Mais bon sang, c’est bien ça ! Nicolas Sarkozy a bien eu raison de
faire la parallèle avec les méthodes de la STASI concernant les écoutes
téléphoniques mais aussi au-delà de cet aspect.
Moi, qui ai connu pendant des décennies le bonheur d’être en permanence
sous surveillance et à la merci de ces polices parallèles genre STASI, KGB ou
SECURITATE me considère suffisamment en connaissance de cause pour conforter la justesse de sa déclaration.
Nous sommes en France sous la coupe d’une gauche crypto-marxiste, la
plus rétrograde, archaïque et intolérante de toute l’Europe, de plus une gauche
totalement coupé du peuple sinon contre le peuple comme l’a intitulé un de très
rares journalistes de gauche honnêtes (si, si, ca existe, spécimen rarissime)
Hervé Algalarrondo. Elle possède tous les leviers du pouvoir politique (la
Présidence et le gouvernement, les deux Assemblés, la presque totalité des
régions, la grande majorité des départements, etc.) Mais en plus, elle possède deux
pouvoirs de choc : les médias (93 % des journalistes sont de gauche) et une
grande partie du pouvoir judiciaire avec son fer de lance le Syndicat de la
Magistrature organe stalinien pure souche qui ferait pâlir d’envie le cher « regretté »
Vychinski, le grand manitou des procès de Moscou.
Or, le système des écoutes téléphoniques à l’excès, ne date pas
d’hier ; l’ancien Président de la République, le célèbre maréchaliste à la
francisque (ripoliné en socialiste après la libération) a organisé même une
cellule de barbouzes pour protéger ses secrets d’alcôve. Avec la même arme, les
écoutes téléphoniques !
Revenons aux faits actuels ; notre Président en exercice a réagi immédiatement,
définissant la comparaison comme « insupportable ! Si insupportable que ca ? Voyons !
Si comparaison n’est pas raison, il y a quand même des similitudes plus
que troublantes avec les pratiques des pays totalitaires :
-
Nous sommes en démocratie, certes. Mais les
pays dotés de polices politiques n’étaient pas aussi des
« démocraties » et de plus « populaires » ?
-
Si les agents de la STASI et consorts
sortaient des écoles spécialisées dans la police de la vie et la pensée
« correcte » nous avons l’Ecole de la Magistrature et l’Ecole du
Journalisme qui formatent de la même façon les troupes de moutons ou des loups plus
ou moins enragés prêts à mordre toute individu coupable d’une parole ou pensée
non conforme.
-
Si dans les pays de la glaciation soviétique
tous les organisations légales étaient affidés et collaboraient avec la police
politique, nous avons aussi nos associations soi-disant antiracistes et de
défense de minorités agissantes qui sont prêtes à venir au secours de la pensée
officielle et condamner pénalement, civilement et même tuer professionnellement
toute personne coupable de mal penser.
Les similitudes ne sont pas suffisantes ? Il n’y a qu’à voir le flot de dénégations
maladroites, de contradictions flagrantes et surtout des mensonges effrontés (Mme
Taubira, la plus dangereuse et la plus antirépublicaines de tous les ministres
de la V-e République) concernant la connaissance et l’implication dans
l’organisation du système de flicage politique récent. A quelques jours d’une élection
dont la déroute de cette gauche était annoncé !
Et on mesure la terreur de ces ploutocrates de gauche devant la furie
populaire par leurs réactions hystériques
d’une ampleur jamais connu suite à la lecture de la tribune de Nicolas Sarkozy
dans Le Figaro.
Mais leur pensée perverse va bien plus loin ; l’objectif c’est
d’abattre Nicolas Sarkozy par tous les moyens, même illégales, en tout cas les
plus abjectes. Car c’est le seule homme capable de pulvériser les chances de
n’importe quel candidat socialiste en 2017. En son absence, un duel Hollande-
Marine le Pen peut sauver la mise de ce cancer mortel appelé le socialisme à la
française, maladie déjà à l’œuvre depuis deux ans qui poursuit la tâche
destructrice de ce qui reste de notre civilisation.