C’est un slogan que j’entends depuis 30 ans
et qui commence à me fatiguer à mort.
Je passe sur les énergumènes de type « antifa »,
black block » et autres excités, casseurs d’extrême gauche, ce que j’appelle les gaucho-fascistes.
Je passe aussi sur des gens qui ont
encouragés volontairement l’irruption et le développement du Front National. Je
donne un seul exemple, un ancien Président de la V-e République, homme d’extrême
droite, issu de l’extrême droite, pétainiste zélé et décoré avec la francisque
par son idole de maréchal, celui qui allait chaque année pleurer sur la tombe
de Pétain –ennemi de son ennemi- le Général de Gaulle.
Tellement d’extrême droite, que même après la guerre, bien que ripoliné en « socialiste » il a continué de faire ami comme cochon avec les Bousquet, Touvier et autres collabos. Lui, oui, il avait tout intérêt de pousser le Front National et il l’a fait avec joie et succès.
Tellement d’extrême droite, que même après la guerre, bien que ripoliné en « socialiste » il a continué de faire ami comme cochon avec les Bousquet, Touvier et autres collabos. Lui, oui, il avait tout intérêt de pousser le Front National et il l’a fait avec joie et succès.
Mais je pense à plein de gens sincèrement
opposés à l’idéologie lepéniste. (Surtout celle de le Pen père qui n’est quand
même pas la même que celle de Marine le Pen). A tous ceux qui crient à perdre
la voix « à bas le Pen, à bas le Front National » mais qui par leurs
actions deviennent les plus purs propagandistes du Front National, contribuent activement,
bien qu’involontairement, à l’essor du Front National dans les urnes et dans
les esprits.
Je pense aux gens qui, exerçant dans des
postes importants ou moins importants, ont appliqué des mesures opposés aux
intérêts des classes populaires, ouvriers et petits employés. A ceux
qui ont favorisé la création des ghettos communautaristes dans ce qu’on appelle
« Les Territoires perdus de la République", obligeant les gens du peuple à
les quitter ou, pour ceux qui n’ont pas les moyens, de subir le diktat des
dealers ou des islamistes radicaux.
Je pense aux personnes qui ont favorisé et
continuent de favoriser une immigration sauvage, incontrôlée, sachant
pertinemment que la France n’a plus les moyens d’intégrer même pas ceux qui
sont depuis longtemps sur le territoire national.
Je pense aux maires de certaines communes
qui favorisent l’essor d’un islam radical, ennemi des valeurs républicaines, et
ceci pour des calculs électoralistes ; en bafouant quelquefois même la
légalité, en construisant des mosquées avec l’argent publics, sous le masque de
« salles polyvalentes » ou « centres culturels ».
Je pense aux personnes qui critiquent ou s’opposent
à l’état d’urgence, tout en sachant que le péril terroriste est plus fort tous
les jours.
Je pense à tous les responsables et
militants de certains syndicats ou organisations politisés qui pratiquent la
politique du pire, s’opposant, souvent d’une manière violente, aux mesures
favorisant la réduction du chômage et le redressement de l’économie nationale.
Je pense à des juges fortement politisés qui
laissent en liberté des criminels dangereux, et même des terroristes fichés et récidivistes,
conduisant à des nouveaux crimes et actes terroristes.
Je pense enfin à ces (soi-disant)
associations antiracistes, qui traquent juridiquement tous ceux petits ou
grands, qui osent dire la vérité sur ce que beaucoup de monde appelle l’islamo-fascisme
(d’après moi c’est plutôt du nazi-islamisme)
A tout ce beau monde qui utilise à ne plus
supporter ce slogan je dis : ASSEZ,
TAISEZ VOUS !
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