Nicolas Demorand, directeur du quotidien « Libération »
s’est mué en un nouveau ZORRO, sortant son sabre vengeur pour démolir le
racisme en France:
Maque de pot, le pauvre journaliste s’est
pris les pieds pas dans un tapis mais carrément dans un magasin rempli de
tapis. Eh oui, le journalisme de supermarché, vite fait, pas cher et mal fait,
ca crée des dégâts ; et des dégâts il y en a pas mal dans sa bafouille à
deux cents.
D’abord il découvre un vent de colère qui
est «
la manifestation d’un effroi face au délitement de ce qui nous tient ou
nous tenait unis, rassemblés dans une même histoire et une même géographie. »
Mais il somnole depuis combien d’années, sinon des décennies sieur Demorand ?
Car ca fait un bail que ce délitement
est une réalité dans le paysage du pays, que les liens qui nous tenaient unis
ne sont plus une réalité dans ce que des
auteurs ont nommé « Les territoires perdues de la République ». Je n’ai
pas besoin de les citer, tout les gens sans œillères, c'est-à-dire 90 % de la
population (à l’exception de certains bobos des quartiers huppés de la capitale)
connaissent bien la situation.
Lui, de sa haute position à la tête de Libé
découvre le fil à couper le beurre : c’est uniquement depuis quelques mois
que des manifestations racistes se font connaître. Bien sur, les excès dont il
fait écho sont condamnables. Mais résumer le racisme uniquement à ces phénomènes
récents démontrent une méconnaissance terrifiante de la réalité du pays ou une
mauvaise fois totale (j’opte pour la deuxième hypothèse) Car « apparemment »
il ne connait pas :
-
Ni le racisme anti-blanc proféré partout par
les « Indigènes de la République » et accolites dont le porte parole
Houria Boutedja s’est fait connaître en traitant les français des « souchiens » ;
dans des manifestation diverses, les émules de ce groupuscules ont crié « mort
aux faces de craie »
-
Ni le racisme anti-français des groupes et
individus divers proférant des obscénités que je n’ose même pas reproduire dans
cet article ; dont des groupes de cesoi-disant art appelée rap
se sont fait une spécialité, sans que
personne dans l’univers (de plus en plus restreint) de la gauche bien pensante
ne s’en émeuve. Demorand inclus.
-
Non plus la haine anti-juive dans des zones
et quartiers entourant la capitale et des grandes villes de France, haine manifestée
à satiété, jusqu’aux agressions physiques.
L’incompétence de M. Demorand ne s’arrête
pas là ; il englobe dans les actes racistes les jacqueries bretonnes et
les huées pendant le discours u Président de la République ! Rien que ca !
Alors mon petit Demorand, si je critique
la politique du gouvernement je suis aussi un raciste ? Ou peut-être de
vous ridiculiser, c’est bien sur du racisme anti-Demorand…
Ce n’est pas fini !
Il amalgame
l’antisémitisme et l’islamophobie. Or tout élève de terminale sait que le premier est une
haine contre une population bien définie (les sémites) tandis que la deuxième –
comme le nom l’indique – est une phobie, donc une peur incontrôlée,
pathologique envers l’islam. Sur le plan juridique la différence est de taille
aussi : le premier est un délit, le deuxième non, personne n’est
responsable de sa phobie, tant que celle-ci n’amène pas vers des actes délictuels.
Tout élève de terminale le sait, Nicolas Demorand non !
Voilà où est arrivé le journalisme de gauche
(pléonasme) où est le niveau intellectuel des prêts à penser issus de l’école de journalisme.