La CJUE
(Cour de justice de l’Union Européenne) a été fondée principalement avec le but
de contrôler la légalité des actes des institutions
de l'Union européenne et statuer sur le respect qui découlent des traités.
Mais, au
fur et à mesures que les membres de cette respectable institution ont été
recrutés et infiltrés par des « juges Soros », elle s’est arrogée des
droits supra nationaux dans des domaines qui sont de la stricte souveraineté
des Etats.
D’abord,
examinons quelle est le rôle et le pouvoir des « juges Soros » Le
milliardaire rouge Soros, en bon général trotskiste, s’efforce de fragiliser
par tous les moyens les états démocratiques. Tout le monde connait sa fondation
ben nommé Open Society (je traduis : « sociétés ouvertes à tous les
vents) qui aide et finance tout une constellation de groupuscules comme les
« no borders », des ONG immigrationistes, les « antifa »
(comparables par leurs méthodes aux célèbres SA hitlériennes) et autres
formations de même acabit. Elle subventionne aussi la Ligue des Droits de
l’Homme, l’Observatoire International des Prisons et autres organisations
inféodées ; ceci est reconnu par la fondation elle-même :
https://www.opensocietyfoundations.org/newsroom/open-society-foundations-france/fr
Revenons à la CJUE ; un rapport de Grégor Puppinck (président
de l’European Center for Law and Justice) a mis
en lumière le fait que 18 juges de la CEDH liés au réseau
Open Society ont infiltrés l’organisme. La nomination du militant bulgare Yonko
Grozev comme chef de section a été la goutte qui a débordé le vase !.
Rappelons que ce dernier était responsable mondial de la branche sorosiste
appelée l’Open Society Justice
Initiative. Vous trouverez des détails de cette infiltration (vieille stratégie trotskiste) ci-dessous :
https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-30412QE.htm
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2020-001137_FR.html
Ceci a
permis une série d’initiatives permettant à s’immiscer dans le fonctionnement
des Etats membres dont la dernière en date est ubuesque et scandaleuse. Il
s’agit purement et simplement d’appliquer aux militaires des forces armées
françaises le droit de travail applicable aux employés et fonctionnaires
lambda : décompte individuel du
temps, limitation forte du travail de nuit, planification rigide de l’activité
et nécessité d’un accord préalable de chaque personne pour la faire évoluer,
décompte précis des récupérations, etc. Ceci signifie la paralysie des
militaires dans les actions anti terrorises et dans les actions spéciales. Sur
le fond, c’est une condamnation de la défense nationale française.
Monsieur
Jean-Louis Borloo dénonce cette immixtion inacceptable (une de plus, j’ajoute)
dans le fonctionnement d’une structure régalienne et indispensable pour
l’existence même d’un pays. C’est le but
final de Soros et je pense que son imitateur national, le camarade Jean-Luc
Mélenchon, aurait applaudi de deux mains si les élections présidentielles
n’étaient pas aussi proches.
Il est le
moment pour la France de s’exonérer de la tutelle de cet organisme nuisible au
fonctionnement d’une nation indépendante
D’une
manière générale la France devrait contrôler et si nécessaire d’interdire aux
acteurs financiers étrangers d’intervenir dans le fonctionnement des
associations agissant sur notre sol.
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