Depuis le
22 juillet 2020, l’organisme appelé « Défenseur des Droits »
bénéficie d’un nouveau président. Pardon, une nouvelle présidente, de nom
Claire Hédon. J’avais pensé qu’avec le nullissime Toubon cet organisme a
atteint le fond le plus profond et que rien de pire ne pouvait encore arriver.
Tristement,
je reconnais de m’avoir trompé ! Eh oui, Madame Hédon a réussi à faire mieux
dans le néant de la pensée.
Quand j’ai
écouté sa déclaration concernant l’arrêt des contrôles d’identité dans les
zones « sensibles » (excusez mon emploi politiquement correct pour
définir les zones infestées par la délinquance et l’islamisme) j’ai cru au
premier moment que la noble dame a subi un dérangement mental, la faisant perdre
le contrôle de la parole. Seulement, voir une personne ayant ce genre de
problèmes à un poste de responsabilité payée à plus de 15000 €/mois me paraissais
assez étonnant.
Deuxième
erreur de ma part. elle est bien consciente et, en bon soldat de l’ultra
gauche, elle milite pour la désorganisation de notre société. Sauf que dans son
enthousiasme elle a dépassé les bornes. Devant l’énorme levée de boucliers face
a cette bourde (euphémisme) elle a commencé à faire du rétropédalage lamentable.
Interviewé par la journaliste Sonia Mabrouk d’Europe 1, dans un flot ininterrompu
de paroles (ce que j’appelle moi de la diarrhée verbale) elle a essayé de nier
maladroitement ses affirmations antérieures, en coupant continuellement la
parole de la journaliste. PATHETIQUE !
Ni naïveté
ni idéologie, répond-elle à Madame Mabrouk ! Elle nous prend pour des c… ?
Enfin une
petite remarque : si les protestations contre sa déclaration ubuesque ont fusé
du côté de la droite et de la majorité, à la gauche c’est silence radio !
Que sont-ils devenus les stars de la gauche, paralysie vocale ? Il me semble
que même l’extrême gauche a perdu la voix ! Ce serait l’approche des élections
présidentielle, camarade Mélenchon ?
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