Il y a
un dicton qui dit : « ne tirez pas sur les ambulances » C’est vrai
que le pauvre Jean-Luc, malgré tous les efforts pour paraître consensuel, calme
et confiant, il sent la terre déraper sous ses pieds. L’aura de grand tribun de
la gauche, républicain et laïque s’est évaporé depuis un bon moment aussi bien
que ses convictions en la matière.
D’autres
dictons peuvent lui être appliqués : « chasser le naturel, il revient
au galop » mais plus à l’objet et de nature récente : « trotskiste
un jour, trotskiste toujours »
Et c’est
un ami qui m’a attiré l’attention d’un fait divers que je n’avais pas remarqué.
Il s’agit de la présence et la dispersion d’un groupe d’immigrants place de la
République le 24 novembre 2020. L’arrivé de ces pauvres immigrants utilisés
comme chair à propagande mélenchoniste, fut une organisation parfaite, avec
des tentes toute neuves et du matériel de camping dernier cri, entourés par la
fine fleur de la garde prétorienne de Mélenchon (en tête le benêt Éric Coquerel)
et des soi-disant militants associatifs (issu de la même écurie). Comme par
hasard, un cameraman avec tout l’attelage nécessaire était présent aussi !
L’entrainement était aussi au top : des militants aguerris aux provocations contre
les forces de l’ordre, pour que le caméraman puisse filmer leurs réactions et derrière,
toute un staff bien huilé aux méthodes de l’agit-prop stalinienne, mais cette
fois sur les réseaux sociaux.
Bravo
les gars, voilà une secte qui sait travailler ! Les méthodes soviétiques,
mises à jour avec les technologies moderne. Et ça a marché de tonnerre, les
télévisons et d’autre médias ont relayés les clichés, obligeant même le pauvre
Darmanin de désavouer ses policiers.
Mais au-delà
des canards et autre médias biberonnés avec l’idéologie marxiste dans les
écoles de journalisme, quel avantage pour Mélenchon, déjà actif dans sa course
effrénée pour l’élection de 2022 ? Les électeurs de la gauche
traditionnelle et modérée qui votaient encore hier pour ce clown, le suivrons
encore ? Les gens qui souffrent, les ouvriers, petits employés, techniciens,
agents de la fonction publique se rendent compte depuis un bon moment que Mélenchon
et sa bande les a abandonnés bel et bien. Lui et ses sbires ont choisi leur
camp : les immigrés et leurs descendants, les minorités ethniques, les
racialistes -indigénistes qui crache sur la France à longueur de journée, voilà
leur cible. Et la majorité des français, la majorité silencieuse, vont éviter
soigneusement de mettre son nom dans l’urne. De tel façon que Jean-Luc
Mélenchon glissera lentement mais surement vers les poubelles de l’histoire.
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