Depuis quelques dizaines d’années, des
associations à vocation antiraciste et humaniste, qui dans les temps anciens
ont eu une vénérable réputation, ont peu à peu dérivé vers des groupuscules insignifiants,
certaines infiltrés par des extrémistes et
traquant souvent le racisme même là où il n’y avait une seule ombre.
Parallèlement, nous constatons l’apparition inquiétante des groupes
structurés, bien encadrés et avec des
fortes ressources financières occultes qui eux manifestent un racisme d’un
autre ordre : racisme contre les blancs en général, contre la civilisation
occidentale, ils distillent une haine non
dissimulée envers la France et le peuple français, les juifs, les républicains et un rejet de la
démocratie.
Je me résumerais cette fois à l’analyse d’une
seule officine de cet acabit, lel PIR (Parti des Indigènes de la République.)
Le
PIR se présente à l'origine en 2005 comme des «descendants d'esclaves et de
déportés africains, filles et fils de colonisés» par la France, avec un
discours suprémaciste racial des « non-blancs», une copie en
miroir de la suprématie raciste des nazis.
Ce parti intitulé
initialement « Mouvement des Indigènes de la République » a eu comme
origine le soulèvement des banlieues du 2005 qui, chose bien connue, fut une
manipulation bien orchestrée et organisée, nullement spontanée.
Ils prétendent que les successeurs des colonisés
d’hier continuent d’être colonisés en France même par les blancs. Ils sont soutenus par des
militants de diverses obédiences anti-impérialistes et altermondialiste, ainsi que des trotskistes et une minorité
de syndicalistes.
Leur discours est très clair à ce sujet :
ils se considèrent à l’extérieur du « champ
politique blanc », dont tous les partis, je cite : «pensent à travers les intérêts des classes moyennes blanches ou de
prolétariat blanc. Ils participent tous à l’exclusion politique des post
colonisés et des habitants des quartiers » (discours de la porte parole du PIR, Houria Bouteldja)
Dans une émission
à la télévision française elle a eu
l’audace de déclarer : « c'est le reste de la société qu'il faut
éduquer, (…) c'est le reste de la société occidentale… Enfin de ce qu'on
appelle, nous, les “souchiens”, parce qu'il faut bien leur donner un nom, aux
“blancs”.»
Le mot
« souchien » étant une inversion de « français de souche » défini
dans son langage ordurier les français blancs comme étant inférieurs à
la race canine. Discours provenant d’une personne éduquée dans le système
universitaire français qui a obtenue tous les avantages que la France accorde à
tous ses citoyens, sans distinction de race, couleur de peau
ou religion.
Le PIR dénonce pêle-mêle la loi de 2004 sur
les signes religieux à l’école, la loi interdisant la dissimulation du visage
dans l'espace public, (la loi sur le
voile intégral) en affirmant que l'esprit de la laïcité de la loi de 1905 est
actuellement un vecteur d'islamophobie, et provenant d’une « démarche
colonialiste blanche».
Le 8 mai 2008, jour anniversaire de la
répression des émeutes musulmanes de Sétif en 1945, les Indigènes ont animé
dans Paris une «marche décoloniale» conviant les «immigrés, noirs, arabes» à
pourfendre «la République raciste et coloniale».
Mais le PIRe arrive. Non contents de cracher et
insulter la France et les blancs à longueur de journée, maintenant ils exigent
le pouvoir haut et fort !
Louisa Yousfi
dans un article publié le 7 décembre 2015 sur le site du parti écrit : « Nous voulons le pouvoir ! », slogan
asséné mille fois, ne rencontre que peu d’oreilles qui veuillent bien lui
accorder quelque crédibilité. Or, oui, le PIR veut le pouvoir ! »
Et encore :
« J’ai osé arracher la parole au monopole
des blancs. Quand je dis “j’existe“, il ne s’agit pas d’une affirmation
identitaire, mais d’une revendication collective : mon père, ma mère, mes
frères et sœurs, tous ceux qui sont unis par une condition commune, un
adversaire commun – le pouvoir blanc – et une lutte commune – la lutte
décoloniale -. »
Le 31 octobre
2015 une « Marche de la dignité » est organisée dans les rues de
Paris réunissant de 5 à 10000 personnes. Parmi les participants, en dehors du
PIR, le groupe MAFED présenté comme une organisation de « femmes racisées,
féministes et révolutionnaires », mais aussi le Parti Communiste et Clémentine
Autain du Parti de Gauche, l’UIOF (la branche française des Frères Musulmans)
le CCIF (Comité contre l’islamophobie en France), les Indivisibles, Oumma.com, Junta islamica et j’en passe.
Houria
Bouteldja, le porte parole du PIR prononce un discours mémorable ou elle ne
cache plus leurs but final :
« Autonomie
par rapport au champ politique blanc en général »
« Priorités
de l’immigration et des quartiers et non plus les priorités des prolétaires et
classes moyennes blanches portées par la gauche »
Et le summum :
« Nous,
habitants des quartiers, Noirs, Arabes, Musulmans, Rroms serons en capacité de
construire l’avenir. Je terminerai donc par la parole de ces hommes et de ces
femmes noirs, partisans du « Black Power » qui ont déclaré un
jour : « Nous serons des mendiants tant que nous ne
penserons pas à la question du pouvoir ».
Cerise sur le gateau, le PIR ne se limite aux saillies contre «les Blancs» ; il a twitté le 19 octobre 2015 ce message : «Les jeunes Palestiniens nous enseignent comment résister». A lire, même pas au deuxième degré, il incite leurs nervis à poignarder nos concitoyens !
Cerise sur le gateau, le PIR ne se limite aux saillies contre «les Blancs» ; il a twitté le 19 octobre 2015 ce message : «Les jeunes Palestiniens nous enseignent comment résister». A lire, même pas au deuxième degré, il incite leurs nervis à poignarder nos concitoyens !
En conclusion, leur stratégie est claire :
ils veulent susciter une très grande révolte des banlieues menant une guerre
civile sanglante pour prendre le pouvoir, balayer tous les institutions
républicaines et instaurer une dictature dans laquelle les blancs serons
parqués dans des bantoustans à l’image inverse de l’ancienne Afrique du Sud
du temps de l’apartheid.
je te propose de niquer la france et trouver un hobby
RépondreSupprimer