dimanche 21 avril 2019

REQUIEM POUR UNE FRANCE FINISSANTE


Cette idée, mûrie depuis un bon moment, je l’ai mis en page suite aux cris de stupeur et horreur d’un grand ami, un américain très francophile et francophone, devant le tragique incendie de la Cathédrale Notre Dame de Paris.
Qui ne se rappelle pas du surnom donné au début du XXème siècle à  l’empire  Ottoman ? C’était « l’homme malade de l’Europe » qui est devenu cet ancien empire tout puissant et craint. Pas plus de deux décennies après, cet empire s’écroulait, il était dépecé et réduit à sa plus simple expression : la Turquie actuelle.
Sans faire un parallélisme absolu, car les causes, l’environnement géopolitique et le déroulement de cet écroulement ne sont pas de même nature, je prends le risque d’affirmer que la France de nos jours  est dans le même stade et je ne vois aucun salut se profiler à l’horizon.
Survolons très superficiellement la situation.

 1 Sur le plan économique

Dans un pays « en état de faillite » (expression utilisé par un ancien premier ministre) avec une dette abyssale, une partie de la population demande à grands cris plus de pouvoir d’achat. Soit mais allons plus loin.
La dette actuelle (plus de 34000 € par habitant) devra un jour être payée et elle sera obligatoirement payée par les enfants et les petits enfants de ces brailleurs que j’accuse d’être des parricides en devenir, suite à leur égoïsme imbécile.
La France vend depuis un bon moment la plupart des « bijoux de famille » : entreprises, terres agricoles, forêts, vignobles, châteaux, bâtiments, grandes infrastructures  et j’en passe. Et malgré cette braderie inimaginable, la dette continue de s’agrandir. Car nous assistons depuis environs 40 ans à une gabegie monstrueuse des pouvoirs publics (Etat et collectivités territoriales) d’une incapacité doublée d’incompétence des responsables.
Et, devant les manifs dans les rues, les mêmes  irresponsables distribuent des dizaines de milliards d’euros qui creusent encore plus la dette, sans un début de commencement d’économies dans la gestion de l’argent public.
Parallèlement, et conséquence aux mêmes politiques désastreuses, nous  assistons impuissants à une paupérisation continue des pans entiers du pays
C’est une faute très grave, j’ose dire un crime à l’égard du pays tout entier.

2 Sur le plan socio-culturel et civilisationnel.

Sans être un adepte de la théorie du grand remplacement, je constate que la politique migratoire incontrôlée, a crée dans certaines zones, (ce qu’un groupe d’intellectuels a appelé « Les territoires perdues de la République »)  une concentration de populations coupés de la nation qui fonctionnent sous une forme de ghettos appliquant des coutumes et des modes de vie en contradiction avec les lois et les pratiques de la République Française. Ce sont des vrais bantoustans dirigés  par des gros trafiquants et des barbus souvent les deux en symbiose.
Reprenant les paroles d’un récent ex-ministre de l’Intérieur, si aujourd’hui nous vivons  cote à cote avec eux, demain il y a des forts risques de vivre face à face. Mauvais présage…
En parallèle, il y a une irruption de groupes et groupuscules formés de minorités très agissantes qui contestent le socle de pays, en accusant la France et collectivement tous Français « non racisés » de racisme, discriminations, fautes collectives et inexpiables de l’ancienne colonialisation. Ces groupes vont jusqu’à pratiquer un vrai racisme, créant des actions, meetings et autres formes interdites  aux « non-racisés » en clair aux blancs. Toutes ces actions incompatibles avec la législation française s’exercent  au vu et au su de tout le monde sans aucune réaction des pouvoirs publics et avec le soutien massif de certains bobos autoproclamés intellectuels et des ultras féministes intersectionnelles.


Pour les non initiés, voir un article qui vous explique ces « nouvelles notions ».


Et un autre qui dévoile ce nouveau racisme caché sous l’appellation de l’antiracisme.


3 Sur le plan moral et philosophique

Pour qu’un pays puisse fonctionner d’une manière normale,  tant soit peu pacifique et consensuelle il est impératif que la majorité de sa population adhère à des valeurs communes de civilisation, des valeurs morales et spirituelles, à des principes de vie en société, enfin une minimum de connaissance (et reconnaissance) pour l’histoire, la culture et ce que des grandes personnalités ont laisse  en héritage. Cette adhésion commune fut adoptée aussi par des millions d’immigrés qui, dans le siècle précédant, sont arrivés en France  avec la volonté inébranlable de s’intégrer et  faire  sienne cet héritage. En un mot, ceci s’appelle le patriotisme, simplement d’aimer son pays.
Avec grande tristesse, nous constatons de nos jours une méprise quasi généralisée de cet impératif.
Beaucoup de Français vivent dans un hédonisme débridé, avec un vie étroitement égoïste et sans un minimum de connaissances pour les inestimables trésors de la culture et l’intelligence de leurs aïeuls.
Quant aux masses des immigrés relativement récents, leur intégration  a échouée ceci pour des raisons multiples.  Conséquence, leurs enfants et petits enfants sont devenus  la proie des trafiquants et des religieux extrémistes, en inoculant progressivement une haine pour leur pays d’accueil et sa civilisation. D’où, une masse plus ou moins importante mais en tout cas dangereuse pour l’unité du pays. Que nos dirigeants essaie de calmer par des subsides de toute sorte, par des « accommodements raisonnables » enfin tout un  système de plâtrage inefficace à long terme.
Tout ceci ne peut générer qu’une disparition pur et simple de la France tel que nous et d’autres ont connu et aimé.


1 commentaire:

  1. depuis la publication les choses se sont amplifiees et il semble qu'il n'y a ps de marche arriere. j'ai ecrit ca en 1993 sous le pseudonyme cassandra, j'ai discute avec le feu devedjian, il n'a pas compris meme l'analyse des faits que je lui est mis sur la table. je lui ai communique que sinon les politiciens se reveille, dans 30-40 ans on va se demander quel est le drapeau francais. malheureusement ils ont restes endormis sous le parfum socialiste

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