L’épidémie, (du grec epi = au dessus et demos = peuple)
est, d’après la définition d’un dictionnaire scientifique, « la
propagation rapide d'une maladie infectieuse à un grand nombre de personnes, le
plus souvent par contagion ».
Dans le cas de celle de Lunel, elle se caractérise par des symptômes bien
particuliers. Sinon, comment expliquer rationnellement que dans une petite
bourgade de l’Hérault, peuplée d’un peu plus de 22000 de Pescalunes (pécheurs de lune en Occitan) cette forme d’épidémie a pu apparaître
soudainement ?
C’est une maladie bénigne, très bénigne, qui apparait
partout dans le pays, mais d’une manière plus ou moins isolée. Elle se
manifeste sous la forme d’un « dérangement psychiatrique » qui pousse
des gens, à aller combattre le mal là où
il se trouve, c'est-à-dire partout ! Chez nous, comme ailleurs.
Pour ce faire, le virus inoculé leur fait manier
n’importe quelle arme, mais
efficacement. En récompense, les malades peuvent opter soit pour un
loisir exaltant (décapitation des gens avec n’importe quel couteau) soit de
passer dans un monde peuplé d’un nombre suffisant de vierges afin de leur procurer des satisfactions suprêmes, et ils deviennent… MARTYRS. (Mes plates
excuses pour les féministes de tout poil, qui peuvent interpréter
tendancieusement, ce qui n’est pas complètement faux.)
Jusqu’ici, rien de spécial, c’est un virus comme un autre
et je ne comprends pas pourquoi des hautes autorités en France comme d’ailleurs
s’inquiètent ! Surtout que la maladie est considérée comme une récompense
divine par des personnalités de grande notoriété scientifique et
culturelle ; des imams éclairés, quoi…
Et la concentration de malades dans la petite commune de
Lunel ? Plus d’une dizaine de cas, partis se battre en Syrie, dont six qui
sont passés dans le monde peuplé de vierges. Ca fait beaucoup et les gens s’interrogent ;
et ils s’interrogent où ? Sur la Place des… Martyrs (de la Résistance). Le
nom, vraiment prédestiné.
Je trouve bien le maire de la commune, du nom de Claude Arnaud. Il s’insurge d’abord : « Les
Lunellois vivent à juste titre comme un profond
sentiment d’injustice le fait que leur ville soit ainsi stigmatisée » Eh
oui, la STIGMATISATION !!! Qu’est qu’on entend partout de cette stigmatisation, tous les Français ne
font rien d’autre que stigmatiser. Mais arrêtez, les gens ont le droit de
s’amuser, d’étrangler, décapiter ou tirer sur des policiers ou tout simplement
d’entrer avec sa voiture dans le tas d’une place publique. C’est simplement la
fête (prononcez « teuf », ca fait plus couleur locale)
Revenons à l’épidémie lunelloise ( le maire préfère cette
appellation à l’autre, en occitan) Car M. le maire s’est avisé après un certain
temps et a osé enfin à demander aux
autorités musulmanes de « s’expriment
clairement pour condamner fermement ces départs»
Mais qu’est qui
lui est arrivé ? Il commence lui aussi à STIGMATISER ?
Le Président de l’Union
des musulmans de Lunel, M. Lahoucine Goumri (l’actuel président, car
l’ancien fait dans la discrétion, vu que son fils lui-même fut atteint de la
maladie) a eu une réaction
exemplaire :
« Sur les 6 000 musulmans de Lunel, on nous parle d’une dizaine de départs, ça représente une infime minorité »
« Sur les 6 000 musulmans de Lunel, on nous parle d’une dizaine de départs, ça représente une infime minorité »
Mais il a
raison ! Dans un commune de 22000 habitants, 6000 musulmans et uniquement une dizaine de malades, ce sont
« des cas isolés » dixit l’honorable Président. Bien sur, quand il y aura quelques milliers,
on peut en rediscuter. Et pour les excuses, continue ce grand penseur,
adressez-vous… à la synagogue. Véridique !
Mais
l’explication, pourquoi à Lunel ? Je crois que c’est la même chose qu’il
m’est arrivé à moi : j’étais au Club Med et il y avait plein de monde. Au
resto, au club, nous étions les uns sur
les autres. Et alors, quelques cas de grippe et tous tombés malades. A Lunel
c’est pareil : la mosquée est petite, probablement pas bien aérée, plein
de monde et le virus se propage. Ne pensez-vous
que c’est la bonne explication ?
Sorel
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