dimanche 30 juin 2024

Lettre à Madame Merzouk, la mère du jeune Nahel.

 

La mort d’un jeune de 17 ans est toujours une tragédie et il ne faut la prendre à la légère.

J’ai vu sa mère, en pleurs après le décès de sont fils et récemment à l’occasion de la marche anniversaire.



D’abord cette photo, ne m’inspire pas la sincérité, mais pas du tout. Elle me fait l’impression d’une « mise en scène » pour se faire de la publicité et obtenir une reconnaissance large, en imitant sa sœur en « souffrance », l’inénarrable Traore. Avec les avantages accessoires, non négligeables, bien sur.

Mais, comme il s’agit d’une impression personnelle, je ne prétends pas du tout de détenir la vérité. Je pourrais me tromper.

Cependant, en tant que mère du disparu, elle ne parait pas du tout à reconnaitre son énorme responsabilité dans la mort de son fils.

Comment une mère qui mérite ce nom, peut laisser son fils adolescent à commettre tous les délits qui figurent dans son fichier TAJ (traitement d'antécédents judiciaires) ? Plusieurs refus d’obtempérer, plusieurs délits routiers (sans permis de conduire) l’usage des stupéfiants, c’étaient des comportements normaux pour Madame Merzouk ? C’étaient des preuves d’une éducation créant des conditions optimales pour assurer une vie réussie à votre fils, Madame Merzouk ? Votre éducation Madame Merzouk, vos conseils  à votre fils « bien aimé » et  meilleur ami »   aboutissent à ce que Nahel, à  17 ans se »procure » une voiture haut de gamme, la conduit sans permis, et, après une première sommation policière s’échappe, brule des feux rouges et mené en danger un piéton.

Etes vous fière des conséquences de cet éducation qui ont aboutis à sa mort ?

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