Tous les citoyens et les organismes victimes des
dégradations des biens publics et privés ou par la perte de jouissance des
locaux pendant certaines manifestation sont ulcérés, révoltés, exaspérés par la
répétition des actes de vandalisme menés par des professionnels de l’anarchie
et de la sauvagerie.
Que dire des forces de l’ordre, victimes des actes de
violence inadmissibles menant souvent à des blessures graves.
Tous ces actes ne peuvent pas être tolérés dans un
pays civilisé et malheureusement la France montre un très mauvais exemple en la matière.
Il y a des solutions, mais elles demandent un pouvoir
politique fort et courageux, qualités absentes aux gouvernants d’aujourd’hui
comme ceux d’hier. Si des mesures efficaces ne seraient pas adoptées par les
pouvoirs publics, la France risque de se voir glisser vers une forme de gouvernement
autocratique sinon dictatorial dans un proche avenir, sinon pire, une réelle
guerre civile.
Dans l’espérance d’un changement salutaire du pouvoir
suite aux élections de 2017, je me permets de faire les propositions
suivantes :
1 Toutes les manifestations autorisées doivent être
déclarés en Préfectures dans un délai convenable pour examiner ensemble avec
les organisateurs les mesures adaptées pour éviter les débordements. Toutes les
dépenses liées aux destructions ou détériorations de biens publics ou privés, y
compris les dépenses d’assurances maladie des éventuels cas de blessures seront
imputées intégralement aux organisateurs de ces manifestations. C’est à eux,
avec leurs propres services d’ordre (appuyés si nécessaire par des forces
d’ordre publics), d’assurer le déroulement pacifique de la manifestation et de
prendre leurs responsabilités.
2 Pour les individus présents dans les manifestations dont
il est prouvé qu’ils ont pris part aux saccages, application automatique des
peines de prison graduées assorties des sanctions financières dissuasives.
3 Pour des personnes étrangères participants à ces
actes, interdiction définitive du territoire.
4 Les services de renseignement doivent suivre tous
les leaders et les meneurs de ces groupes avec des lourdes sanctions à la clé.
5 Les mêmes mesures proposés ci-dessus doivent être
appliqué pour des délits tel que :
-
blocage de voies publiques non autorisés
-
blocage des accès aux
institutions publiques ou privés (exemple raffineries)
-
occupation des lieux publics ou privés non autorisés
Toutes ces mesures doivent être mises en place dans
les 100 jours après l’arrivée au
pouvoir du nouveau gouvernement par des
décrets réglementaires élaborés dans le
Conseil de Ministres et signés par le Président de la République.
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