Cette idée, mûrie depuis un bon moment, je l’ai
mis en page suite aux cris de stupeur et horreur d’un grand ami, un américain
très francophile et francophone, devant le tragique incendie de la Cathédrale Notre
Dame de Paris.
Qui ne se rappelle pas du surnom donné au
début du XXème siècle à l’empire Ottoman ? C’était « l’homme malade
de l’Europe » qui est devenu cet ancien empire tout puissant et craint. Pas
plus de deux décennies après, cet empire s’écroulait, il était dépecé et réduit
à sa plus simple expression : la Turquie actuelle.
Sans faire un parallélisme absolu, car les causes,
l’environnement géopolitique et le déroulement de cet écroulement ne sont pas
de même nature, je prends le risque d’affirmer que la France de nos jours est dans le même stade et je ne vois aucun
salut se profiler à l’horizon.
Survolons très superficiellement la
situation.
1
Sur le plan économique
Dans un pays « en état de
faillite » (expression utilisé par un ancien premier ministre) avec une
dette abyssale, une partie de la population demande à grands cris
plus de pouvoir d’achat. Soit mais allons plus loin.
La dette actuelle (plus de 34000 € par
habitant) devra un jour être payée et elle sera obligatoirement payée par les
enfants et les petits enfants de ces brailleurs que j’accuse d’être des
parricides en devenir, suite à leur
égoïsme imbécile.
La France vend depuis un bon moment la
plupart des « bijoux de famille » : entreprises, terres
agricoles, forêts, vignobles, châteaux, bâtiments, grandes infrastructures et j’en passe. Et malgré cette braderie
inimaginable, la dette continue de s’agrandir. Car nous assistons depuis
environs 40 ans à une gabegie monstrueuse des pouvoirs publics (Etat et
collectivités territoriales) d’une incapacité doublée d’incompétence des
responsables.
Et, devant les manifs dans les rues, les
mêmes irresponsables distribuent des dizaines de milliards d’euros qui
creusent encore plus la dette, sans un début de commencement d’économies dans
la gestion de l’argent public.
Parallèlement, et conséquence aux mêmes
politiques désastreuses, nous assistons
impuissants à une paupérisation continue des pans entiers du pays
C’est une faute très grave, j’ose dire un
crime à l’égard du pays tout entier.
2 Sur le plan socio-culturel et
civilisationnel.
Sans être un adepte de la théorie du grand remplacement,
je constate que la politique migratoire incontrôlée, a crée dans certaines
zones, (ce qu’un groupe d’intellectuels a appelé « Les territoires perdues
de la République ») une
concentration de populations coupés de la nation qui fonctionnent sous une
forme de ghettos appliquant des coutumes et des modes de vie en contradiction
avec les lois et les pratiques de la République Française. Ce sont des vrais
bantoustans dirigés par des gros
trafiquants et des barbus souvent les deux en symbiose.
Reprenant les paroles d’un récent
ex-ministre de l’Intérieur, si aujourd’hui nous vivons cote à cote avec eux, demain il y a des forts
risques de vivre face à face. Mauvais présage…
En parallèle, il y a une irruption de
groupes et groupuscules formés de minorités très agissantes qui contestent le
socle de pays, en accusant la France et collectivement tous Français « non
racisés » de racisme, discriminations, fautes collectives et inexpiables
de l’ancienne colonialisation. Ces groupes vont jusqu’à pratiquer un vrai
racisme, créant des actions, meetings et autres formes interdites aux « non-racisés » en clair aux
blancs. Toutes ces actions incompatibles avec la législation française s’exercent
au vu et au su de tout le monde sans
aucune réaction des pouvoirs publics et avec le soutien massif de certains
bobos autoproclamés intellectuels et des ultras féministes intersectionnelles.
Pour les non initiés, voir un article qui
vous explique ces « nouvelles notions ».
Et un autre qui dévoile ce nouveau racisme caché sous l’appellation de l’antiracisme.
3 Sur le plan moral et philosophique
Pour qu’un pays puisse fonctionner d’une
manière normale, tant soit peu pacifique
et consensuelle il est impératif que la majorité de sa population adhère à des
valeurs communes de civilisation, des valeurs morales et spirituelles, à des
principes de vie en société, enfin une minimum de connaissance (et
reconnaissance) pour l’histoire, la culture et ce que des grandes personnalités
ont laisse en héritage. Cette adhésion commune
fut adoptée aussi par des millions d’immigrés qui, dans le siècle précédant,
sont arrivés en France avec la volonté
inébranlable de s’intégrer et faire sienne cet héritage. En un mot, ceci
s’appelle le patriotisme, simplement d’aimer son pays.
Avec grande tristesse, nous constatons de
nos jours une méprise quasi généralisée de cet impératif.
Beaucoup de Français vivent dans un
hédonisme débridé, avec un vie étroitement égoïste et sans un minimum de connaissances
pour les inestimables trésors de la culture et l’intelligence de leurs aïeuls.
Quant aux masses des immigrés relativement
récents, leur intégration a échouée ceci
pour des raisons multiples. Conséquence,
leurs enfants et petits enfants sont devenus la proie des trafiquants et des religieux
extrémistes, en inoculant progressivement une haine pour leur pays d’accueil et
sa civilisation. D’où, une masse plus ou moins importante mais en tout cas dangereuse
pour l’unité du pays. Que nos dirigeants essaie de calmer par des subsides de
toute sorte, par des « accommodements raisonnables » enfin tout
un système de plâtrage inefficace à long
terme.
Tout ceci ne peut générer qu’une disparition
pur et simple de la France tel que nous et d’autres ont connu et aimé.
depuis la publication les choses se sont amplifiees et il semble qu'il n'y a ps de marche arriere. j'ai ecrit ca en 1993 sous le pseudonyme cassandra, j'ai discute avec le feu devedjian, il n'a pas compris meme l'analyse des faits que je lui est mis sur la table. je lui ai communique que sinon les politiciens se reveille, dans 30-40 ans on va se demander quel est le drapeau francais. malheureusement ils ont restes endormis sous le parfum socialiste
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