Les élections sont terminées, le peuple a voté, chacun selon ses préférences. (en réalité plus un vote de rejet contre l’autre candidat) Les citoyens qui ont préférés l’abstention ou le vote blanc, ont exprimé aussi leur option. Tout ceci pour arriver à la conclusion : la France, comme tout état démocratique, s’est exprimé et maintenant, attendre les élections législatives, un autre scrutin où les gens pourrons choisir leurs représentants.
Mais,
que constatons nous ? Que ce soit entre les deux tours, mais plus après ce
24 avril, partout en France, des énergumènes de la gauche « radicale »
, souvent sous l’emblème « antifascistes » contestent le résultat d’un
élection démocratique d’une manière violente, avec des occupations d’établissements
scolaires, des dégradations des biens, des violences contre les forces d’ordres,
des slogans anti démocratiques et des menaces de persévérer dans ce genre d’actions nuisibles
!
Voilà le
vrai visage de ces « antifascistes » de pacotilles ! Ils
reprennent les slogans de tous les factions réellement fascistes ou pro nazi.
J’ai
souvent stigmatisé les nombreux collectifs qui criaient à l’arrivé du fascisme
avec la possible victoire de Marine le Pen, arrivant à des formules d’un
ridicule intégral, faisant appel à 1940 (voir l’article d’un quotidien vespéral
que j‘appelle la PRAVDA française)
Mais
pour ces exactions inadmissibles, dangereuses et anti démocratiques, je trouve
une ressemblance étonnante avec les casseurs de chemises brunes mussoliniennes
et des bandits des S A qui ont précédés et favorisés l’arrivée au pouvoir du
Führer moustachu. Et sans me considérer ridicule.
Car, en
écoutant le discours de leur leader maximo, Jean-Luc Mélenchon, c’est
exactement l’appel au refus du vote démocratique, à des actions légales ou
illégales contre le résultat du vote ! Voilà la France que ce grand tribun
mais dangereux individu nous promet ! Eliminé du scrutin il veut créer l’anarchie,
pour copier la manœuvre réussie et par Mussolini en 1922 et par Lénine en
novembre 1917. Prendre le pouvoir par la rue et pas par les urnes. Et après, il
ne lui reste que mettre en pratique les mêmes méthodes que ses idoles lui ont
tracé la voie : liquidation politique et physique des opposants et après,
même de ses propres « compagnons de lutte ».
Car, parmi
les différences entre les idéologies d’extrêmes droite et gauche il y a une qui
mérite d’être explicitée : les fascistes et les nazis ont proclamé haut et
fort ce qu’ils feront, une fois au pouvoir : la dictature intégrale,
liquidations des opposants etc. Tandis
que les staliniens, maoïstes, castristes et compagnie, promettent le paradis
sur terre, l’égalité entre les citoyens, élimination de la pauvreté, l’élévation
sociales des classes populaires et j’en passe, le catalogue des promesses est
trop long.
Le
problème, c’est qu’une fois au pouvoir ils ne sont pas capables de réaliser ces
promesses, au contraire : l’appauvrissement de pays, la misère, les inégalités,
le manque de libertés élémentaires sont toutes en augmentation. Malgré l’élimination
de tous les opposants, la situation ne s’améliorant pas, ils sont obligés de
trouver d’autres boucs émissaires, parmi leurs propres camarades !
Regarder Staline, Mao, Castro et tous les dirigeants des pays « socialistes »
de l’Europe de l’Est ! C’est exactement le même procédé chaque fois. Je
vous laisse découvrir (ou redécouvrir) les scénarios, pour prévoir ce qu’aurait
donné la victoire de Jean Luc Mélenchon.
En 2017,
avant l’élection présidentielle, j’ai écrit un petit article à ce sujet, ne
faisant rien d’autre que reproduire à l’identique ce qui s’est passé dans un de
ces pays, mais en remplaçant les noms des participants avec des noms connus
dans le landerneau politique français.
http://zissus.blogspot.com/2017/02/melenchon-president-pour-le-bonheur-du.html
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