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jeudi 23 juin 2022

CRETINISME AVANCE A L’UNIVERSITE DE CLERMOND AUVERGNE

 

Disant crétinisme avancé, je suis bien en dessous de la réalité ; c’est bien le stade ultime de la déstructuration cérébrale juste avant l’internement en asile psychiatrique.

Les choses sont tellement ubuesques, tellement délirantes que vous ne trouverez des traces dans les médias mainstream (ou, peut être que je me trompe, elles craignent de faire la publicité, pour ne pas créer une explosion collective de wokisme intégral)

J’ai eu la chance de trouver une pétition du syndicat d’étudiants UNI de Clermont Ferrat qui m’a désilé les yeux, sinon je pensais qu’il s’agit d’un canular.

https://www.uni.asso.fr/petition-contre-lecriture-inclusive-obligatoire-a-luniversite-clermont-auvergne/

Lisez bien c’est incroyable !

Dans le souci (honorable) de lutter contre des représentations sexistes ou tout autre moyen de montrer une discrimination envers les femmes, le Conseil d’administration de dite université ont pondu une « charte pour une communication inclusive à l’UCA ».

Qu’ils préconisent l’écriture inclusives (une déformation barbare de notre belle langue) c’est une aberration dont nous avons déjà eu connaissance dans d’autre endroits bien en vogue « intellectualistes ».

Mais ce qui suit vaut le prix Pulitzer de l’imbécilité :

-         Eviter de représenter des femmes dans des fonctions d’exécution et des hommes dans des fonctions de décision. Exemple, représentez des femmes scientifiques et des hommes infirmiers !

-         Interdiction de représenter des hommes en tenues professionnelle (ex costume/cravate) et de femmes en tenue décontractée ! Surtout pas de tons pastel et hommes en couleurs sombres.

-         Une pépite : Pas de femmes à l’intérieur et des hommes en extérieur, pas des hommes au centre et des femmes à coté et surtout pas de femmes en arrière-plan !

-         Ne pas représenter des femmes en attitudes passives et les hommes en actions dynamiques, pas d’homme debout et femme assise, pas d’homme au premier plan et femme au second.

-         Le clou c’est la représentation de la diversité universitaire, il faut montrer à l’égalité les ethnies, morphologies, orientations sexuelles et handicaps. En traduction vulgaire, pour chaque photo publiée il faut trouver un (une) noir, un (une) jaune, un (une) peau rouge, un(une) homosexuel, bisexuel, transgenre ou queer de préférence,  un (une) déficient moteur ou autre handicap et ne pas oublier les obèses (je suggère Madame Garrido qui a un avantage supplémentaire, comme spécialiste des suceurs de b…, comme elle a déclaré bien fort)

Si le cirque Gruss a besoin de clowns, je leur propose le Conseil d’Administration de l’Université Clermont-Auvergne, succès assuré.

 

mercredi 4 août 2021

"Le Monde" ancien quotidien de référence ! Qu'en est -il devenu ?

 

Le quotidien de soir de « référence » titre de presse avec un passé prestigieux était devenu peu à peu un triste torchon de la gauche caviar.

Mais pire encore, depuis un certain temps elle s’affiche comme l’organe de propagande d’une gauche racialiste, intersectionnelle et multiculturaliste., copie fidèle de sa sœur jumelle New York Times.  En un mot, la culture « woke » importé de l’outre Atlantique qui impose une vision totalitariste, intolérante et obscurantiste de la vie actuelle.

Dans le siècle précédent, deux visions totalitaires et meurtrières ont dominé le spectre européen : d’une part le nazisme hitlérien et d’autre part le communisme stalinien. Ces dinosaures de triste mémoire menaient une action puissante dans le lavage des cerveaux humains. Dominés par leurs administrations assumant une propagande bien rodée : les bien nommées, « Propaganda Staffeln » de Joseph Goebbels et le « Département pour l'agitation et la propagande » soviétique. (Mieux connu par l’abréviation « Agitprop ») Chacun de ces organismes, qui malheureusement ont réussi à fanatiser des millions de citoyens, avait son organe de presse principal : Völkischer Beobachter pour les nazis et la Pravda pour les soviétiques

Le Monde d’aujourd’hui est plus proche de l’un ou de l’autre ? Interrogation qui mérite d’être posée.










mardi 6 juillet 2021

EN CONTRADICTION AVEC ERIC ZEMMOUR

 

L’autre jour, je regardais sur C News une brillante démonstration sur le délitement de notre pays, présentée par M. Zemmour sous la houlette de la ravissante et fine animatrice Christine Kelly.

Il pointait comme élément majeur, l’immigration massive et incontrôlée par des personnes venant du continent africain et issues d’une autre culture que la nôtre. Jusqu’ici, rien à dire.

Mais dans la suite, il soulignait le refus de ces gens de s’assimiler à la riche culture d’origine gréco-latine qui est celle des Français d’origine, y compris celle des immigrés européens (dont votre serviteur fait partie).

Ah, bon ? Quel genre de civilisation voient-ils en arrivant ? Celle des milliers de jeunes sautillant sous les ponts de Paris ou participant aux raves-party au son d’une « musique » qui s’apparente plus à un tam-tam africain dissonant que celle d’un Brassens ou Aznavour. Tout en consommant quantité d’alcools et des drogues diverses. Bon exemple de culture …

Et, à propos de culture, combien de ces jeunes connaissent Virgile ou Boccace, combien ont lu Balzac, Zola ou Victor Hugo, combien connaissent-ils au moins le nom d’Aristote, Platon ou Socrate, combien écoutent la musique de Bach, Mozart ou Beethoven et combien connaissent la belle et riche histoire de leur pays ?  La vraie histoire, pas le brouillamini indigeste et faux conçue par Monsieur Boucheron et consorts !

 Et plus général encore, pour plusieurs générations pénétrées des idéaux soixante-huitards, la culture est remplacée largement par le triptyque : moins de travail, plus de loisirs et plus de consumérisme. Sans compter la perte de valeurs tel que l’amour de la patrie ; le patriotisme étant devenu un gros mot assimilé souvent au nationalisme, sinon même à la xénophobie !

Que dire de notions d’honnêteté et courage  intellectuel, primauté à l’ intérêt général, politesse ; c’est du français ancien, prochainement éliminé des dictionnaires.   

L’explication est simple : des décennies de dégringolade de l’Education Nationale menée tambour battant par une partie des enseignants formatés par l’idéologie marxiste fournie copieusement dans les ex IUFM. C’est « l’école, fabrique des crétins » merveilleuse démonstration fourni par Jean-Claude Brighelli dans l’opus éponyme, écrit déjà en 2005. Un mammouth irréformable.

C’est à cette culture que les immigrés doivent s’assimiler ?

Poussons le bouchon plus loin ! Ces immigrés sont souvent pris en charge par des « militants » pour leurs inculquer l’indigénisme et la théorie postcoloniale. Mmes Bouteldja ou Rokhaya Diallo leur expliquent tout le mal intrinsèque à l’homme blanc, un monstre raciste, ex-colonialiste et esclavagiste qui doit expier tous les crimes perpétrés à l’égard des pauvres « racisés ». Pendant que d’autre membres de nos élites s’efforcent de démontrer que la cuture gréco-latine c’est une imposture, un plagiat de la culture égyptienne donc africaine ! C’est toute la culture « woke » qui aujourd’hui fait fureur dans les cercles soi-disant progressistes.

Alors, comme assimilation, on peut rêver peut-être à quelque chose de différent ! N’est ce pas, Monsieur Zemmour ?  

mercredi 17 mars 2021

CORINNE MASIERO ET LES COMMISSAIRES POLITIQUES

 

Je ne fais pas des commentaires sur cette « cérémonie », le niveau zéro de l’intelligence et de la décence qui fut la 46-e nuit de César ! Tout a été dit et écrit par de nombreuses personnalités, aussi bien que par des citoyens lambda.

Mais, mon attention fut attirée par cette personne de nom Masiero. Je ne la connaissais pas. Mais, en feuilletant quelquefois un magazine de télévision, j’ai eu un fort et désagréable dégoût, une répulsion totale à son égard. Ce n’était pas pour sa laideur (il y a beaucoup d’actrices avec un physique ingrat qui font des grandes et agréables prestations) C’était autre chose… Conséquence, je n’ai jamais regardé le feuilleton dont elle est le personnage principal.

En regardant des extraits de ladite cérémonie, avec sa « prestation », j’ai eu une révélation ! Mais oui, je me rappelle…Dans ma jeunesse, dans un des paradis communistes, presque la totalité des commissaires politiques femmes d’une brutalité inimaginables avaient son aspect physique ! Plus tard, en regardant des émissions sur les camps nazis, j’ai vu les mêmes ressemblances avec des tortionnaires hitlériennes.

D’où mon impression qu’à un certain degré de cruauté, le physique se déforme pour être en concordance avec les pulsions mentales.

Si ce n’était pas aussi hideux, je pourrais presque avoir pitié pour cette créature.    

lundi 27 août 2018

UNE EPOQUE FORMIDABLE !


Ben oui, c’est vrai que nous vivons une époque hors commun. Regardons quelques événements qui ont pris une ampleur nationale sinon internationale pour corroborer mon affirmation.

L’affaire Asia Argento

Cette ex-jeune femme a connu récemment une notoriété mondiale, comme égérie de la mouvance « metoo » qui dénonce les agressions sexuelles dont beaucoup de femmes sont ou ont été victimes. Je fais une petite parenthèse : il s’agit uniquement et exclusivement des femmes  victimes des agresseurs occidentaux. Parce que dans le monde islamique, tout baigne pour les femmes : elles ne sont pas violées, ni lapidées, et encore moins mariées de force et autres peccadilles similaires.
Parenthèse fermée, la dame Argento a dévoilée et dénoncée  le viol qu’elle a subi de la part du producteur Harvey Weinstain il y a quelques dizaines d’années. Bien sur, je lui fais confiance, pas question de la soupçonner qu’elle a procédé comme beaucoup d’autres  starlettes en manque de célébrité, qui font "appel  à la générosité" des hommes de pouvoir en la matière. Non, je ne l’accuserais pas du tout de ce jeu double ! Bien que…Voir leur proximité, que diriez-vous ?


Mais le problème, le gros problème  c’est que, quand on n’a pas le c..l propre (vous pouvez interpréter la formule dans le sens propre comme au figuré) mieux vaut la fermer. Car la brave  et virulente Asia a abusé sexuellement d’un mineur de 17 ans auquel elle a donné 380000 dollars pour qu’il se taise. Et maintenant, c’est le cirque : non on  n’a pas couché ensemble ! Mais en visionnant des photos et lisant des sms, ça change de version : oui, on a couché mais c’est lui qui m’a sauté ! Et la somme énorme, c’est son ex compagnon qui a eu l’idée, pour aider le pauvre garçon, ce n’est pas moi ! (très élégant compagnon, se faire cocu, ça donne envie d’aider l’autre, voyez-vous) Mais l’ex compagnon a des difficultés d’approuver la variante, car il s’est donné la mort entre temps. 
Marquez, vu la tête de l’ex-belle Asia, si j’avais été son compagnon, je me serais donné la mort aussi.





L’alcool NON ! Prochainement l’eau ferrugineuse non plus…
Un article émanant d’une équipe de soi-disant chercheurs et l’oukase est tombé : pas une goutte d’alcool, même pas un verre dans la journée. Et cette « étude » sortie d’un groupe de chercheurs, fut publiée dans une revue assez prestigieuse à une époque révolue, Lancet. (mais que voulez-vous, tout le monde sait que la presse écrite à besoin d’argent) Même plus, pendant que certains chercheurs qui ont participé ont essayé d’édulcorer la sentence, une ayatollah de la recherche, de nom Emmanuela Gakidou veut plus : «la mise en place de taxe, des heures de vente, voire l'interdiction "  Pourquoi pas la prison pour celui qui a bu un bon verre de pinard.  Cette brave dame fait partie du groupe qui ne trouve rien de mieux que ces sornettes, contredites par des cardiologues réputés et des centaines de millions de personnes qui ont une consommation très raisonnable et se portent à merveille. Eh oui, comme disait le Général ; « des chercheurs qui cherchent, on en trouve ! Mais des chercheurs qui trouvent…on en cherche » Avec une variante : on trouve aussi des chercheurs qui trouvent n’importe quoi et pire. D’ici les soupçonner d’avoir trop fumér la moquette…
Ceci pour arriver a des fous encore plus dangereux, (mais de la même trempe) ceux qui s’appellent les VEGANS. Comme dans chaque secte, il y a des déséquilibrés qui, pas uniquement qu’ils vouent aux gémonies les producteurs et les consommateurs de viandes, poissons, œufs, produits laitiers etc. mais en plus agressent et vandalisent des commerces alimentaires spécifiques. En parenthèse, je présente mes excuses aux très nombreux attaquants au couteau criant d’Allahou Akhbar, cette fois-ci ils ne sont pas visés. Comprenez –moi, ils sont de plus en plus nombreux, de plus en plus féroces et je ne suis pas aussi courageux de me confronter à eux. Pas dans cette bafouille au moins…
Revenant aux vegans : je me permets d’alerter la population chinoise qui raffole  d’insectes grillées : les insectes sont aussi espèces vivantes et donc cible des vegans. D’ici que les adeptes intégristes du vegan planifient d’attaquer la Chine… attention danger.

Venezuela et la révolution bolivarienne


Maintenant, toute la population planétaire (et j’aurais supposé aussi celle française) est au courant de la catastrophe humanitaire que subit le pauvre peuple vénézuélien. Ceci dans un pays très riche en hydrocarbures (le deuxième producteur mondial) et jadis très prospère. Il était prospère, mais il y a eu le dictateur Chavez qui a décrété et appliqué la « révolution bolivarienne », une variante (plutôt copié –collé) de l’idéologie marxiste-léniniste qui a fait le bonheur d’autre peuples sur notre planète (trop long pour les énumérer, mais toutes avec des résultats semblables) Je dis que toute la population planétaire est au courant. Sauf quelques esprits particuliers (lire dérangés) dans notre pays : les insoumis, avec à leur tête le célébrissime Jean Luc Melenchon et ses sbires. Dernièrement, ils font profil bas, tellement la réalité est criardes ; mais pas plus loin qu’il y a un an, pendant les élections présidentielles, celui que  j’appelle affectueusement le Pol Pot national, n’avait que la révolution bolivarienne dans le bouche.
Et il reste quelques crétins (le mot est faible mais la décence m’empêche de les définir comme il faut) qui trouvent que la dictature des Chavez-Maduro n’est pas blâmable, ce sont les autres coupables de ce désastre ! Certains se reconnaîtront…
Nous vivons une époque formidable, n’est-ce pas ?
 



dimanche 13 mai 2018

NOUS VIVONS UNE EPOQUE FORMIDABLE


Arcadia Felice, cette contrée mythique issue de l’imagination fertile des auteurs appartenant à la civilisation gréco-latine. Ce pays de l’harmonie, de paix et de félicité c’est exactement notre environnement actuel. Que du bonheur, comme le dit un célèbre slogan.
Mais peut-être  vous ne me croyez pas. Alors, regardez autour de vous et vous trouverez plein d’exemples pour s’en convaincre.
Voilà le grand festival de Cannes, le temple du rêve et accéssoirement  l’expression de tout le politiquement correct que la création cinématographique puisse supporter. Que nous a concocté ce dernier festival ? L’inéquité par manque de  parité hommes-femmes dans la production cinématographique. Il faut des quotas, crient les thuriféraires du féminisme ultra. Donc, pas de création par le talent, pas par une richesse culturelle, ça non, on ne veut plus ! Ce qu’on veut c’est l’égalitarisme intégral comme partout : en politique, dans les médias, dans la fonction publique, même dans les sociétés privés. Tant que le quota n’est pas atteint, aucun homme de valeur n’a le droit de s’exprimer. Déjà que plein de navets remplissaient les écrans, leur nombre sera multiplié par des super-navets, mais « l’égalité parfaite » gagnera. Je propose de continuer dans cette tendance de société idéale créant des quotas pour les autres composantes de la société moderne : des films produits par des handicapés (non, il y a déjà pas mal d’handicapés de la culture et du bon sens qui se produisent dans l’industrie cinématographique) d’autres par des pratiquants du régime vegan ou Hara Krishna, pourquoi pas…Comme diversité culturelle c’est l’idéal. Et nous n’aurons pas besoin de la charia pour vider les salles de ciné, de ce coté Paris sera l’égal de Djeddah, le pétrole en moins.
Un autre exemple, voir la liberté d’expression, parait-il défendue par notre constitution. Il suffit d’être marqué de gôche, et encore plus « antifasciste » et la liberté est présente : expression par parole et écrits (normal) celle de manifester (normal) mais aussi celle d’empêcher les gens de travailler, de se faire soigner, de chercher du travail, liberté de casser, d’attaquer les forces d’ordre et d’inciter au crime,  de bloquer les lieux de travail et d’étude, de détruire des biens publics et privés et j’en passe. Liberté totale, ne vous ai-je dis ?
Mais si par malheur, une personnalité, un journal ou un groupe est catalogué de « droite » ou pire « d’extrême droite » la situation et totalement différente. D’abord une remarque essentielle : ces appellations ci-dessus sont appliqués par des ayatollahs appartenant à la catégorie décrite dans le paragraphe précédant. La définition précise d’un mot ou d’une expression importe peu ! Si les docteurs de la pensée unique vous ont marqués d’un stigmate mortifère genre « néo réac », « extrême droite » ou pire « fasciste » vous êtes déjà condamné, même sans procès. D’ailleurs, condamné sans procès ou avec le procès d’un  juge  du « mur des cons » (officiellement Syndicat de la Magistrature) c’est kif-kif pareil. Au pilori, comme le titre d’une tristement célèbre feuille des années trente. Et avec les mêmes méthodes !
Voulez-vous des exemples concrets ?
-           - Les 1200 black blocs de la gauche radicale qui ont mis à sac des commerces et biens communs à l’occasion de la manif du 1-er mai 2018 (des vrais pacifistes, n’est-ce pas ?)  Ils sont disparus dans la nature, ni vus, ni connus. Les destructions ? C’est l’extrême droite dixit le leader maximo, Mélenchon. Si c’est lui qui le dit, impossible de ne pas le croire.
-          - Les quelques dizaines d’étudiants (avec les camarades de la NPA, Insoumis, militants SUD et CGT , au total une centaine d’excités) bloquent certaines universités, détruisent les locaux et le matériel destiné aux études et agressent joyeusement les forces de l’ordre ? Ils empêchent des dizaines de milliers d’étudiants qui veulent passer leurs examens ? C’est la liberté  d’expression car ils sont marqués du bon coté politiquement.
-          Et les ZAD-istes de NDDL qui sont toujours en occupation illégale de terres ne leur appartenant pas et ceci en dépit de l’abandon de la construction de l’aéroport ? De 400 permanents, ils sont arrivés à 700 de tous les pays proches ou moins proches. Pas question de les déloger, de leur faire payer les dégâts environnementaux (drôle d’écolos !),  de les éloigner du territoire pour les étrangers. Ils sont  alter mondialistes, écologistes politiques,  anarchistes,  « no borders » stipendiés par la riche fondation Open Society du milliardaire George Soros et autres. On ne touche pas !
-          Et je passe sur le Parti des Indigènes de la République et le Syndicat Sud qui organisent des séminaires ou congrès destinés exclusivement aux « racisés » donc interdits aux blancs. Je passe aussi sur les essais de plus en plus réussis d’introduire le délit  de blasphème, en interdisant la critique d’une religion (en occurrence l’islam) par la pénalisation d’un nouveau crime : l’islamophobie !
Toutes ces actes, toutes ces exactions contraires aux lois du pays sont permises, sinon encouragés.
Mais dès qu’un personnalité  vu de l’autre coté de l’échiquier politique ou soupçonné de critiquer une minorité favorisée par la pensée dominante , ce sont les condamnations judiciaires (Eric Zemmour,  Pierre Cassen, George Bensoussan) ou l’opprobre généralisé (Finkielkraut,  Onfray,  Boualem Sansal, Karim Daoud, Pascal Bruckner, Renaud Camus et plein d’autres).
Qui peut croire que nous ne vivons dans une société idéale ? C’est la nouvelle Arcadia Felice revue et corrigée. Où les héritiers d’Aristote, Socrate et Platon sont Booba, Nekfeu, et Suprème NTM.  


lundi 1 janvier 2018

Le film « La Promesse de l’aube », les Inrockuptibles et l’intégration.

Je suis allé voir ce film, dont le thème central, dominant, c’est l’amour fusionnel, jusqu’à l’excès, entre une mère et son fils.
Je souhaitais le visionner, car la lecture (il y a plusieurs décennies) du roman éponyme de l’écrivain Romain Gary m’a fortement passionné et ému. En général, pour voir un film, je fais confiance plus à l’avis de spectateurs que celui de la presse. Leur note globale est encourageante, bien que je pense que le film n’aura pas un succès commercial surtout en période de fêtes.
Mais j’ai encore un critère imparable pour le choix d’un film : l’opinion du critique spécialisé du magazine « Les Inrockuptibles ». Comme chacun le sait, Les Inrockuptibles apportent à la culture ce que la pisse d’un matou à un gâteau d’anniversaire. Ou plutôt, la culture dominante pour ce canard est celle du cannabis, tant la lecture des articles publiés parraissent le résultat d’une consommation excessive de ce produit (ou similaire) Donc je procède à l’opposé de ce qu’il est recommandé par les Inrocks.
Le test fut encore une fois, éloquent : Les Inrocks accordaient la pire note  (1/5), pendant que la note moyenne des spectateurs  était de 4.2/5 !
J’ai bien apprécié le film, malgré quelques longueurs et exagérations sommes toute assez habituelles dans ce genre de films. Particulièrement pour le jeu de Pierre Niney qui domine magistralement le film  aussi bien que celui de Charlotte Gainsbourg dans le rôle de la mère.
J’ai ressenti le besoin de marquer l’apparentée saisissante entre ce film et celui intitulé Mayrig (maman en arménien) du regretté Henri Verneuil : tous les deux autobiographiques, tous les deux servis par des grands interprètes (pour Mayrig, les inoubliables Claudia Cardinale - la mère - et Omar Sharif).
Bien plus important, tous les deux représentés par des enfants d’immigrés arrivés en France, dans des familles marquées par une volonté farouche d’intégration doublée d’un vrai amour pour ce pays. Intégration et réussite, au-delà de toute espérance : l’un, écrivain célèbre, aviateur dans l’armée de la France Libre, l’autre grand réalisateur de cinéma et auteur. Et c’est sur ces points que nous trouvons l’explication de la mauvaise note des Inrocks : les Inrocks haïssent la réussite de descendants d’immigrés comme Aznavour, Gary, Verneuil, Charpak et bien d’autres, des personnalités qui aiment et promeuvent l’amour du pays d’adoption. Les Inrocks préfèrent  starifier des crapules comme Mehdi Meklat qui crachent sur la France, les français, les juifs, les homosexuels, enfin tout ce qui n’est pas exactement copie de lui-même, ce « brillant » spécimen, actuellement revenu à un anonymat total (sauf pour la justice, éventuellement)

http://zissus.blogspot.fr/2017/02/affaire-mehdi-meklat-vitrine-de-la.html

Ceci m’amène à une triste conclusion : voir la différence entre la catégorie de descendants d’immigrées comme Gary, Verneuil et des millions d’autres, par rapport à une partie  de ceux issus d’une immigration plus récente, dont une  évidente manque de volonté d’intégration est quelque fois empirée par une agressivité jusqu’à la haine envers le pays d’accueil. Tout en profitant des avantages sociaux et d’accès à l’enseignement, la culture et aux services que la France leur offre.
Pour Romain Gary (du vrai nom Roman Kacew) comme pour Henry Verneuil (Achod Malakian) cette volonté inébranlable d’être Français à part entière est allée jusqu’à la francisation de leur noms, chose que personne ne leur demandait.
Quelle leçon pour les citoyens d’un pays en recherche d’une identité  de plus en plus flue, quelquefois dénigrée ou réfutée.


dimanche 26 mars 2017

J’ai découvert Christine Angot

J'ai découvert cette personne à l'occasion du débat de jeudi  le 23 mars, avec M. Fillon. J'ai eu un malaise total ! Une femme hystérique, aucun recul, aucune morale, sans vergogne et sans pudeur, elle veut se transformer  même pas en procureur mais directement en bourreau. D'une nullité intellectuelle qui frise le néant, mais avec la haine qui bavait à sa bouche. En un mot, une caricature d'un Vichinski, en pire. Le dégoût me noie !
Après l’émission,  j’ai eu encore la force d’essayer voir qui est ce personnage. Et j’ai découvert le pourquoi du malaise physique qu’elle m’inspirait : c’est un écrivain, spécialisé dans les détraqués mentaux coté sexe. Tout, absolument tout ce qu’elle décrit dans ses opus, c’est le bas fond du sadomasochisme, des violences sexuelles démentielles, c’est l’océan de sperme avec du sang qui peuple son imaginaire. Elle-même déclare que « dans la littérature il n’y a ni morale, ni responsabilité»  Même plus, elle affirme haut et fort la primauté de l’infection morale, l’infection de sa propre vie et celle qui conduit son écriture. Et ce n’est pas la réalité des nombreuses relations sexuelles insatisfaisantes, avec de très nombreux hommes dont son propre père qui pourrait l’excuser.
Voilà le portrait de cette représentante d’une certaine  intelligentsia  autoproclamée.  Dégoûtante créature et ce dégoût est imprimé sur son visage.


vendredi 17 février 2017

MACRON, LA BAUDRUCHE QUI SE DEGONFLE

Je ne sais pas si M. Macron pratique la course automobile, en tout cas je lui déconseille ; car il a commencé à pratiquer les « sorties de route » à grande vitesse.
La première ce fut  la célèbre phrase prononcée le 4 février à son meeting de Lyon   «il n'y a pas une culture française, il y a une culture en France et elle est diverse». J’ai failli tomber sur …le dos. Car moi, pauvre ignare, pendant toute ma jeunesse je lisais Dumas, Hugo, Anatole France, Zola et Balzac croyant que c’est de la littérature française. J’écoutais Bizet, Gounod et César Franck, comme aussi Brassens, Bécaud, France Gall et Berger croyant que c’est de la musique française. Et même si des chanteurs de ma jeunesse comme Claude François, Brel, Montant et Vartan n’avaient pas des racines françaises, ils avaient produit de la variété française. Mais ceci n’est pas dans « l’air du temps » d’une certaine idéologie qui affirme que  même Descartes n’était pas français ! Des « historiens »  formatés,  qui essayent de gaver les cerveaux de la jeunesse à leur vision crypto-marxiste et alter mondialiste. Tout est bon chez les « autres » rien de ce qui est français ne peut pas être bon ! C’est clair, n’est-ce pas ?
C’est suivi par un voyage à Alger, où il a déposé  une gerbe sur la tombe de Roger Hanin, avec son propre nom imprimé en grandes lettres sur le ruban. Comme il ne fait pas partie de la famille ni des proches de Hanin, je suppose qu’il voulait se présenter comme l’envoyé de Dieu !
Enfin, pour l’instant c’est le summum (mais on attend d’autres) : à l’occasion de la même visite, il a affirmé dans une  interview à "Echorouk News" que  la colonisation française  « c'est un crime, un crime contre l'humanité » Je sais que M. Macron est un brillantissime banquier  (raison pour laquelle le président Hollande, « l’ennemi de la finance » l’a choisi comme conseiller à l’Elysée et après comme ministre des finances) mais je me demande où a-t-il fait ses humanités. Car, encore un fois, dans mon ignorance, cette appellation s’applique aux génocides. Or, si les français ont procédé au génocide du peuple algérien, comment explique-t-on que la population algérienne « de souche » a progressé d’env. 3 millions à l’intervention française (en 1830) à presque 12 millions en 1966 (le premier recensement après l’indépendance) ?
http://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1973_num_28_6_15622
Même pour un grand financier, ce sont des chiffres difficilement explicables pour un génocide. Et pour les excuses dont il n’est pas avare du tout, pourquoi il ne demande pas des excuses aux italiens pour la colonisation de la Gaulle par les armées romaines ?
Mais, en même temps et même avant que la France arrive en Algérie, un empire colonial aux bord de l’Europe, l’Empire Ottoman, perpétrait depuis longtemps des massacres de masse dans les territoires dominés par lui, massacres qui ont culminé par un vrai génocide, celui du peuple arménien ! Génocide non reconnu même de nos jours et encore moins objet des excuses par les autorités turques ; et ce n’est pas le satrape Erdogan qui le fera. M. Macron n’aurait pas l’intention de faire une visite en Turquie et expliquer à Erdogan que c’est le colonialisme franco-anglais qui est responsable de l’assassinat de presque 1.5 million d’arméniens en 1915 ?

En résumé, l’opération marketing de certains groupes et réseaux qui ont préfabriqués ce personnage comme substitut d’un candidat socialiste commence à prendre l’eau. Et en même temps, leur « produit » Macron avec ses dérapages incontrôlés va directement dans le ravin. Électoralement parlant. 

dimanche 15 mai 2016

Pensées autour de l’annulation du concert à Verdun.

J’ai entendu Madame Azoulay, Ministre de la Culture, faisant une déclaration suite à l’annulation du concert du rappeur Black M aux cérémonies de Verdun. Elle a utilisé, parmi d’autres, l’expression « ordre moral nauséabonde » à l’égard des protestations  à l’origine de cette annulation.
Ordre moral nauséabond, venant de l’extrême droite…bien sur.
Entendant cela, je suis tiraillé entre un grand éclat de rire et un océan de stupeur devant  l’énormité de sa mauvaise foi. Car il est évident que Mme Azoulay n’est pas ignare ni inculte.
Donc pour elle, un « bon ordre moral » c’est Black M qui attaque la France la déclarant « pays de koufars » (mécréants en arabe, expression utilisé principalement par les salafistes et le djihadistes) ? Ou, elle lui donnerait le satisfecit pour les expressions contre les « youpins », contre les « pédés, (« coupe-leur le pénis, laisse-les morts sur le périphérique ») utilisés dans d’autres raps   ? Bien sur que ce sont des élégantes expressions d’un véritable ordre moral, d’après Mme le Ministre.
Je souhaite rappeler que pendant les manifestations contre la loi El Khomry, des bandes d’excités ont procédé à des razzias, des attaques ad hominem contre les agents de la force publique et des exactions tellement démesurées qu’un de ses collègues les comparait avec les années ’30. Sauf qu’elles émanaient des éléments d’une extrême gauche ultra violente, souvent les alliés naturels de la gauche dans les élections et même dans des gouvernements. Bien sur, pour Mme le Ministre ce sont des porteurs du « bon ordre moral »
Stupéfaction !
Comment ne pas l’être en l’entendant, en voyant que son ministère en accord avec le maire socialiste de Verdun n’ont rien trouvé de mieux pour les manifestations de la bataille de Verdun qu’un rappeur qui crachait sur son propre pays ?
Comment ne pas être, en écoutant un certain Todeschini (un obscur secrétaire d’Etat) exultant contre le Front National = part fasciste, à propos du même sujet ? Ce pauvre Ministre, il ne sait même pas ce qu’est un parti fasciste ! La France d’après la deuxième guerre mondiale accepte un parti fasciste officiel, ayant pignon sur rue ? On croit rêver. Mais sur quel critère de culture et/ou compétence  on  nomme des ministres et des secrétaires d’Etat dans la France de François Hollande ? 

 Je ne vote pas FN et je n’ai jamais voté pour ce parti. Mais je remarque l’adhésion croissante pour ce parti d’une majorité des anciens hommes et femmes de gauche ! Voir les actions de la gauche actuellement au pouvoir, il est évident que les ministres Azoulay et Todeschini sont parmi les meilleurs agents électoraux du FN.     

lundi 9 mars 2015

ISLAM DOIT ETRE REFORME ! ISLAM NE POURRA PAS ETRE REFORME.

Bien sur, le titre de ce petit opus est paradoxal, antinomique, mais malheureusement d’un évidence et d’une actualité qui sont réelles.
La première partie est confirmé et soutenus par la prise de position des penseurs du monde entier, mais particulièrement des centaines, sinon de milliers  d’intellectuels, théologiens et personnalités du monde musulman.
Les événements récents, qui sont d’une gravité exceptionnelle,  ont vu l’essor d’une pensée réformiste dans la sphère arabo-musulmane d’une ampleur sans précédant. La liste et longue, impossible de citer tous les noms et les propositions  émises par ces personnalités sinon la lecture deviendra indigeste.
Je me contenterais de souligner d’abord la pensée de l’intellectuel égyptien Saiyed al-Qemny, chantre de la pensée "critique" et qui veut réhabiliter (comme Abou Zeit ou Abdel Razeq avant lui) le courant de pensée hétérodoxe du mutazilisme, fondé sur le primat de la raison critique ; mais il faut savoir que ce mouvement de pensée fut interdit depuis le 10e siècle dans le monde sunnite !
Parmi les plus pertinents néo-mutazilistes de nos jours on peut citer  l’ex ministre tunisien Mohamed Charfi, les Frères franco-algériens Soheib et Ghaleb Bencheikh, l’écrivain de renom Boualem Sansal, le réformiste Abdennour Bitar, Abdellah Tourabi ( directeur de la revue marocaine TelQuel), Kamel Daoud qui ose ainsi affirmer qu’il faut « s’attaquer à la matrice » du fascisme islamiste et bien d’autres.
Mais, et c’est ici que la deuxième partie du titre de l’article surgit, est-il possible de réaliser cette réforme et de la faire accepter par l’Oumma entière ? La réponse est non et ceci pour plusieurs raisons, dont deux majeures.
Premièrement, dans le monde sunnite (qui englobe 90 % du monde musulman) il n’existe aucune hiérarchie théologique, aucune personnalité ou organisation qui peut avoir une autorité sur l’ensemble des fidèles. N’importe qui, possédant une certaine connaissance du Coran, des Hadîth et de la langue arabes peut se décréter imam et même, si doué de beaucoup de charisme, s’intituler « calife », « émir des croyants » ou autre titre prestigieux et agir en conséquence. (nous connaissons bien des exemples). Dans ces conditions, la réalisation d’une réforme de fond de l’islam (tel que fut le concile Vatican II pour les catholiques) devient une gageure.
Un deuxième obstacle de taille, c’est le caractère divin du Coran. Ce livre étant dicté directement par Allah au Prophète, il est impossible d’émettre aucune critique, aucune modification même mineure à son contenu. Et ceci, malgré le contenu souvent contradictoire entre des sourates, particulièrement entre celle d’origine mecquoise et les médinoises.
C’est le contraire pour autres  livres sacrés  (par exemple les Évangiles pour les chrétiens, la Thora pour les juifs, les textes sacrés bouddhistes Theravada) qui ont été écrits par des humains, bien plus tard que leurs inspirateurs « divins » donc facilement critiquables.
Il y a bien sur d’autre raison opposables à cette réforme, mais de moindre importance.
Alors, que faire ?


vendredi 27 février 2015

GEORGES MARCHAIS, REVIENS !

Ce matin j’écoutais Radio Classique ; une station riche en musique de qualité, parsemé des interviews  intéressants menées par des vrais professionnels (de plus en plus rare dans le journalisme)  des interventions de bon sens de Luc Ferry, des belles histoires de la grande musique joliment racontées par  Eve Ruggieri, sans oublier les dialogues avec les invités de soir d’Olivier Bellamy. Enfin, un poste que j’aime bien, c’est tout dire.
J’écoute les premières paroles de l’invité de Guillaume Durand et instantanément, sans même entrer dans le contenu de la conversation, je devine que c’est  un communiste qui parle !
Je ne sais pas comment, mais les pontifes de ce groupuscule ont le même timbre, la même façon de s’exprimer avec les mêmes phrases, idiomes et slogans répétitifs. Quelque chose entre la litanie d’un prêtre défroqué et d’un tenancier de maison close qui vous invite sournoisement à une « partie fine » Je suppose qu’ils ont des leçons-type à l’Ecole des Cadres du PC (si elle existe encore) et seulement ceux qui apprennent mieux la façon de parler ont droit à des postes. Vu que maintenant il y a plus de cadres que de militants de base, l’avenir est tout tracé : la benne à ordures pour le recyclage politique. Si ce  n’est déjà trop tard pour le recyclage
Mais revenons au sujet : pari gagné, c’était l’inconnu Secrétaire Général de nom  Jean  Laurent (je ne suis pas sur du prénom, mais c’est sans importance, je ne me fatigue pas de chercher sur Wikipédia). Plus terne, plus nul, plus gris que lui,  difficile de trouver. Vraiment les cocos ont un mal fou à recruter pour arriver à mettre ce pauvre mec à la tête du moribond PC. Ça sent le sapin…
Et voilà que soudainement je suis arrivé à regretter le feu Georges Marchais. Il avait de la gueule, le bonhomme ! Quelle faconde, quelle gouaille, inimitable, il nous faisait rire à gorge déployé. Souvenez vous, quand le sujet de l’interviewer était gênant  (et pour le PC, les sujets gênants sont des légions) il sortait la même phrase : « c’est une bonne question », occasion de changer complètement de  sujet. Et quand le journaliste devenait insistant, la réplique « taisez-vous Elkabbach !» qui est devenue célèbre. Oui, une autre époque.
Mais entre nous (c'est confidentiel) j’ai encore une raison, une raison majeure d’aimer follement George : quand je l’ai connu, dans les débuts des années ’70, le PC obtenais encore 22 % des voix ! En une décade, il a réussi de les réduire à 15 %. Comment de pas l’aimer ?


mercredi 5 décembre 2012

PENSEE DU JOUR


Cinéma
Quand je n’arrive pas me déterminer de voir ou non un film, en raison des critiques divergentes, d’un sujet qui à priori ne me fascine pas mais je souhaite avoir un dernier avis définitif, la procédure et simple : je consulte la critique des Inrock et je fais le contraire !  C’est excellent comme méthode, je tombe on ne peut pas mieux.
Cette fois j’ai procédé à l’envers : j’ai vu « Stars ‘80 » car je suis nostalgique de leur musique. Le film est loin d’être enthousiasmant, mais il est plain de fraîcheur  de nostalgie et c’est un moment agréable à passer. Les Inrock, consulté après coup, m’ont donné « raison » en descendant en flèche le film. Manque de pot, s’ils évaluent le film à 1 étoile sur 5, les spectateurs accordent 4/5 et le film est toujours à l’affiche, preuve de la satisfaction du public !
Le « culturel » du service, commissaire politique à la critique ciné des Inrock les traite des ploucs ; peut-être, mais je préfère avoir affaire avec des ploucs qu'avec des super c…prétentieux, tapis dans leur bunker. Vive le petit père des peuples, il a encore des émules.

samedi 23 juillet 2011

L’ART, UNE MARCHANDISE DE SUPERMARCHE ?

Une anecdote récente m’a donné l’idée d’écrire ces quelques lignes, avec un titre un tantinet provocateur, mais pas autant que ça…
Comme chaque été, dans la bonne ville de Nancy (et ses environs) il y a une manifestation de musique classique sous l’appellation de « Nancyphonie »
Si cette manifestation est le résultat de l’effort de son dynamique fondateur Hugues Leclere, elle est surtout redevable au maire de Nancy André Rossinot.
A ce moment je dois faire une parenthèse hors sujet, c’est ma manie de divaguer, on ne se refait pas ! Malgré ses défauts, malgré son caractère difficile, souvent insupportable, jJ’ai une grande empathie pour André Rossinot et je peux l’affirmer publiquement car je ne lui ai jamais demandé qui que ce soit et il n’y a pas de chance que je lui demande à l’avenir. Mais il ya des raisons multiples pour lui accorder ma sympathie et admiration et le principal c’est d’avoir beaucoup contribué pour la belle évolution de l’agglomération nancéienne et en particulier pour son essor culturel (voir le succès indéniable de « La livre sur la place » chaque mois de septembre.) Il y a bien sur, d’autres raisons pour lui être reconnaissant, mais ce n’est pas le sujet.
Revenons aux Nancyphonies qui ont débutés cette année le 15 juillet avec un bel récital du talentueux Jean-Efflam Bavouzet dont j’ai apprécié pas uniquement sa virtuosité pianistique mais aussi son talent de pédagogue pas du tout « rasoir » Je n’ai pas regretté le coût de la place, de 25 €/personne…Mais j’ai regretté que la salle, malgré la présence de nombreux stagiaires présents à titre gracieux, était très partiellement remplie.
Plusieurs jours après, dans la même prestigieuse salle Poirel, un autre récital de piano par le chef d’orchestre mexicain, Enrique Batiz. Rien à dire, interprétation de grande classe, un répertoire de haute qualité.
Mais je fus surpris ; autant Bavouzet était d’une simplicité et d’un abord très convivial et chaleureux, M. Batiz semblait plus qu’hautain, à la limite d’une attitude d’hostilité ou mépris envers le public. Même sa gestuelle dénotait par rapport aux signes de remerciements que les interprètes expriment habituellement. Quelle explication donner ? J’esaye de m’aventurer : son récital étant gratuit et connaissant l’énorme EGO des artistes en général, s’est-il senti vexé de jouer dans un concert gratuit qui, par définition attire un public moins prestigieux ? Peut-être…
Enfin, le clou de l’affaire qui m’a proprement sidéré. A la fin du spectacle, un ravissante jeune femme vient nous annoncer que pour le spectacle suivant, payant, le prix de la place est diminué d’environs 30 à 40% !! Et ceci avec un certain succés, en jugeant l’affluence devant les caisses. Nous voilà, on solde la culture comme une vulgaire barquette de sushis ou une chemisette made in China. Triste spectacle, triste époque…

Sorel ZISSU

mardi 8 février 2011

Mon pote Pierrot, mon grand Pierrot.

Oui, Pierre Perret, c’est un vieux shnock de 73 piges qui ose t’envoyer cette bafouille.
Car tu nous a tour à tour égayé, ému, touché et mobilisé avec tes chansons poétiques, élégiaques et d’autres rieuses et même paillardes. Mais toutes imprégnés de tendresse, beauté et amour du prochain. En un mot, tu es et tu as toujours été un grand humaniste et je t’en remercie, je te remercie pour le bien que tu me fais, que tu fais aux millions des gens qui t’écoutent.
Ce qui m’a déterminé de t’écrire ce jour, c’est ta dernière chanson, ton dernier coup de gueule tellement en concorde avec les réalités du monde : La femme grillagée !
Quelle beauté, comme tous les autres, mais un peu différente quand même. Car celle-ci touche directement une moitié de monde et indirectement tous les gens épris d’humanité et sensibles au sort que les femmes subissent sur l’ensemble de notre planète.
Et quel courage d’être à contre-courant de tous les « politiquement correct » de tous les bobos qui, avec les yeux bandés comme d’habitude et en retard d’une guerre (sinon plus) te taxerons au mieux d’islamophobe, au pire de fasciste ou d’extrême droite.
Encore une fois, un grand merci et continues de nous émerveiller Pierrot.

Sorel
2011-02-08
Mes remerciements à Mme Daniela Lumbroso pour l’émission Chabada du 7 février dernier qui nous a permis d’une jolie façon de nous émouvoir par les chansons de Pierre Perret et par les gens qui l’entouraient avec une amitié sincère.

samedi 20 février 2010

LOUIS XVI et NICOLAS II

J’ai suivi récemment un film sur Marie Antoinette et le règne du dernier Bourbon avant la Révolution, occasion de saisir encore une fois la similitude étonnante, frappante, entre Louis 16-ème du nom et Nicolas II de Russie.
Je suis foncièrement républicain sans être pour autant anti-monarchiste et ma vision sur ces deux souverains est plus que mitigée ; ils me semblent plus comme deux paumés que des méchants loups et j’essaie de m’expliquer.
Tous les deux ont payé durement les exactions, la dureté quelquefois sanguinaire, l’oppression du peuple et la dictature féroce de la majorité de leurs prédécesseurs. Je pourrais même affirmer qu’ils ont payé injustement ces atrocités s’ils ne se rendaient coupables d’un aveuglement et d’une méconnaissance des réalités environnantes.
L’un comme l’autre n’étaient pas faits pour régner et n’étaient pas préparés pour le pouvoir suprême, ils ne le souhaitaient même pas.
Un autre rapprochement, ils ont régné dans des époques différentes (plus d’un siècle de distance les sépare) mais sous le signe d’une fin de cycle : fin de la monarchie absolue en France, fin du régime tsariste en Russie.
La situation socio-politique est aussi similaire : en France, les élites subissent l’ouverture des Lumières en même temps que des désastres économiques et la presque-faillite financière de l’Etat ; la Russie est sous la pression des élites intellectuelles, la misère des masses paysannes et le poids de la guerre ruine l’Etat.
Tous les deux ont en commun une faiblesse personnelle et sous l’influence d’un entourage qui les ont détournés d’une politique réaliste et en phase avec leur temps (à l’exception de Necker pour Louis XVI, mais trop bref et surtout trop tard)
Une autre ressemblance marquante, leurs épouses respectives étaient toutes les deux d’origine étrangère (ce qui focalisait la haine du peuple) et de plus, originaires de pays en conflit (avant ou pendant le règne) avec celui de leur époux. L’une comme l’autre, Marie Antoinette comme la tzarine Alexandra Féodorovna étaient de religion différente de la religion dominante dans leur nouveau pays, ce qui avait à l’époque avait une importance certaine. Les deux ont eu une participation active bien qu’involontaire au discrédit de leurs monarchies : Marie Antoinette par ses dépenses somptuaires, sa légèreté légendaire mêlée d’une sorte d’infantilisme, la tzarine cyclothymique, bigote et sous l’influence aveugle du charlatan Raspoutine.
La triste fin de ces deux monarques est aussi similaire, l’un sous le coup de la guillotine révolutionnaire, l’autre assassiné sauvagement par les hommes de main du nouveau pouvoir bolchevique. Tous les deux ont eu un comportement digne, à la hauteur de leur personnalité politique.
La suite des événements concernant les deux peuples est bien différente : la France, après une période trouble de la Terreur est devenue une République et une des premières démocraties européennes, la Russie est tombée de Charybde en Scylla, de la dictature tsariste en dictature communiste. Mais ceci ne peut que renforcer mon impression sur les coïncidences de ces deux fins de règne.

Sorel Zissu
Février 2010