osez faire l’apologie dans votre feuille de choux et dont vous vous réclamer encore, lui aussi, comme tant d’autres grands hommes de culture a donné sa démission de votre organisation devenue une secte dérisoire et pathétique.
Avez-vous la mémoire si courte, bien sur que non ; mais que ne ferez-vous et vos sicaires pour vendre votre soupe rance et indigeste ?
Comment avez-vous l’outrecuidance de titrer « Jean Ferrat, un combat à poursuivre » vous qui défendez les idées les plus rétrogrades et liberticides, exactement les idées que Jean Ferrat a toujours combattu ?
Je vous rappelle, si c’était encore nécessaire, que Jean Ferrat vous a écrit :
...."La bombe en forme de turban, ce sont les islamistes radicaux qui l’ont posée sur la tête de Mahomet*". à propos de votre plainte contre les journalistes qui ont osé reproduire les caricatures et dont vos amis islamistes essaies de les faire taire, comme ils essaient d’assassiner tous ceux qui s‘opposent à leurs agissement.
Monsieur Aounit, vous dépasser les limites du supportable, j’ai honte pour vous !
Sorel ZISSU
Mars 2010
Mais quelle tristesse de voir un mouvement jadis respectable, dont tant de noms célèbres l’ont honoré, de tomber si bas, de plus en plus bas !
Equilibriste, vous êtes ! Clown triste, dans un cirque en perdition aussi. Mais d’arriver si pitoyable pour se servir du nom de ce grand barde qui fut Jean Ferrat pour vendre votre spectacle à trois sous, c’est plus que grotesque, c’est honteux !
Jean Ferrat, dont vous osez faire l’apologie dans votre feuille de choux et dont vous vous réclamer encore, lui aussi, comme tant d’autres grands hommes de culture a donné sa démission de votre organisation devenue une secte dérisoire et pathétique.
Avez-vous la mémoire si courte, bien sur que non ; mais que ne ferez-vous et vos sicaires pour vendre votre soupe rance et indigeste ?
Comment avez-vous l’outrecuidance de titrer « Jean Ferrat, un combat à poursuivre » vous qui défendez les idées les plus rétrogrades et liberticides, exactement les idées que Jean Ferrat a toujours combattu ?
Je vous rappelle, si c’était encore nécessaire, que Jean Ferrat vous a écrit :
...."La bombe en forme de turban, ce sont les islamistes radicaux qui l’ont posée sur la tête de Mahomet*". à propos de votre plainte contre les journalistes qui ont osé reproduire les caricatures et dont vos amis islamistes essaies de les faire taire, comme ils essaient d’assassiner tous ceux qui s‘opposent à leurs agissement.
Monsieur Aounit, vous dépasser les limites du supportable, j’ai honte pour vous !
Sorel ZISSU
Mars 2010
dimanche 14 mars 2010
Corruption et géopolitique
Je viens d’apprendre, suite à la crise économique et financière de la Grèce, que ce pays est le plus corrompu de l’ensemble des pays de l’Union Européenne. Après les vérifications d’usage (j’ai comme une méfiance naturelle envers les informations de certains médias, peut-être à tort, n’est-ce pas ?) sur le site de Transparency International, je trouve la confirmation : la Grèce est notée dans le classement « Corruption Perception 2009 » avec la note 3.8/10 ! Pas glorieux, il faut l’admettre. Je constate aussi qu’elle est ex aequo avec la Roumanie et la Bulgarie, chose qui ne m’étonne pas : ceux deux dernières furent acceptées dans l’Union en retard de deux ans par rapport aux dix autres pays de l’ex camp communiste, comme « pénitence » exactement pour cette raison. Et il paraît, d’après les experts de la Commission Européenne, que les choses sont loin de s’être améliorées sensiblement…
Grèce, Bulgarie et Roumanie à l’égalité dans ce palmarès pas très réjouissant…Comment se fait-il, il y aurait une explication ?
Euréka, j’ai trouvé : tous les trois sont les derniers pays des Balkans à être sortis de l’Empire ottoman !
Tout ceci me conforte dans une idée qui n’engage que ma modeste personne mais qui me suit depuis quelques bonnes années.
L’analyse est simple ; bien que la corruption caractérise de nombreux pays et contrées de cette planète, j’ai constaté que les pays qui ont appartenu à l’Empire ottoman sont toutes, sans aucune exception, dans la même déplorable situation par rapport à la corruption. Dans le même classement on trouve : Algérie 2.8/10, Libye 2.5/10, Liban 2.5/10, Egypte 2.8/10, Syrie 2.6/10 et j’en passe.
Rien d’étonnant, tous ceux qui connaissent un peu l’histoire, se rappellent que la Sublime Porte (comme était appelé à l’époque le pouvoir à Istanbul) était corrompu du haut de l’échelle jusqu’au plus bas. Un seul exemple édifiant : pour toute « attribution » du titre et des pouvoirs princiers dans une province, il fallait payer un tribut au Grand Vizir ou à d’autres hauts dignitaires ; le gagnant du titre était celui qui payait la plus forte somme, même s’il n’avait aucune contingence avec le pays ou le peuple respectif.
Je suis originaire de Roumanie, pays qui comporte 3 provinces ; deux appartenant pendant des siècles à l’Empire ottoman, la troisième, la Transylvanie, faisant partie de l’Empire Austro-Hongrois jusqu’en 1918 quand grâce au traité de Versailles elle a pu rejoindre la Roumanie.
Etant moi-même issu de la partie ottomane, j’ai découvert la Transylvanie dans les années ’50, à l’occasion de mes études universitaires. Quel surprise, à environs 30 ans après la réunification, une différence de taille : les villes et villages bien plus propres, plus fleuris, un comportement plus correct et courtois, la valeur de la parole donnée…J’étais ébahi.
Je ne me fais pas d’illusions, comme partout dans le monde, le nivellement par le bas a du faire ses effets, de nos jours ces différences doivent être sinon effacées, au moins fortement diminuées.
J’arrive à la conclusion que l’influence des mœurs de la Sublime Porte à pesée et pèse encore lourdement sur les pays et les peuples qui lui ont été soumis.
Bien sur, cette conclusion pourrait être contestée, par le fait que je compare des pays de différents continents, avec des religions et des coutumes éloignées les unes des autres et ayant vécus sous des régimes politiques éparses. J’accepte ces arguments et je réduis le cercle à des pays de la même région géographique (Europe Centrale) avec la même religion prédominante et ayant vécus sous les mêmes régimes politiques : Roumanie et Bulgarie d’une part, Hongrie et Rep. Tchèque d’autre part ; le classement est de 3.8/10 pour les deux premières, 5.1 et 4.9/10 pour les suivantes. Encore plus saisissant : après le démembrement de la Yougoslavie, un pays, la Slovénie (ex empire Austro-Hongrois) est créditée de 6.6/10 pendant que les autres sont entre 3 et 3.9/10 ! C.Q.F.D.
Grèce, Bulgarie et Roumanie à l’égalité dans ce palmarès pas très réjouissant…Comment se fait-il, il y aurait une explication ?
Euréka, j’ai trouvé : tous les trois sont les derniers pays des Balkans à être sortis de l’Empire ottoman !
Tout ceci me conforte dans une idée qui n’engage que ma modeste personne mais qui me suit depuis quelques bonnes années.
L’analyse est simple ; bien que la corruption caractérise de nombreux pays et contrées de cette planète, j’ai constaté que les pays qui ont appartenu à l’Empire ottoman sont toutes, sans aucune exception, dans la même déplorable situation par rapport à la corruption. Dans le même classement on trouve : Algérie 2.8/10, Libye 2.5/10, Liban 2.5/10, Egypte 2.8/10, Syrie 2.6/10 et j’en passe.
Rien d’étonnant, tous ceux qui connaissent un peu l’histoire, se rappellent que la Sublime Porte (comme était appelé à l’époque le pouvoir à Istanbul) était corrompu du haut de l’échelle jusqu’au plus bas. Un seul exemple édifiant : pour toute « attribution » du titre et des pouvoirs princiers dans une province, il fallait payer un tribut au Grand Vizir ou à d’autres hauts dignitaires ; le gagnant du titre était celui qui payait la plus forte somme, même s’il n’avait aucune contingence avec le pays ou le peuple respectif.
Je suis originaire de Roumanie, pays qui comporte 3 provinces ; deux appartenant pendant des siècles à l’Empire ottoman, la troisième, la Transylvanie, faisant partie de l’Empire Austro-Hongrois jusqu’en 1918 quand grâce au traité de Versailles elle a pu rejoindre la Roumanie.
Etant moi-même issu de la partie ottomane, j’ai découvert la Transylvanie dans les années ’50, à l’occasion de mes études universitaires. Quel surprise, à environs 30 ans après la réunification, une différence de taille : les villes et villages bien plus propres, plus fleuris, un comportement plus correct et courtois, la valeur de la parole donnée…J’étais ébahi.
Je ne me fais pas d’illusions, comme partout dans le monde, le nivellement par le bas a du faire ses effets, de nos jours ces différences doivent être sinon effacées, au moins fortement diminuées.
J’arrive à la conclusion que l’influence des mœurs de la Sublime Porte à pesée et pèse encore lourdement sur les pays et les peuples qui lui ont été soumis.
Bien sur, cette conclusion pourrait être contestée, par le fait que je compare des pays de différents continents, avec des religions et des coutumes éloignées les unes des autres et ayant vécus sous des régimes politiques éparses. J’accepte ces arguments et je réduis le cercle à des pays de la même région géographique (Europe Centrale) avec la même religion prédominante et ayant vécus sous les mêmes régimes politiques : Roumanie et Bulgarie d’une part, Hongrie et Rep. Tchèque d’autre part ; le classement est de 3.8/10 pour les deux premières, 5.1 et 4.9/10 pour les suivantes. Encore plus saisissant : après le démembrement de la Yougoslavie, un pays, la Slovénie (ex empire Austro-Hongrois) est créditée de 6.6/10 pendant que les autres sont entre 3 et 3.9/10 ! C.Q.F.D.
samedi 20 février 2010
LOUIS XVI et NICOLAS II
J’ai suivi récemment un film sur Marie Antoinette et le règne du dernier Bourbon avant la Révolution, occasion de saisir encore une fois la similitude étonnante, frappante, entre Louis 16-ème du nom et Nicolas II de Russie.
Je suis foncièrement républicain sans être pour autant anti-monarchiste et ma vision sur ces deux souverains est plus que mitigée ; ils me semblent plus comme deux paumés que des méchants loups et j’essaie de m’expliquer.
Tous les deux ont payé durement les exactions, la dureté quelquefois sanguinaire, l’oppression du peuple et la dictature féroce de la majorité de leurs prédécesseurs. Je pourrais même affirmer qu’ils ont payé injustement ces atrocités s’ils ne se rendaient coupables d’un aveuglement et d’une méconnaissance des réalités environnantes.
L’un comme l’autre n’étaient pas faits pour régner et n’étaient pas préparés pour le pouvoir suprême, ils ne le souhaitaient même pas.
Un autre rapprochement, ils ont régné dans des époques différentes (plus d’un siècle de distance les sépare) mais sous le signe d’une fin de cycle : fin de la monarchie absolue en France, fin du régime tsariste en Russie.
La situation socio-politique est aussi similaire : en France, les élites subissent l’ouverture des Lumières en même temps que des désastres économiques et la presque-faillite financière de l’Etat ; la Russie est sous la pression des élites intellectuelles, la misère des masses paysannes et le poids de la guerre ruine l’Etat.
Tous les deux ont en commun une faiblesse personnelle et sous l’influence d’un entourage qui les ont détournés d’une politique réaliste et en phase avec leur temps (à l’exception de Necker pour Louis XVI, mais trop bref et surtout trop tard)
Une autre ressemblance marquante, leurs épouses respectives étaient toutes les deux d’origine étrangère (ce qui focalisait la haine du peuple) et de plus, originaires de pays en conflit (avant ou pendant le règne) avec celui de leur époux. L’une comme l’autre, Marie Antoinette comme la tzarine Alexandra Féodorovna étaient de religion différente de la religion dominante dans leur nouveau pays, ce qui avait à l’époque avait une importance certaine. Les deux ont eu une participation active bien qu’involontaire au discrédit de leurs monarchies : Marie Antoinette par ses dépenses somptuaires, sa légèreté légendaire mêlée d’une sorte d’infantilisme, la tzarine cyclothymique, bigote et sous l’influence aveugle du charlatan Raspoutine.
La triste fin de ces deux monarques est aussi similaire, l’un sous le coup de la guillotine révolutionnaire, l’autre assassiné sauvagement par les hommes de main du nouveau pouvoir bolchevique. Tous les deux ont eu un comportement digne, à la hauteur de leur personnalité politique.
La suite des événements concernant les deux peuples est bien différente : la France, après une période trouble de la Terreur est devenue une République et une des premières démocraties européennes, la Russie est tombée de Charybde en Scylla, de la dictature tsariste en dictature communiste. Mais ceci ne peut que renforcer mon impression sur les coïncidences de ces deux fins de règne.
Sorel Zissu
Février 2010
Je suis foncièrement républicain sans être pour autant anti-monarchiste et ma vision sur ces deux souverains est plus que mitigée ; ils me semblent plus comme deux paumés que des méchants loups et j’essaie de m’expliquer.
Tous les deux ont payé durement les exactions, la dureté quelquefois sanguinaire, l’oppression du peuple et la dictature féroce de la majorité de leurs prédécesseurs. Je pourrais même affirmer qu’ils ont payé injustement ces atrocités s’ils ne se rendaient coupables d’un aveuglement et d’une méconnaissance des réalités environnantes.
L’un comme l’autre n’étaient pas faits pour régner et n’étaient pas préparés pour le pouvoir suprême, ils ne le souhaitaient même pas.
Un autre rapprochement, ils ont régné dans des époques différentes (plus d’un siècle de distance les sépare) mais sous le signe d’une fin de cycle : fin de la monarchie absolue en France, fin du régime tsariste en Russie.
La situation socio-politique est aussi similaire : en France, les élites subissent l’ouverture des Lumières en même temps que des désastres économiques et la presque-faillite financière de l’Etat ; la Russie est sous la pression des élites intellectuelles, la misère des masses paysannes et le poids de la guerre ruine l’Etat.
Tous les deux ont en commun une faiblesse personnelle et sous l’influence d’un entourage qui les ont détournés d’une politique réaliste et en phase avec leur temps (à l’exception de Necker pour Louis XVI, mais trop bref et surtout trop tard)
Une autre ressemblance marquante, leurs épouses respectives étaient toutes les deux d’origine étrangère (ce qui focalisait la haine du peuple) et de plus, originaires de pays en conflit (avant ou pendant le règne) avec celui de leur époux. L’une comme l’autre, Marie Antoinette comme la tzarine Alexandra Féodorovna étaient de religion différente de la religion dominante dans leur nouveau pays, ce qui avait à l’époque avait une importance certaine. Les deux ont eu une participation active bien qu’involontaire au discrédit de leurs monarchies : Marie Antoinette par ses dépenses somptuaires, sa légèreté légendaire mêlée d’une sorte d’infantilisme, la tzarine cyclothymique, bigote et sous l’influence aveugle du charlatan Raspoutine.
La triste fin de ces deux monarques est aussi similaire, l’un sous le coup de la guillotine révolutionnaire, l’autre assassiné sauvagement par les hommes de main du nouveau pouvoir bolchevique. Tous les deux ont eu un comportement digne, à la hauteur de leur personnalité politique.
La suite des événements concernant les deux peuples est bien différente : la France, après une période trouble de la Terreur est devenue une République et une des premières démocraties européennes, la Russie est tombée de Charybde en Scylla, de la dictature tsariste en dictature communiste. Mais ceci ne peut que renforcer mon impression sur les coïncidences de ces deux fins de règne.
Sorel Zissu
Février 2010
samedi 16 janvier 2010
Tout va bien Mme la Marquise ! Et le PS aussi.
Les temps sont durs pour les humoristes ; ni Canteloup, Gerra ou Roumanoff, ni les chansonniers des Deux Anes ne peuvent plus rivaliser avec le PS, le seul grand amuseur de notre pays. Au chômage les autres !
Presque chaque semaine, nous avons le plaisir de rire aux larmes avec le lot de sketchs élaborés par nos humoristes (involontaires) du PS ; en parenthèse, je présente mes excuses à la mémoire de Jean Jaurès et Léon Blum ainsi qu’aux vrais socialistes d’antan, mais comme ils n’ont pas encore changé de nom…
Il y a quelque temps, la belle et toujours souriante Ségolène, plus royale que jamais, s’invitait à Dijon car elle se sentait « bien chez elle » là où précisément personne n’en voulait. Nous avons tous rigolé sauf Vincent Peillon son ex partisan et nouvel adversaire, camaraderie oblige. Un peu avant, la même Ségolène abreuvait des excuses ceux qui n’en demandaient pas !
Je reviens à Peillon qui a fait plus fort ; invité à une émission télévisé, il décide d’une manière préméditée de faire faux bond en dernière minute ; suite à quoi, il demande la démission d’Arlette Chabot, la responsable de la chaîne ; ce n’est pas de l’humour ?
Mais, le summum c’est la découverte de plusieurs responsables socialistes ; nous sommes en plein vichysme !
D’abord ils se sont mis à deux poux traiter leur ex-collègue à la direction de PS de…Laval et Déat et Marquet. Mais bien sur, c’est l’occasion de nous rappeler que le passage du socialisme au fascisme fut un sport pratiqué joyeusement à une époque et ce n’est pas uniquement ces trois personnes qui l’ont pratiqué ; sauf erreur, c’est la majorité des députés socialistes de l’Assemblée de l’époque qui votérent des pleins pouvoirs à Pétain ! Es-que MM Cambadelis et Huchon ont souhaité nous le faire rappeler et souligner cette tendance unilatérale ? (car je ne connais pas des fascistes qui se sont convertis aux socialisme.) Dans ce cas, c’est très bien, sinon c’est de l’humour (involontaire, bien sûr.)
Mais ce qui m’a fait le plus marrer c’est l’intervention de Roland Dumas, traitant la proposition d’une loi contre la burqua de vichyste. Ce fut une simple confusion : il se croyait toujours en compagnie de son patron et ami, le plus grand serviteur de Vichy qui a sévi longtemps dans l’après guerre ! Peut-être le reconnaîtrons-nous ?
Presque chaque semaine, nous avons le plaisir de rire aux larmes avec le lot de sketchs élaborés par nos humoristes (involontaires) du PS ; en parenthèse, je présente mes excuses à la mémoire de Jean Jaurès et Léon Blum ainsi qu’aux vrais socialistes d’antan, mais comme ils n’ont pas encore changé de nom…
Il y a quelque temps, la belle et toujours souriante Ségolène, plus royale que jamais, s’invitait à Dijon car elle se sentait « bien chez elle » là où précisément personne n’en voulait. Nous avons tous rigolé sauf Vincent Peillon son ex partisan et nouvel adversaire, camaraderie oblige. Un peu avant, la même Ségolène abreuvait des excuses ceux qui n’en demandaient pas !
Je reviens à Peillon qui a fait plus fort ; invité à une émission télévisé, il décide d’une manière préméditée de faire faux bond en dernière minute ; suite à quoi, il demande la démission d’Arlette Chabot, la responsable de la chaîne ; ce n’est pas de l’humour ?
Mais, le summum c’est la découverte de plusieurs responsables socialistes ; nous sommes en plein vichysme !
D’abord ils se sont mis à deux poux traiter leur ex-collègue à la direction de PS de…Laval et Déat et Marquet. Mais bien sur, c’est l’occasion de nous rappeler que le passage du socialisme au fascisme fut un sport pratiqué joyeusement à une époque et ce n’est pas uniquement ces trois personnes qui l’ont pratiqué ; sauf erreur, c’est la majorité des députés socialistes de l’Assemblée de l’époque qui votérent des pleins pouvoirs à Pétain ! Es-que MM Cambadelis et Huchon ont souhaité nous le faire rappeler et souligner cette tendance unilatérale ? (car je ne connais pas des fascistes qui se sont convertis aux socialisme.) Dans ce cas, c’est très bien, sinon c’est de l’humour (involontaire, bien sûr.)
Mais ce qui m’a fait le plus marrer c’est l’intervention de Roland Dumas, traitant la proposition d’une loi contre la burqua de vichyste. Ce fut une simple confusion : il se croyait toujours en compagnie de son patron et ami, le plus grand serviteur de Vichy qui a sévi longtemps dans l’après guerre ! Peut-être le reconnaîtrons-nous ?
Il faut pardonner à M. Dumas ; cette bourde est le résultat d’un vieillissement accéléré par des excès sexuels en compagnie d’une plus jeune et active péripatéticienne ; qui a monnayé ces « faveurs » en contrepartie des largesses payées avec l’argent du contribuable français via Elf. Eh bien ; ceci ne vous fait pas rire ?
Sorel Zissu
Janvier 2010
Sorel Zissu
Janvier 2010
Article d'une journaliste saoudienne
Moi et mes quatre époux
vendredi 15 janvier 2010, par Nadine El Boudaïr
Donnez-moi la permission de me marier avec quatre hommes…voire cinq...ou neuf, si c’est possible. Permettez-moi de vous singer. Donnez-moi la chance de pouvoir les choisir à ma guise, selon mes obsessions, et les folies de mon imagination. J’aimerais les prendre de types et de formes différents. Je souhaiterais que l’un soit blond, un autre brun, de grande ou peut-être de petite taille. Je les choisirais de multiples pays, de religions, et de races. Et je vous garantirais que la paix et la bonne entente régnerait, la guerre civile masculine n’aurait pas lieu si l’unificateur était une femme.
Débrouillez-moi une loi positive ou bricolez-en une autre, divine. Rajoutez un nouvel article parmi votre liste habituelle de fatwas et de toquades dont vous vous accordez sans peine, et à l’unanimité. Comme je suis obligée de subir sans justifications le ‘mariage de plaisir’, de coutumes, de boy-friends, de vacances, de clandestinité, et tant d’autres genres de mariages, permettez-moi, à mon tour, d’épouser quatre mecs.
C’est ainsi que j’ai revendiqué un jour mon droit à la réciprocité : la polygamie islamique, mais à l’envers. Réprobation totale des femmes avant les hommes. Surtout les femmes mariées, et celles qui subissent, elles-mêmes, la polygamie ! Les religieux ont écrit une montagne d’articles et ont posé plein de questions sur la solidité de ma conception du mariage et la profondeur de ma foi. Des lecteurs se sont mobilisés aussi en m’écrivant des centaines de lettres dont les plus insolites sont celles qui venaient de ceux qui voulaient faire la queue parmi mes éventuels maris espérés !
Le fond du problème réside dans ma conception monogamique inébranlable de la relation. Je porte en moi une jalousie et un désir radical de provoquer l’homme musulman polygame. En essayant d’être, comme lui, entre les bras de quatre hommes.
Les hommes n’adorent-ils pas cela ? Ne l’espèrent-ils pas implicitement et explicitement ? Je me suis toujours interrogée sur ce monopole masculin.
Mais personne n’a pu me convaincre de la légitimité de cette exclusivité. Pourquoi suis-je privée de la pluralité de maris ? Ils m’ont toujours rabâché, vainement, le même raisonnement à deux sous ! Physiquement, vous ne pourriez pas assumer plusieurs hommes à la fois, me lancent-ils. Et l’épouse qui trompe ? Et la prostituée ? N’en font-elles pas autant ? Je pourrais bien, moi aussi, ai-je répondu ! La femme est dotée d’une quantité inestimable d’amour, c’est un péché de gaspiller tout cela. Elle a un cœur d’amour et c’est vraiment un gâchis qu’il soit réservé à un seul homme.
Si l’homme ne peut se suffire sexuellement d’une seule femme, de son côté la femme ne peut pas se satisfaire d’un seul amour. Quant à la filiation, l’ADN résoudrait le problème. Depuis quelques temps, je ne cogite plus sur la polygamie et comment guérir l’homme. Mais je réfléchis sérieusement sur la question du désir féminin multiple, resté toujours refoulé, depuis la disparition de la société matriarcale. L’apparition de la famille est le résultat de l’organisation de l’économie et le désir de bien déterminer l’héritage et le protéger. Pour cette raison, les humains ont inventé le mariage, ensuite les religions sont venues pour l’imposer comme institution qui garantirait la bonne marche de la procréation et pour éviter ‘l’anarchie des instincts’. […]
La protection des intérêts matériels de la société a toujours pris le dessus sur la passion amoureuse. Le sexe devient dans l’institution du mariage un devoir monotone. Un simple rite parmi les rites quotidiens du mariage. Un moyen de procréation, une démonstration de virilité. Au sein du mariage, le sexe est tout, sauf un plaisir physique et mental.
Les hommes se plaignent souvent ainsi : « je m’ennuie, elle est devenue comme ma sœur. Elle ne m’attire plus sexuellement. Comme avant, ma maison est comme une entreprise aujourd’hui. L’amour s’est éclipsé. »
L’ennui est-il l’avenir naturel de tout couple ? Les hommes ne trompent pas leur femmes parce qu’ils n’ont pas de morale, mais à cause de l’ennui, cette maladie que les traditions et les religieux essayent vainement de guérir.
Quant à la femme musulmane, elle ne trompe pas son mari, parce qu’elle ne s’ennuie pas. Mais au contraire, elle n’a jamais connu le plaisir depuis son mariage traditionnel orchestré. Elle ne peut le tromper, les traditions et les religieux lui ont imposé une résidence surveillée et le silence.
Les femmes mariées d’Orient sont-elles satisfaites sexuellement ?
Certainement pas. La femme a honte de parler de l’absence d’orgasme ou de sa disparition. Elle n’ose jamais avouer que son mari ne lui inspire aucun désir. Mais elle continue quand même à subir la chose. Parce qu’elle considère la satisfaction sexuelle de son mari comme un devoir religieux pouvant mener au paradis. Si elle refuse de le satisfaire, il la maudit ainsi que les anges. […]
Le mariage est-il une erreur ? L’officialisation de la relation en est-elle la raison ? Est-il raisonnable de transformer les sentiments censés être spirituels en documents papier ? L’intervention de la famille, de la religion, de l’administration c’est cela qui vide les sentiments de toute spiritualité.
La polygamie, répliquent beaucoup de musulmans, est l’antidote contre la monotonie, l’ennui. Une réponse favorable aux désirs légitimes des maris.
Mais pourquoi cette monopolisation de la polygamie ? Pourquoi cette discrimination envers les femmes ? Comment satisfaire les désirs féminins ?
Soit l’égalité pour nous tous, soit inventer une autre façon de vivre en couple, une nouvelle voie qui résoudrait la question de la monotonie dans le couple et l’installation du ‘déjà-vu’. En attendant, la question reste posée : comment faire si son corps me dégoute ? Si je sens qu’il est devenu comme mon frère ? Sans aucun intérêt érotique ?
NADINE EL-BOUDAÏR, Journaliste Saoudienne.
In El Hiwar El Moutamadine, le 17/12/2009
Traduction de l’Arabe par Hamid Zanaz
vendredi 15 janvier 2010, par Nadine El Boudaïr
Donnez-moi la permission de me marier avec quatre hommes…voire cinq...ou neuf, si c’est possible. Permettez-moi de vous singer. Donnez-moi la chance de pouvoir les choisir à ma guise, selon mes obsessions, et les folies de mon imagination. J’aimerais les prendre de types et de formes différents. Je souhaiterais que l’un soit blond, un autre brun, de grande ou peut-être de petite taille. Je les choisirais de multiples pays, de religions, et de races. Et je vous garantirais que la paix et la bonne entente régnerait, la guerre civile masculine n’aurait pas lieu si l’unificateur était une femme.
Débrouillez-moi une loi positive ou bricolez-en une autre, divine. Rajoutez un nouvel article parmi votre liste habituelle de fatwas et de toquades dont vous vous accordez sans peine, et à l’unanimité. Comme je suis obligée de subir sans justifications le ‘mariage de plaisir’, de coutumes, de boy-friends, de vacances, de clandestinité, et tant d’autres genres de mariages, permettez-moi, à mon tour, d’épouser quatre mecs.
C’est ainsi que j’ai revendiqué un jour mon droit à la réciprocité : la polygamie islamique, mais à l’envers. Réprobation totale des femmes avant les hommes. Surtout les femmes mariées, et celles qui subissent, elles-mêmes, la polygamie ! Les religieux ont écrit une montagne d’articles et ont posé plein de questions sur la solidité de ma conception du mariage et la profondeur de ma foi. Des lecteurs se sont mobilisés aussi en m’écrivant des centaines de lettres dont les plus insolites sont celles qui venaient de ceux qui voulaient faire la queue parmi mes éventuels maris espérés !
Le fond du problème réside dans ma conception monogamique inébranlable de la relation. Je porte en moi une jalousie et un désir radical de provoquer l’homme musulman polygame. En essayant d’être, comme lui, entre les bras de quatre hommes.
Les hommes n’adorent-ils pas cela ? Ne l’espèrent-ils pas implicitement et explicitement ? Je me suis toujours interrogée sur ce monopole masculin.
Mais personne n’a pu me convaincre de la légitimité de cette exclusivité. Pourquoi suis-je privée de la pluralité de maris ? Ils m’ont toujours rabâché, vainement, le même raisonnement à deux sous ! Physiquement, vous ne pourriez pas assumer plusieurs hommes à la fois, me lancent-ils. Et l’épouse qui trompe ? Et la prostituée ? N’en font-elles pas autant ? Je pourrais bien, moi aussi, ai-je répondu ! La femme est dotée d’une quantité inestimable d’amour, c’est un péché de gaspiller tout cela. Elle a un cœur d’amour et c’est vraiment un gâchis qu’il soit réservé à un seul homme.
Si l’homme ne peut se suffire sexuellement d’une seule femme, de son côté la femme ne peut pas se satisfaire d’un seul amour. Quant à la filiation, l’ADN résoudrait le problème. Depuis quelques temps, je ne cogite plus sur la polygamie et comment guérir l’homme. Mais je réfléchis sérieusement sur la question du désir féminin multiple, resté toujours refoulé, depuis la disparition de la société matriarcale. L’apparition de la famille est le résultat de l’organisation de l’économie et le désir de bien déterminer l’héritage et le protéger. Pour cette raison, les humains ont inventé le mariage, ensuite les religions sont venues pour l’imposer comme institution qui garantirait la bonne marche de la procréation et pour éviter ‘l’anarchie des instincts’. […]
La protection des intérêts matériels de la société a toujours pris le dessus sur la passion amoureuse. Le sexe devient dans l’institution du mariage un devoir monotone. Un simple rite parmi les rites quotidiens du mariage. Un moyen de procréation, une démonstration de virilité. Au sein du mariage, le sexe est tout, sauf un plaisir physique et mental.
Les hommes se plaignent souvent ainsi : « je m’ennuie, elle est devenue comme ma sœur. Elle ne m’attire plus sexuellement. Comme avant, ma maison est comme une entreprise aujourd’hui. L’amour s’est éclipsé. »
L’ennui est-il l’avenir naturel de tout couple ? Les hommes ne trompent pas leur femmes parce qu’ils n’ont pas de morale, mais à cause de l’ennui, cette maladie que les traditions et les religieux essayent vainement de guérir.
Quant à la femme musulmane, elle ne trompe pas son mari, parce qu’elle ne s’ennuie pas. Mais au contraire, elle n’a jamais connu le plaisir depuis son mariage traditionnel orchestré. Elle ne peut le tromper, les traditions et les religieux lui ont imposé une résidence surveillée et le silence.
Les femmes mariées d’Orient sont-elles satisfaites sexuellement ?
Certainement pas. La femme a honte de parler de l’absence d’orgasme ou de sa disparition. Elle n’ose jamais avouer que son mari ne lui inspire aucun désir. Mais elle continue quand même à subir la chose. Parce qu’elle considère la satisfaction sexuelle de son mari comme un devoir religieux pouvant mener au paradis. Si elle refuse de le satisfaire, il la maudit ainsi que les anges. […]
Le mariage est-il une erreur ? L’officialisation de la relation en est-elle la raison ? Est-il raisonnable de transformer les sentiments censés être spirituels en documents papier ? L’intervention de la famille, de la religion, de l’administration c’est cela qui vide les sentiments de toute spiritualité.
La polygamie, répliquent beaucoup de musulmans, est l’antidote contre la monotonie, l’ennui. Une réponse favorable aux désirs légitimes des maris.
Mais pourquoi cette monopolisation de la polygamie ? Pourquoi cette discrimination envers les femmes ? Comment satisfaire les désirs féminins ?
Soit l’égalité pour nous tous, soit inventer une autre façon de vivre en couple, une nouvelle voie qui résoudrait la question de la monotonie dans le couple et l’installation du ‘déjà-vu’. En attendant, la question reste posée : comment faire si son corps me dégoute ? Si je sens qu’il est devenu comme mon frère ? Sans aucun intérêt érotique ?
NADINE EL-BOUDAÏR, Journaliste Saoudienne.
In El Hiwar El Moutamadine, le 17/12/2009
Traduction de l’Arabe par Hamid Zanaz
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