jeudi 5 octobre 2017

LES MARTYRS ET LES COUPABLES

Vraiment, en France (et probablement ailleurs aussi) on ne connait pas le sens des mots.
Une brave membre du cabinet de M. Gilles Poux, le maire communiste de la Courneuve  s’appelle Sonia Nour ; elle  nous explique doctement une évidence : les braves gens soumis aux préceptes de l’islam radical (que ce soit Daech, Al Qaida ou autres) et qui acceptent de sacrifier leur vie au nom de cette religion sont des martyrs.

Dans le cas précis de l’assassinat des deux jeunes filles à Marseille, Mme Sonia Nour a voulu nous rappeler ce fait banal par un tweet :
Voyez-vous quelque chose d’anormal dans ce tweet ? Moi non, Sonia Nour exprime ce que des centaines de milliers de ses semblables en France pensent justement (je n’ose pas croire à des millions). Car il ne s’agit pas d’autre chose que d’appliquer à la lettre des versets médinoises du Coran. Les coupables sont les juifs et les« associateurs » (les chrétiens, allusion à la Trinité que le Coran abhorre), tous coupables collectivement ! C’est tout simplement ce que le candide Ahmed Hanachi a fait, avec toute la douceur contenue dans l’idéologie de ces ordonnateurs. Et voilà la preuve !


Le martyre Ahmed Hanachi             Les coupables Laure et Maurane

C’est aussi normal qu’une autre militante communiste, viens en aide à Sonia Nur contrant ces nombreux Français ignares des pratiques « culturelles » et militantes d’un certain islam  qui ont osés fustiger cette égérie des islamistes. Cette dernière s’appelle Zoé Desbureaux, la voilà :

                      



Un hic : cette charmante Zoé n’est pas n’importe qui ! Elle est suppléante du célèbre député mélenchoniste, l’insoumis François Ruffin, qui est connu comme co-instigateur des « Nuits Debout » et devenu célèbre par son film « Merci Patron ». Ca fait un peu désordre, quand notre cher leader maximo Jean-Luc déclare urbi et orbi que cet acte est odieux.
Il parait qu’autant lui que son député Ruffin se sont "désolidarisés" de la prise de position de Mme Desbureaux. Alors, chère  Zoé, pourquoi ne dites-vous pas : MERCI PATRON ?