dimanche 17 avril 2016

RADIOSCOPIE DES MANIFESTANTS CONTRE LA LOI TRAVAIL

Nous trouvons les mêmes, strictement les mêmes, chaque fois qu’un gouvernement ose présenter un projet de loi de modernisation de la vie socio-économique qui touche aux « avantages acquis » (institués entre 70 et 90 ans auparavant). Le monde change, l’humanité entière change, tous les pays changent, mais les quelques « happy few » de la nomenklatura française, les champions de l’immobilisme et du conservatorisme aveugle, eux, ne veulent rien changer. Le changement c’est pour les autres, les 95 % des citoyens français. Pour les premies c’est toujours plus, comme écrivait à juste titre François de Closets il y a plusieurs années.
Qui sont-ils ?
D’abord le nombre : entre 390000 le 31 mars et 120000 le 9 avril, d’après les forces de police. Prenons le chiffre maximum de 390000 sur toute la France, dont une partie d’étudiants, élèves et retraités ; mais même sans compter ces derniers, ce chiffre ne représente que 1.56 % de la population salariale. Ridicule, totalement dérisoire, mais nuisible pour la population et pour l’économie du pays. !!
Les organisateurs :
Les sectes qui osent se gratifier de l’appellation syndicats et ne sont que des groupuscules ultra minoritaires  dont la seule préoccupation c’est le maintien des avantages exorbitantes de leurs dirigeants et apparatchiks. Je nomme la CGT, FO, Solidaires et FSU pour les groupuscules se réclamant de salariés, UNEF pour les étudiants, UNL et FIDL pour les élèves. Prochainement, pour gonfler les chiffres ils sortiront les crèches aussi !

C’est très intéressant de regarder un peu la personnalité de certains dirigeants.
Le chef de la CGT, Philippe Martinez, ancien staliniens  enragé, fermé à toute négociation, à tout dialogue, profil clé en main des anciens dirigeants soviétiques ; certains l’appellent le Gromyko bis, pour dire…
Sans faire dans le délit de sale gueule, mais sincèrement regardez-le ! Aimeriez-vous le rencontrer seul, la nuit, dans un endroit isolé ?
 Pour les « Solidaires » (principalement le syndicat SUD) la cheffesse jusqu’à une date  récente fut Madame Annick Coupé, une ancienne maoïste, membre de la «  secte  la  plus dogmatique du maoïsme, celle du Parti communiste révolutionnaire  marxiste- léniniste (PCR-ML) » (Libération du 20 juin 1996). Ne vous fiez pas à sa tête de mémère fatiguée, c’est une dure des durs demandez aux salariés de la Poste où elle a pointé et encaissé le blé mais sans travailler, bien sur. Ca continue avec le facteur pédaleur de Neuilly…On se demande pourquoi les prix des timbres augmentent régulièrement.

Quant à celui de l’UNEF, William Martinet, 
il s’agit d’un «étudiant» tellement retardé, (ou attardé, que sais-je ?) qu’à 28 ans il n’a réussi que d’arriver péniblement en licence…Probablement il continuera d’être étudiant jusqu’à ses 35-40 ans quand, comme d’habitude, on lui trouvera un poste à la direction du PS (supposant que le PS existera encore, hypothèse peu probable)
Pour les mouflets lycéens et collégiens qui braillent à tue tête dans les rue, sont les mêmes qui braillent à la maison demandant à leurs parents plus d’argent de poche (pour de l’herbe ?) et plus de smartphones et d’autres gadgets indispensables à leur statut de leaders.
Et la présence invariable, incontournable, permanente des trotskistes de toute obédiences (et elles sont nombreuses) sans compter les anarchistes, zadistes, no borders, black blocs  et autre casseurs professionnels toujours prêts à découdre avec le « système » c'est-à-dire avec toute forme de légalité républicaine. En association avec des profiteurs qui trouvent l’occasion de se faire  livrer  gratuitement des biens dans les magasins « visités »

Et ainsi va la vie dans la nouvelle Arcadia Felice qui est la France d’aujourd’hui.

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