Affichage des articles dont le libellé est Racisme. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Racisme. Afficher tous les articles

jeudi 21 février 2019

SUR ALAIN FINKIELKRAUT ET LES INSULTES


Même sur des choses sérieuses (et c’est le cas) on peut rire, rien de répréhensible, c’est plutôt nécessaire pour la santé et encore plus dans les temps présents. Sur ce sujet c’est un rire…jaune.
Le premier cas dans cette affaire c’est le barbu  le plus virulent et haineux, facilement détectable sur les vidéos et par ailleurs « bien connu par les services » d’après la formule consacré. 
Il s’agit d’un drôle de gilet jaune, un individu radicalisé proche des milieux salafistes turques qui, en dehors des insultes ordurières, a déclaré bien audible: « La France est à nous ! » Et voilà, il nous a appris à nous, des ignorants, une chose claire : la France est la propriété privée des salafs. Si ce n’était pas si grave, ceci pourrait nous faire rire…à pleurer.

Beaucoup de réactions indignées, mais quelques membres« éminents » de la galaxie des Insoumis, ont fait bande à part. Pour Thomas Guénolé ce n’est pas  grave, quant à l’excitée Aude Lancelin la cheffesse (novlangue oblige) du Média des Insoumis, c’est bien fait pour  lui, tout en jouant sur la partition du « ce n’est pas vrai » ! Un autre mec de la bande, Quatennens insulte le député Yannick Jadot  celui  osant dire quelques vérités gênantes à l’égard de son cher parti. Si même « Libération » le dit…
https://www.liberation.fr/depeches/2019/02/18/accusee-d-ambiguite-sur-l-antisemitisme-la-france-insoumise-au-centre-d-une-polemique_1710081
Encore une occasion rigolote, mais pas trop : plusieurs  dirigeants de la LFI dont Corbière, Quatennens et Danièle Obono ont fait bande a part, organisant  un meeting séparé à Montreuil contre le racisme. Normal, ils ne voulaient pas  mélanger les torchons avec les serviettes. Il est intéressant de voir la députée Danièle Obono essayant maladroitement de  montrer patte blanche (sans mauvais jeu de mots) sur ce problème.
Députée ObonoCompte certifié @Deputee_Obono 
#Billetdusoir A la France insoumise, face à l' #antisemitisme et à tous les racismes, nous ne baissons pas les yeux, nous ne baissons pas les bras. Nous combattons les discriminations, nous défendons la justice sociale et l' #égalitédesdroits. facebook.com/DeputeeObono/p
Car maintes fois avant, elle montrait son attachement au tristement célèbre PIR (Parti des Indigènes de la République) et son amitié indéfectible avec son porte parole Houria Bouteldja l’auteur de la définition : blancs= souchiens. Le PIR  est le pire champion du racisme anti-blanc, organisateur des camps décoloniaux interdits aux blancs et des réunions des femmes « racisées » où même les plus enragées féministes antiracistes étaient exclues si elles avaient la peau claire ! Et, bien entendu, farouchement anti juif. Encore plus, la députée Obono a défendu  leur slogan « nique la France »  comme étant simplement un droit à la libre  expression. Beau jeu, mais trop ridicule,  Madame la députée !
https://www.liberation.fr/france/2019/02/19/a-menilmontant-le-rassemblement-des-vrais-antiracistes-contre-l-antisemitisme_1710429
Devant les accusations de connivence de la « France Insoumise » avec ces milieux peu fréquentables,( les islamistes pour être précis),  le leader maximo J-L Meluche  après beaucoup de tergiversations a enfin daigné l’ouvrir, proclamant urbi et orbi qu’il n’accepte pas l’antisémitisme et qu’il est prêt à protéger les juifs. Je ne sais pas vous, mais pour ma part je conseillerais à tout juif de fuir au plus loin possible si sa vie dépend de la protection du célèbre Jean-Luc. Et à ce dernier, je lui déjà écris sur sa page F B d’aller offrir sa protection plutôt à son ami Maduro, qui en a bien besoin.
Encore une chose qui pourrait faire rire mais j’ai du mal cette fois-ci.
 Le moribond parti en décomposition  avancée, le PCF, a signé joyeusement l’appel du rassemblement  contre l’antisémitisme !  Quel courage. Car  plusieurs maires, membres de ce groupuscule, très sensibles à la "cause", ont proposés comme citoyen d’honneur de leur commune un certain Marwan Barghouti, condamné pour avoir assassiné plusieurs civils juifs. Au bal de faux culs, on ne trouve pas mieux.

dimanche 26 février 2017

Affaire Mehdi Meklat vitrine de la gauche fascisante.

Ce n’est pas nouveau, mais la récente « affaire » Mehdi Meklat me conforte encore une fois (si c’était nécessaire) de l’existence perpétuelle d’une convergence des extrêmes. Il y a eu toujours, dans l’histoire française, un fort rapprochement, jusqu'à la fusion totale de ces deux mouvements de pensée et d’action qui furent le fascisme purulent et son frère jumeau la gauche extrême.
Il est peut-être nécessaire de se rappeler que le créateur du la « marque « fascisme », Benito Mussolini fut un des principaux leaders du Parti Socialiste Italien. En France les pires collaborateurs avec l’Allemagne Nazi furent des anciens gauchistes invétérés : Marcel Déat (ancien haut dirigeant de la SFIO) Jacques Doriot (l’ex n° 2 du Parti Communiste),  Laval (ancien haut dirigeant du Parti Socialiste) et j’en passe.. Même après la guerre, le néo-islamiste tendance salafiste et antisémite notoire (excusez le pléonasme) de nom Roger Garaudy fut un important dirigeant du PCF.
Ce n’est pas par hasard,  que nous découvrons cette abracadabrante affaire Meklat,  fabriquée, soutenue et défendue par tout ce qu’une certaine gauche sait faire. De quoi s’agit-il ?
Meklat, jeune originaire de Saint Ouen (banlieue de 93) est propulsé (avec son ami Badroudine Saïd Abdallah) en 2008 comme  collaborateur au Bondy Blog,  un média en ligne créé après les émeutes de 2005 pour donner la « parole aux banlieues ». Il  a signé plus de 200 articles dans ce site, hébergé par la tristement célèbre feuille gauchiste « Les Inrockuptibles ».
Célébrité acquise dans ce milieu, Meklat est repéré par une autre icône de la gauche caviar, Pascale Clark, qui le propulse comme chroniqueur d’une émission far  appelée « les Kids », sur les ondes de France Inter, surnommée (par moi) « la radio qui ment, la radio qui ment » en référence à la connue définition de « radio Paris » pendant l’occupation.
Mehdi Mektar devient un star préfabriqué mais célèbre dans tous les médias de gauche (bien colorée en rouge, bien sur) ; il apparait partout, dans la une des Inrocks (en compagnie de madame Taubira tombée en admiration béate) sur les ondes de France Inter  toujours managé par Pascale Clark,  dans le quotidien « Le Monde », dans le « Libération » et occasionnellement  sur « Arte ». Enfin il est la coqueluche de toute la bobologie parisianiste.
 Il surgit un « petit » problème :  entre 2001 et jusqu’en 2015, le même adulé Meklat, « s’éclate » sur Twitter avec des textes et paroles d’une violence inouïe, abjectes, ignominieuses et vulgaires à l’encontre  des blancs, des juifs, des homosexuels, des femmes et des personnalités qui lui déplaisent. La décence m’empêche de citer les plus ignobles je me résume à quelques unes : "Ben Laden me manque" ; "Regrette que Ben Laden soit mort. Il aurait pu tout faire péter" ; "Pourquoi les juifs ont le droit de prendre le métro aussi ?" 

 Le hic, gros comme une maison, c’est que beaucoup de monde était au courant de l’existence de ces tweets. Mais comme oseraient-ils dénoncer la star de la gauche bobo, le « jeune des banlieues » etc. ?
Même plus,  Arash Derambarsh, élu "Les Républicains" de Courbevoie, choqué par différents tweets antisémites et homophobes de Mehdi Meklat les a  dénoncés et les a  retweetait. Réaction typiquement fasciste : Pierre Siankowski, patron des Inrocks, l'a appelé et l'a menacé. Arash Derambarsh a donc décidé de saisir la justice par le biais d’une plainte.
Il a fallu attendre ce vendredi 17 février, après son passage sur le plateau de La Grande Librairie sur France 5, quand une femme a donné l’alarme et a sorti des tweets en question, de nombreux internautes exhument d'anciens tweets que Mehdi Meklat avait publié.
Le scandale immense, des réactions fusent : l’ancien directeur de « Charlie hebdo » Philippe Val s’écrit : «On est où là, on est en 1940? Le Monde Magazine a fait cinq pages sur Mehdi et Badrou élogieuses ! C'est se foutre du monde!»
Même les Inrocks se sentent obligés : «Ces tweets sont abominables, abjects, et certains pris comme tels sont tout simplement antisémites, racistes et homophobes.  C'est extrêmement grave et choquant et on ne peut que condamner ces actes »
 Aussi le journaliste Claude Askolovitch, grand défenseur des banlieues, s'est lancé dans une  explication embrouillée dans Slate : «S'il s'agissait d'un identitaire, d'un militant Front national, aurais-je tant de scrupules?
Le politologue Laurent Bouvet : «Et si on disait, plus simplement, que certains médias ont mis en avant ce type en détournant le regard de ses tweets uniquement parce qu'il venait de banlieue? »
Mais, c’est terriblement triste et inquiétant, même après cette découverte macabre, après les explications et des excuses brouillonnes de Mehdi Meklat, on trouve encore des voix pour le défendre. L’ineffable Pascal Clark l’excuse toujours : «A l'antenne, Medhi Meklat ne fut que poésie, intelligence et humanité».Pire encore elle trouve son action positive : « Son personnage odieux, fictif, ne servait qu'à dénoncer les mêmes propos » Le ridicule ne tue pas Mme Clark ?
 Le Monde, trouve des circonstances atténuantes,  très-très alambiquées :
« Cette duplicité en reflète une autre, celle de deux sociétés parallèles qui n’arrivent toujours pas à converger : la société médiatique, artistique et politique, consciente des ratés de l’intégration des minorités issues de l’immigration, désireuse d’y dénicher des profils nouveaux, brillants, de « héros positifs »
Daniel Schneidermann , une autre représentant de cette gauche  écrit quant à lui: «Quand je vois comment depuis trois jours la réacosphère s'énerve en jubilant… »
Je lui répondrais : Monsieur Schneiderman, si vous et la plupart des journalistes de France Inter, Libération,  Les Inrocks, Le Monde Diplomatique, Mediapart et consorts, vous voulez connaître où se cache la « facho sphère » c’est tout simple : regardez-vous dans un miroir !  






mardi 2 février 2016

LES ULTRA RACISTES (ou les loups sont bien chez nous)

Depuis quelques dizaines d’années,   des associations à vocation antiraciste et humaniste, qui dans les temps anciens ont eu une vénérable réputation, ont peu à peu dérivé vers des groupuscules insignifiants, certaines  infiltrés par des extrémistes et traquant souvent le racisme même là où il n’y avait une seule ombre.
Parallèlement, nous constatons  l’apparition inquiétante des groupes structurés,  bien encadrés et avec des fortes ressources financières occultes qui eux manifestent un racisme d’un autre ordre : racisme contre les blancs en général, contre la civilisation occidentale, ils  distillent une haine non dissimulée envers la France et le peuple français,  les juifs, les républicains et un rejet de la démocratie.
Je me résumerais cette fois à l’analyse d’une seule officine de cet acabit, lel PIR (Parti des Indigènes de la République.)
 Le PIR se présente à l'origine en 2005 comme des «descendants d'esclaves et de déportés africains, filles et fils de colonisés» par la France, avec un discours  suprémaciste  racial des « non-blancs», une copie en miroir de la suprématie raciste des nazis.
Ce parti intitulé initialement « Mouvement des Indigènes de la République » a eu comme origine le soulèvement des banlieues du 2005 qui, chose bien connue, fut une manipulation bien orchestrée et organisée, nullement spontanée.
 Ils prétendent que les successeurs des colonisés d’hier continuent d’être colonisés en France même  par les blancs. Ils sont soutenus par  des militants de diverses obédiences anti-impérialistes et altermondialiste, ainsi que des trotskistes et une minorité de syndicalistes.
Leur discours est très clair à ce sujet : ils se considèrent à l’extérieur du « champ politique blanc », dont tous les partis, je cite : «pensent à travers les intérêts des classes moyennes blanches ou de prolétariat blanc. Ils participent tous à l’exclusion politique des post colonisés et des habitants des quartiers » (discours de la porte parole du PIR, Houria Bouteldja)
Dans une émission à la télévision française  elle a eu l’audace de déclarer : « c'est le reste de la société qu'il faut éduquer, (…) c'est le reste de la société occidentale… Enfin de ce qu'on appelle, nous, les “souchiens”, parce qu'il faut bien leur donner un nom, aux “blancs”.»
Le mot « souchien » étant une inversion de « français de souche » défini  dans son langage ordurier  les français blancs comme étant inférieurs à la race canine. Discours provenant d’une personne éduquée dans le système universitaire français qui a obtenue tous les avantages que la France accorde à tous ses citoyens, sans distinction de race, couleur de peau ou religion.
Le PIR dénonce pêle-mêle la loi de 2004 sur les signes religieux à l’école, la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public,  (la loi sur le voile intégral) en affirmant que l'esprit de la laïcité de la loi de 1905 est actuellement  un vecteur d'islamophobie,  et provenant d’une « démarche colonialiste blanche».
Le 8 mai 2008, jour anniversaire de la répression des émeutes musulmanes de Sétif en 1945, les Indigènes ont animé dans Paris une «marche décoloniale» conviant les «immigrés, noirs, arabes» à pourfendre «la République raciste et coloniale».
Mais le PIRe arrive. Non contents de cracher et insulter la France et les blancs à longueur de journée, maintenant ils exigent le pouvoir haut et fort !
Louisa Yousfi dans un article publié le 7 décembre 2015 sur le site du parti  écrit : « Nous voulons le pouvoir ! », slogan asséné mille fois, ne rencontre que peu d’oreilles qui veuillent bien lui accorder quelque crédibilité. Or, oui, le PIR veut le pouvoir ! »
Et encore :
 « J’ai osé arracher la parole au monopole des blancs. Quand je dis “j’existe“, il ne s’agit pas d’une affirmation identitaire, mais d’une revendication collective : mon père, ma mère, mes frères et sœurs, tous ceux qui sont unis par une condition commune, un adversaire commun – le pouvoir blanc – et une lutte commune – la lutte décoloniale -. »
Le 31 octobre 2015 une « Marche de la dignité » est organisée dans les rues de Paris réunissant de 5 à 10000 personnes. Parmi les participants, en dehors du PIR, le groupe MAFED présenté comme une organisation de « femmes racisées, féministes et révolutionnaires », mais aussi le Parti Communiste et Clémentine Autain du Parti de Gauche, l’UIOF (la branche française des Frères Musulmans) le CCIF (Comité contre l’islamophobie en France), les Indivisibles, Oumma.com, Junta islamica et j’en passe.
Houria Bouteldja, le porte parole du PIR prononce un discours mémorable ou elle ne cache plus leurs but final :
« Autonomie par rapport au champ politique blanc en général »
« Priorités de l’immigration et des quartiers et non plus les priorités des prolétaires et classes moyennes blanches portées par la gauche »
Et le summum :
« Nous, habitants des quartiers, Noirs, Arabes, Musulmans, Rroms serons en capacité de construire l’avenir. Je terminerai donc par la parole de ces hommes et de ces femmes noirs, partisans du « Black Power » qui ont déclaré un jour : « Nous serons des mendiants tant que nous ne penserons pas à la question du pouvoir ».
Cerise sur le gateau, le PIR ne se limite aux saillies contre «les Blancs»  ; il a twitté  le 19 octobre 2015 ce message : «Les jeunes Palestiniens nous enseignent comment résister». A lire, même pas au deuxième degré, il incite leurs nervis à poignarder nos concitoyens !
En conclusion, leur stratégie est claire : ils veulent susciter une très grande révolte des banlieues menant une guerre civile sanglante pour prendre le pouvoir, balayer tous les institutions républicaines et instaurer une dictature dans laquelle les blancs serons parqués dans des   bantoustans  à l’image inverse de l’ancienne Afrique du Sud du temps  de l’apartheid.