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vendredi 12 juillet 2024

Pas de gouvernement avec le Nouveau Front Populaire !

 

Même pas un mois pour un gouvernement dominé par les staliniens furieux de la bande à Mélenchon. Car, dans l’attelage bancal du NFP, les autres formations ne sont que des auxiliaires, dirigés par des pantins soucieux uniquement de sauver quelques places de députés et peut être plus de prébendes.

Toute l’histoire nous enseigne que la méthode a été identique, avant qu’une dictature féroce et sanglante se met en place pour des longues périodes.  Profitant d’une période pleine d’incertitudes, même avec un désordre provoqué par la chute d’un pouvoir en place, des formations extrémistes prennent le pouvoir alliés avec des partis ou groupes modérés. Mais dès la consolidation du nouveau conglomérat, les extrémistes profitent pour créer des lois « d’exception » afin de liquider politiquement et/ou physiquement les opposants et leurs propres alliés.

Quelques exemples qui peuvent nous éclairer par rapport à notre situation actuelle.

Après la révolution de 1789, les jacobins, alliés avec les girondins et même des aristocrates libéraux ont crée les conditions de la fin de la monarchie absolue. Quand la conjoncture est devenue favorable, les jacobins de Robespierre ont liquidé les opposants et leurs alliés ! Ce fut la TERREUR. Les jacobins guillotinent des leaders révolutionnaires comme Danton, Desmoulins, Olympe de Gouges et des milliers d’autres.

Plus récemment, en 1917, après la chute du tsarisme, les bolcheviques de Lénine et Trotski ont procédé de la même manière : après les blancs, leurs alliés mencheviques, socialistes-révolutionnaires et les libéraux ont été massacrés à part ceux qui ont réussi à s’enfuir. Après quoi, ils ont commencé à s’entretuer : Trotski, Zinoviev, Kamenev, Boukharine et tant d’autres ont connu le même sort.

Un exemple très significatif : aux élections législatives en Allemagne de 1932, le parti nazi ne conserve qu’une majorité très restreinte de 196 députés sur le total de 584.  Le 30janvier 1933, le Président Hindenburg nomme Adolf Hitler comme chancelier, mais flanqué de conservateurs du parti DNVP dont von Papen, (vice-chancelier.) et d’autres personnalités plus modérées. Un plan machiavélique est mis en place ; les nazis incendient le Reichstag (le parlement allemand) et attribuent ceci aux communistes. Occasion de se donner les pleins pouvoir et interdire les partis communistes et sociaux démocrate et ultérieurement leurs propres alliés du DNVP. La suite est connue !

Pour ne vous fatiguer, je ne raconte pas les purges réitérées accompagnées de la mort des compagnons de route de Mao, Castro et d’autres idoles de notre leader maximo.

Conclusion : N’oublions pas que Mélenchon est un robespierriste assumé. Les Faure, Tondelier , Glucksmann et autres doivent faire attention ! Les purges ont commencé : Fabien Roussel et Garrido ont déjà payé leur opposition à Mélenchon, Ruffin et Corbière ne furent pas loin. Et le matamore n’est pas (encore) au pouvoir ! Ça promet…

 

 

 

samedi 14 octobre 2023

Ce qui différencie les attentats islamistes du terrorisme

 

Les attaques barbares du Hamas en Israël, sont identiques dans le fond à toutes les actions similaires des islamistes dans le monde (attentats de New York et Boston aux USA ceux de Londres, Madrid, Paris, Bombay, plusieurs aux Pakistan (y compris dans des mosquées !) etc.,

Mais ils ont une caractéristique qui les placent bien au-delà du terrorisme.

Le terrorisme "classique" a existé de tous les temps. Mais ils ciblaient exclusivement des représentants ennemis ; policiers, membres de forces armées, politiciens, gouvernants. 

Les attentats islamistes ont une caractéristique propre : ils massacrent indististinctement des civils, femmes, enfants, vieillards. Quand ils peuvent, ils exhibent sur des photos et vidéo leur sauvagerie indescriptible. C'est bien plus que du terrorisme. Toute l'histoire nous montre la bestialité des armées et hordes arabo-musulmanes (particulièrement de l'Empire Ottoman)

Et ceci se répète depuis quelque 3 décennies, afin de réaliser le rêve de la Confrérie des Frères Musulmans : la création d’un nouveau Califat (Dar al Islam) qui doit dominer le monde.

jeudi 28 septembre 2023

DEUXIEME GENOCIDE ARMENIEN

 

Sous nos yeux, en 2023, quand toutes les informations circulent avec la vitesse de la lumière, un deuxième génocide arménien est en train de se perpétrer ! C’est révoltant et incompréhensible ; toute l’humanité regarde cette tragédie avec plus ou moins d’indifférence quelque fois avec des soupirs de tristesse et compassion et c’est tout !

Le peuple arménien, était partiellement établi dans cette région appelée Haut Karabach depuis environs 3 millénaires ! Une partie des rescapés du génocide du 1915 ont retrouvé un havre dans cette région.

Un siècle plus tard, le génocide arménien « accompli » par les turcs (qui aujourd’hui encore osent réfuter sa réalité) se renouvelle sous la forme de l’éradication de la présence arménienne de ses terres. Car ne fermons pas les yeux ! Les exécutants sont des azéris, peuple d’origine turque, guidés et soutenus politiquement et militairement par la Turquie dirigé par le satrape Erdogan, pays aujourd’hui adoubé par l’alliance atlantique et candidate à l’intégration dans l’U. E.

Et ceci sans que la communauté internationale fasse le moindre geste, se voilant la face honteusement. La Russie, qui devait jouer un rôle de pacification et de neutralité active dans le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, avec une présence militaire sur place, est complice de cette épuration ethnique.

J’ai honte et dégoût devant la couardise des uns, la duplicité d’autres et la monstruosité des coupables ! Honte de cette humanité, de ces âmes bienveillantes qui se révoltent bruyamment devant le potentiel danger de disparition d’une espèce de batraciens ou d’insectes et qui adoubent ces atrocités.

dimanche 19 mars 2023

DECLINISME, DECADENCE ? NON, DECOMPOSITION

 

Il y a plus de vingt ans, (après le 11 septembre 2001) j’ai mis en lumière l’état de la civilisation occidentale. J’ai démontré qu’elle est vouée à la disparition en analysant l’incroyable similitude avec les causes provoquant l‘écroulement de la civilisation gréco-latine par la chute de l’empire romain. J’ai été accusé de déclinisme, que j’ai assumé intégralement, considérant que c’est un phénomène qui doit se situer dans une période d’environs 60 à 80 ans. Un peu naïf, je me suis trompé sur les dates.

Il y a 13 ans, je reviens au même sujet, cette fois-ci considérant que la situation s’est détériorée de telle nature que nous devons parler d’une réelle décadence de notre civilisation et ceci à plus court terme. Me voilà traité de cassandre que j’ai pris comme un compliment pensant à la célèbre journaliste Geneviève Tabouis.

Je trouve aujourd’hui que nos sociétés sont arrivées dans un état de décomposition collective : décomposition morale, institutionnelle, culturelle et artistique et même scientifique.

Sur le plan interne ; nous sommes submergés et minés par les attaques incessantes de la sinistre idéologie « woke » avec la « cancel culture » qui condamne à la mort sociale toute personne qui nie leurs oukases, par l’éco terrorisme qui s’attaque uniquement aux erreurs réelles ou supposées du monde occidental, par les anarchistes, les black block, les fascistes appelés « antifa » les ZAD-istes, les « no borders » imigrationnistes, les l’ultra gauche et surtout  les islamistes, une alliance hétéroclite mais mortifère.

Sur le plan international ; je n’aime pas et j’évite de dépasser le point Goldwin (comparaison à tout moment et à toutes les sauces avec les années ’30) mais nous pouvons voir se constituer un bloc menaçant nos démocraties : l’alliance en devenir entre la super puissante Chine avec la Russie et l’Iran. Similaire à l’alliance d’avant la dernière guerre entre les puissances de l’axe, Allemagne, Italie et Japon. S’il y a une similitude entre ces deux blocs actuel et passé, une grande, une très grande différence aussi. Les démocraties d’aujourd’hui, contrairement aux anciennes, n’ont pas de leaders à la hauteur et surtout elles sont vermoulues par la déstructuration de nos sociétés, tel que j’ai survolé plus haut. Avons-nous des hommes capables de nous défendre comme Churchill ou De Gaulle ? Avons-nous des gens ordinaires capables de sacrifier leur existence et leur vie pour défendre nos idées ?  Je ne vois pas ! Nous avons des Biden, des Macron, Scholz et von der Leyen et nous avons des millions de gens qui se révoltent pour obtenir plus d’argent et de loisirs mais surtout le moins d’efforts possible !

Pour paraphraser Mitterrand, les missiles sont à l’Est, les pacifistes (j’ajoute désintégrés) sont à l’Ouest.

Y a-t-il des raisons d’espérer ? Peut-être, mais je n’arrive percevoir aucun rayon de lumière à l’horizon. Pas encore.

mardi 1 mars 2022

LA RUSSIE DE POUTINE ET LA RUSSIE ETERNELLE

 

Je lisais l’éditorial de l’Est Républicain du jour, (au passage dit, la seule rubrique intéressante de ce quotidien régional). L’auteur faisait un constat réaliste de la situation actuelle et misait sur une chute de l’intérieur, comme la chute de l’URSS.

Je ne peux pas croire à une révolution provoquée par le peuple russe. Il faut savoir que la Russie, dans toute son histoire, n’a pratiquement jamais connu une situation semblable à une démocratie stable, n’en déplaise à M. Zemmour qui soutenait il y a peu que le régime de Poutine est une démocratie, car il a été élu et réélu par les urnes. (Il « oublie » que Hitler fut élu aussi par les urnes…)

Les seules deux épisodes d’une ébauche démocratique furent celle entre février 1917 et octobre 2017, dont une minorité bolchévique, profitant du chaos ambiant à réussi de prendre le pouvoir par un putsch victorieux et remplacer la dictature tsariste par la dictature communiste.

Le deuxième fut créé par l’essais infructueux de Gorbatchev de réformer l’URSS, conduisant à son éclatement et suivi d’un autre chaos dont Poutine a profité pour instaurer peu à peu sa dictature.

Ma conclusion, c’est que le peuple russe a une résilience particulière et une accoutumance aux dictatures. Et c’est pour cette raison que Poutine est toujours plébiscité par une grande majorité de Russes.

La seule espérance de sortir d’une situation qui peut dégénérer dangereusement, c’est que devant sa paranoïa relevant limite à une sorte de folie, une révolution « de palais » puisse intervenir de la part de l’appareil politique poutinien et des dirigeants militaires qui mettrons Poutine hors-jeux. Ceci s’est vu en maintes fois dont je cite la destitution de Khrouchtchev en 1964 et la déposition de Mussolini en 1943 par leurs propres entourages.

Vu la tête du ministre de la défense devant la demande d’activation du dispositif nucléaire russe, cette hippothèse n’est pas complètement absurde.

mercredi 4 août 2021

"Le Monde" ancien quotidien de référence ! Qu'en est -il devenu ?

 

Le quotidien de soir de « référence » titre de presse avec un passé prestigieux était devenu peu à peu un triste torchon de la gauche caviar.

Mais pire encore, depuis un certain temps elle s’affiche comme l’organe de propagande d’une gauche racialiste, intersectionnelle et multiculturaliste., copie fidèle de sa sœur jumelle New York Times.  En un mot, la culture « woke » importé de l’outre Atlantique qui impose une vision totalitariste, intolérante et obscurantiste de la vie actuelle.

Dans le siècle précédent, deux visions totalitaires et meurtrières ont dominé le spectre européen : d’une part le nazisme hitlérien et d’autre part le communisme stalinien. Ces dinosaures de triste mémoire menaient une action puissante dans le lavage des cerveaux humains. Dominés par leurs administrations assumant une propagande bien rodée : les bien nommées, « Propaganda Staffeln » de Joseph Goebbels et le « Département pour l'agitation et la propagande » soviétique. (Mieux connu par l’abréviation « Agitprop ») Chacun de ces organismes, qui malheureusement ont réussi à fanatiser des millions de citoyens, avait son organe de presse principal : Völkischer Beobachter pour les nazis et la Pravda pour les soviétiques

Le Monde d’aujourd’hui est plus proche de l’un ou de l’autre ? Interrogation qui mérite d’être posée.










lundi 17 mai 2021

GAZA : UNE REALITE CLAIRE ET SIMPLE

 

Comme beaucoup de réalités, elle doit sauter aux yeux, sauf pour ceux qui n’en voient pas, ou qui ne veulent pas voir !

C’est assez clair et elle peut être résumée en quelques lignes, simplement.

Gaza est un territoire au Sud d’Israël qui appartenait à l’Egypte avant la guerre de 1967.

Suite à cette guerre, Israël a occupé Gaza et le Sinaï. En raison du traité de paix israélo-égyptien de 1977, Israël a cédé le Sinaï et proposé aussi la cession du Gaza, ce que les égyptiens ont refusé net (on les comprend bien, maintenant)

En 2005, Israël se retire unilatéralement de Gaza, obligeant tous les israéliens sur place de quitter le territoire et permettre aux gazaouis de récupérer les infrastructures laissées en place. Ensuite arrivent les élections de 2006 ; le Hamas prend le pouvoir démocratiquement, grâce aux promesses électorales. Promesses concernant principalement la destruction d’Israël, l’élimination de toute trace de population juive et l’accaparation des infrastructures et des biens. Compréhensible, n’est-ce pas ?

 https://fr.wikipedia.org/wiki/Hamas

Après 15 ans de pouvoir du Hamas que constate-t-on ?

Non obstant la mise en place d’un régime totalitaire de type islamiste, la situation sociale devient catastrophique.  En 2019 le taux de chômage atteint 53 % de la population active et 80 % des habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté. Et ceci malgré les aides massives estimées à plus de 1 à1.5 Md $ annuellement (principalement provenant du Qatar, de l’UNRWA, de l’Union Européenne, des USA et des organisations palestiniennes internationales et autres)

Explication très simple : la majorité de ces aides contribuent à l’achat (de provenance iranienne) et la fabrication des armements, principalement des missiles à courte et moyenne portée.


https://www.nouvelobs.com/monde/20140710.OBS3437/israel-gaza-ce-que-l-on-sait-de-l-arsenal-du-hamas.html

Quand on sait que le coût moyen d’un missile sol-sol est d’environ 130.000 € et que le Hamas et ses alliés (Jihad Islamique) possèdent environ 21500 missiles, que l'entretiens des milices  "Brigades Izz al-Din al-Qassam" (10.000  hommes) le compte est vite fait !

Enfin, une petite comparaison, un cas d'école : après la chute du nazisme en 1945, la France a occupé le land allemand, la Saare. En 1947, suite au référendum, ce land et rétrocédé à la RFA. Supposons que les sarrois s'arment et commencent à bombarder la France, sous prétexte de reprendre l'Alsace et la Lorraine, anciennement territoire du III-e Reich.

Que pensez-vous qu'il faudrait faire ?    


 

lundi 21 décembre 2020

MARXISTES, LES COCUS DE L’HISTOIRE

 

L’idéologie marxiste, relativement récente à l’échelle historique, a enfanté d'un monstre : le communisme. Qu’il soit sous les formes diverses il a conservé la même structure, la même stratégie et les mêmes méthodes, conduisant (heureusement) à la même fin inéluctable : la faillite.

Les derniers avatars de cette ex méga secte se trouvent depuis un bon moment devant une réalité angoissante : ils ont perdu la majorité des militants (beaucoup de leurs ex adeptes ont déserté les rangs) et ils ont perdu leur « clientèle » c’est-à-dire le prolétariat et les laissées pour compte de la société libérale.

Alors, quoi faire ? ( pour paraphraser Lénine) ; ces derniers avatars butés s’accrochant toujours à leurs lunes, n’acceptant pas la réalité cruelle, il se recroquevillent sur leurs convictions dogmatiques et, depuis la fin du communisme, ils cherchent désespéramment  une bouée de sauvetage.

 EUREKA, Ils ont trouvé l’idéal pour poursuivre dans leur « lutte finale » :  c’est l’islamisme ! Aussi paradoxal que puisse paraître, les guerriers de la « religion = opium des peuples » se sont rapprochés des mouvements les plus rétrogrades, obscurantistes et discriminatoires de la nébuleuse islamiste. Aveuglement ?  Je n'y crois pas. Plutôt dans un calcul pervers, sur la base de la doctrine « les ennemis de mon ennemi sont mes amis » en essayant de reproduire l’ancienne tactique qui a permis aux bolchéviques d’arriver au pouvoir, après quoi ls ont exterminés leurs anciens complices ou alliés.

Manque de pot, ce dernier allié est d’ne autre envergure, d’une force mal estimée par ces pauvres bougres. Ils n’ont rien compris de la tragédie du peuple iranien, quand après l’arrivée au pouvoir des ayatollahs, les forces d’appoint (communistes, nationalistes et les quelques démocrates aveugles) ont été totalement réduit à néant. Ils n’ont rien compris des printemps arabes où les mouvements laïques ont été rapidement évincés par les islamistes, nécessitant dans quelques endroits un coup de force militaire pour les réduire au silence (provisoirement). 

Eux, ile restent toujours accrochés à cette alliance contre nature, comme tous les obstinés fanatiques dans l’aveuglement dogmatique, sectaire. C’est ce qu’a donné naissance au « célèbre » mouvement islamo-gauchiste, le nouveau cancer dangereux de nos démocraties.

 

mardi 15 décembre 2020

TIME MAGAZINE DECOUVRE ASSA TRAORE

 

Recémentent, en découvrant la une du célèbre magazine américain TIME célébrant, en page de couverture, Madame Assa Traore comme « gardienne de l’année » pour « la lutte pour la justice raciale », accompagné d’un article dithyrambique à son égard, j’ai failli tomber de mon fauteuil. Après avoir réussi à retrouver mes esprits (initialement j’ai cru à un canular, un hoax comme ceux qui circulent largement sur la toile) je me suis dit que le ou les journalistes en question sont de pauvres ignorants, le dit canard n’ayant pas les moyens financiers pour embaucher et payer correctement des vrais journalistes.  Car, en lisant attentivement le texte, ils présentent la dame en question comme un phare de l’antiracisme et non comme le porte-parole d’un gang familial de délinquants multi récidivistes, spécialisés dans les trafics de stupéfiants, vols, violence, extorsion de fonds par chantage et, pour le « héros » de l’affaire Adama, viol et j’en passe. En réussissant d’entrainer derrière elle toute une galaxie d'individus de même acabit :

https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-galaxie-de-la-famille-traore-104805

Après ce moment d’hébétude devant l’énormité de la situation, j’ai voulu m’intéresser d’un peu plus près sur l’histoire de ce magazine et ses « coups de cœur » dans le passé. La découverte fut sensationnelle, mais terrifiante en même temps.

En 1938, le Time désignait Adolf Hitler "personnalité de l'année". 

Son invasion de la Pologne l'année suivante a déclenché la seconde Guerre mondiale avec ses millions de victimes et toute la gamme d’atrocités dont tout le monde est au courant. Croyez-vous que TIME a eu un moment, un petit moment de décence pour présenter des excuses, pour faire mea culpa devant ce geste d’ignominie ? Rien de ça, passez bons citoyens, nous (la ligne éditoriale de TIME) nous somme au-dessus de toute morale, de toute décence.

Si les choses s’arrêtaient là…Mais récidive :

Les voilà, grands admirateurs d’un autre apôtre de la démocratie et de l’amour des gens, le célèbre "petit père des peuples" Joseph Staline  

Staline fut désigné deux fois « personnalité de l’année », avant et après la deuxième guerre mondiale. Parmi ses faits d’armes qu'admirent le plus les journaleux de TIME ? Le grand massacreur de masse qui a assassiné et déporté des millions de personne, en envahissant et annexant de pays pendant de dizaines d’années ?

Considérant qu’ils (les journalistes et la rédaction de TIME) vont sur le bon chemin et qu'ils ne doivent arrêter leurs ignominies, en 1979 ils trouvent une autre idole : l’ayatollah Khomeini désigné aussi comme « l’homme de l’année » et ceci en pleine crise irano-américaine, quand les nervis islamistes iraniens ont attaqués et pris en otage la majorité des diplomates américains. Acte pas uniquement odieux, mais totalement contraire aux règles diplomatiques internationale.

Cette initiative de TIME aurait normalement du être considérée comme intelligence avec l’ennemi et punie en conséquence. Et, devant cette inacceptable situation, la même attitude :aucune marque de regret, de repentance.

Dégouté par cette attitude inqualifiable, je n’ai pas essayé de découvrir s’ils n’ont pas manifesté le même empressement pour chanter de louanges pour le calife al Baghdadi ou Ben Laden. Je me charge de le faire en images :

  


Le rédacteur en chef de TIME, Edward Feisenthal, en bonne compagnie.  

 

dimanche 4 novembre 2018

L’HISTOIRE, UN ETERNEL RECOMMENCEMENT


Un de ces soirs j’ai regardé sur ARTE, un film basé sur la vie de Jan Masaryk, un grand homme politique tchécoslovaque dont cette année on a célèbre les 70 ans après sa disparition (assassinat masqué en suicide)
Le film est médiocre, mais les événements décrits (ou occultés) dans le film m’ont fait penser aux événements actuels dans notre Europe, soit une triste répétition de l’histoire.
Pour ceux qui ne connaissent pas le sujet, je le résume : La Tchécoslovaquie (actuellement séparée en deux Etats, La République Tchèque et la Slovaquie) fut un état crée en 1918 après la chute de l’empire Austro Hongrois. Le premier Président, héros de la libération et de la création du nouvel état, un grand démocrate, se nommait Thomas Masaryk qui a impulsé à son fils Jan Masaryk la passion pour la démocratie et l’amour indéfectible pour son pays. Jan Masaryk se lance dans la politique et devient ambassadeur en Grande Bretagne, parmi d’autres fonctions.
Mais l’arrivé d’Hitler au pouvoir en Allemagne, a changé le destin de ce petit et courageux pays. Prétextant l’existence d’une minorité germanophone (les Sudètes) il demande aux grandes puissances  européennes qui étaient à l’époque la Grande Bretagne et la France l’autonomie de cette région. La lâcheté et l’ignominie des dirigeants de ceux deux pays, le ridicule et lamentable Chamberlain, accompagné par le faible Daladier ont tout cédé à Hitler au tristement célèbre pacte de Munich de 1938. Une première trahison des idéaux démocratiques par la couardise des dirigeants européens. Conséquence, la Tchécoslovaquie fut entièrement occupée et dépecée par les nazis. Après la guerre, Jan Masaryk devient Ministre des Affaires Etrangères, mais en 1948 un coup d’état communiste détruit de nouveau la démocratie dans ce pauvre pays, de nouveau laissé à l’abandon par les « grandes démocraties occidentales » !  Les satrapes staliniens ne supportent pas qu’un personnage de taille internationale puisse s’exprimer et il fut « suicidé », retrouvé mort jeté sur la fenêtre de sont appartement de fonction. Pour des détails plus approfondis sur le sujet, voilà une source sérieuse :

https://www.radio.cz/fr/rubrique/histoire/70-ans-se-sont-ecoules-depuis-la-mort-non-elucidee-de-jan-masaryk

Une conclusion pour la situation internationale actuelle : des petits pays, ne doivent jamais confier leurs défenses exclusivement aux grandes puissances, elles doivent assurer par tous les moyens leur indépendance. Le sort tragique de la Tchécoslovaquie, tombé de Scyle en Charybde (du joug nazi en joug stalinien) est une leçon pour la situation actuelle : c’est donner raison aux pays de Vychegrad (République Tchèque, Pologne, Hongrie et Slovaquie) et à d'autres pays qui s’opposent aux diktats des bureaucrates bruxellois.
Deux avertissements à l’actuel locataire de l’Elysée, qui prétend incarner le camp « progressiste » contre les méchants populistes.
D’abord, Monsieur Macron, s’il y a l’émergence des forts mouvements populistes partout en Europe, c’est parce qu’ils expriment les souhaits légitimes des peuples, souhaits ignorés et même trahis par leurs élites actuelles.
Ensuite, Monsieur Macron, vous avez fait allusion aux années ’30. Chiche, allons ‘y ! Le couple actuel  Macron-Merkel me rappelle le tristement célèbre couple Daladier –Chamberlain qui a mené la politique de lâcheté devant le nazisme. Ce qui a permis au grand Winston Churchill la phrase prémonitoire : « Vous avez préféré de perdre l’honneur pour sauver la paix, vous avez perdu l’honneur et vous aurez la guerre » ! A l’époque ce fut la guerre contre le nazisme, aujourd’hui nous sommes face au nazi-islamisme. Prenez garde, l’histoire vous jugera.

jeudi 21 juin 2018

ELECTIONS TURQUES ET LA FRANCE


Le 24 mai 2018, des élections présidentielles et législatives sont organisées en Turquie, élections anticipées à plus d’un an et demie par rapport à la date normale. L’enjeu de cette élection c’est le renforcement d’un régime présidentiel « fort » (euphémisme) ce qui veut dire dictatorial, tout le pays à la botte de Taiyepp Erdogan, l’homme fort du pays.
L’explication de l’important décalage par rapport à la date initialement prévue est simple : le boom économique qui a été la raison du ralliement de la majorité des électeurs au parti islamique d’Erdogan (AKP) est fini. Le pays s’enfonce dans une récession continue, l’inflation est galopante, la monnaie turque de nouveau en fort recul et la popularité du reis Erdogan glisse sur la même pente.
Mais l’ambition du satrape Erdogan est sans limite, son but étant de recréer le califat ottoman, défait après la première guerre mondiale par le coup de butoir de la mouvance kémaliste. Et dont le dirigeant Mustapha Kemal dit Atatürk (qui était loin d’être un démocrate dans la définition occidentale) a eu le mérite de transformer « l’homme malade de l’Europe » en un pays moderne et surtout le seul pays musulman laïc dans le monde. Ce fut un choc dans le monde musulman qui perdait ses dernières repères, enfoncé dans une décadence continuelle.
Chose totalement inacceptable pour les islamistes de tout bord, en Turquie comme à l’étranger et les ressentiments contre Atatürk ont des réminiscences jusqu’à nos jours. Par exemple, le grand imam de Bordeaux, Tarek Obrou, membre de la Confrérie des Frères Musulmans, tenait un discours public démontrant à juste titre, que la Confrérie est apparue dans les annéex 1920, comme réaction à la disparition du califat. Occasion pour asséner une affirmation :Atatürk n’était pas musulman mais « un juif déguisé en musulman » Rien que ça ! Et moi le successeur de Dalaï Lama, tant que nous sommes.
En parethèse, nous voyons un Tarek Obrou en militant des Frères Musulmans, mouvement mondial qui a comme but final l'installation du Dar al Islam (terre de l'islam) partout dans le monde avec la charia comme modèle de société. Mouvement interdit dans les pays du Golfe, en Egypte et même en Arabie Saoudite, mais accepté en France. Et c'est le même Obrou qui pavoise partout, chouchou des médias et d'Alain Juppé qui l'a même décoré avec la Légion d'Honneur ! Triste, très triste et inquiétant...

Revenons aux rêves du sultan autoproclamé Erdogan qui ne se limitent à son pays. Il souhaite devenir le chef suprême de toute la zone des pays musulmans de Proche et Moyen Orient, jusqu’à l’Afrique de Nord. En plus, avoir sa revanche contre l’Europe qui a empêché l’empire Ottoman de la conquérir. Dans ce but, la présence de millions de citoyens turcs dont une majorité acquise à sa doctrine dans les pays européens lui servent de réservoir important. Il les incite de refuser l’intégration dans ces pays d’adoption : « Les cinq millions de Turcs qui vivent en Europe ne sont pas des invités, mais une part constituante de la société européenne » déclarit-il en 2008.
En France, le nombre de turcs est estimé à 800000 personnes, englobant les clandestins ce qui est corroboré par  le chiffre du potentiel des votant qui est de 600000.
Et le dévouement  à la cause d’Erdogan est sans limites pour une majorité d’entre eux. Sans limites, veut dire au-delà des limites imposés par les lois de notre pays et simplement par les règles sociétales. L’exemple le plus récent, les intolérables actes de violence et d’intimidation à l’égard des tous ceux qui affichaient la une du magazine Le Point intitulé « Le dictateur » C’est un signe inquiétant de l’application des méthodes digne d’un régime dictatorial chez nous, pays (encore) démocratique.

C’est un seul exemple, mais il est dans la même lignée que des milliers d’autres, perpétrés par certains immigrés qui, profitant de la faiblesse des pouvoirs publics, essayent d’imposer leur points de vue, leur croyances et leur attachement au pays d’origine en dépit et contrairement aux lois, aux coutumes et simplement aux règles de vie démocratiques .
Et c’est moi, un immigré,  qui a le courage de dénoncer ce phénomène qui met en danger le fondement et le fonctionnement de notre société.

dimanche 13 mai 2018

NOUS VIVONS UNE EPOQUE FORMIDABLE


Arcadia Felice, cette contrée mythique issue de l’imagination fertile des auteurs appartenant à la civilisation gréco-latine. Ce pays de l’harmonie, de paix et de félicité c’est exactement notre environnement actuel. Que du bonheur, comme le dit un célèbre slogan.
Mais peut-être  vous ne me croyez pas. Alors, regardez autour de vous et vous trouverez plein d’exemples pour s’en convaincre.
Voilà le grand festival de Cannes, le temple du rêve et accéssoirement  l’expression de tout le politiquement correct que la création cinématographique puisse supporter. Que nous a concocté ce dernier festival ? L’inéquité par manque de  parité hommes-femmes dans la production cinématographique. Il faut des quotas, crient les thuriféraires du féminisme ultra. Donc, pas de création par le talent, pas par une richesse culturelle, ça non, on ne veut plus ! Ce qu’on veut c’est l’égalitarisme intégral comme partout : en politique, dans les médias, dans la fonction publique, même dans les sociétés privés. Tant que le quota n’est pas atteint, aucun homme de valeur n’a le droit de s’exprimer. Déjà que plein de navets remplissaient les écrans, leur nombre sera multiplié par des super-navets, mais « l’égalité parfaite » gagnera. Je propose de continuer dans cette tendance de société idéale créant des quotas pour les autres composantes de la société moderne : des films produits par des handicapés (non, il y a déjà pas mal d’handicapés de la culture et du bon sens qui se produisent dans l’industrie cinématographique) d’autres par des pratiquants du régime vegan ou Hara Krishna, pourquoi pas…Comme diversité culturelle c’est l’idéal. Et nous n’aurons pas besoin de la charia pour vider les salles de ciné, de ce coté Paris sera l’égal de Djeddah, le pétrole en moins.
Un autre exemple, voir la liberté d’expression, parait-il défendue par notre constitution. Il suffit d’être marqué de gôche, et encore plus « antifasciste » et la liberté est présente : expression par parole et écrits (normal) celle de manifester (normal) mais aussi celle d’empêcher les gens de travailler, de se faire soigner, de chercher du travail, liberté de casser, d’attaquer les forces d’ordre et d’inciter au crime,  de bloquer les lieux de travail et d’étude, de détruire des biens publics et privés et j’en passe. Liberté totale, ne vous ai-je dis ?
Mais si par malheur, une personnalité, un journal ou un groupe est catalogué de « droite » ou pire « d’extrême droite » la situation et totalement différente. D’abord une remarque essentielle : ces appellations ci-dessus sont appliqués par des ayatollahs appartenant à la catégorie décrite dans le paragraphe précédant. La définition précise d’un mot ou d’une expression importe peu ! Si les docteurs de la pensée unique vous ont marqués d’un stigmate mortifère genre « néo réac », « extrême droite » ou pire « fasciste » vous êtes déjà condamné, même sans procès. D’ailleurs, condamné sans procès ou avec le procès d’un  juge  du « mur des cons » (officiellement Syndicat de la Magistrature) c’est kif-kif pareil. Au pilori, comme le titre d’une tristement célèbre feuille des années trente. Et avec les mêmes méthodes !
Voulez-vous des exemples concrets ?
-           - Les 1200 black blocs de la gauche radicale qui ont mis à sac des commerces et biens communs à l’occasion de la manif du 1-er mai 2018 (des vrais pacifistes, n’est-ce pas ?)  Ils sont disparus dans la nature, ni vus, ni connus. Les destructions ? C’est l’extrême droite dixit le leader maximo, Mélenchon. Si c’est lui qui le dit, impossible de ne pas le croire.
-          - Les quelques dizaines d’étudiants (avec les camarades de la NPA, Insoumis, militants SUD et CGT , au total une centaine d’excités) bloquent certaines universités, détruisent les locaux et le matériel destiné aux études et agressent joyeusement les forces de l’ordre ? Ils empêchent des dizaines de milliers d’étudiants qui veulent passer leurs examens ? C’est la liberté  d’expression car ils sont marqués du bon coté politiquement.
-          Et les ZAD-istes de NDDL qui sont toujours en occupation illégale de terres ne leur appartenant pas et ceci en dépit de l’abandon de la construction de l’aéroport ? De 400 permanents, ils sont arrivés à 700 de tous les pays proches ou moins proches. Pas question de les déloger, de leur faire payer les dégâts environnementaux (drôle d’écolos !),  de les éloigner du territoire pour les étrangers. Ils sont  alter mondialistes, écologistes politiques,  anarchistes,  « no borders » stipendiés par la riche fondation Open Society du milliardaire George Soros et autres. On ne touche pas !
-          Et je passe sur le Parti des Indigènes de la République et le Syndicat Sud qui organisent des séminaires ou congrès destinés exclusivement aux « racisés » donc interdits aux blancs. Je passe aussi sur les essais de plus en plus réussis d’introduire le délit  de blasphème, en interdisant la critique d’une religion (en occurrence l’islam) par la pénalisation d’un nouveau crime : l’islamophobie !
Toutes ces actes, toutes ces exactions contraires aux lois du pays sont permises, sinon encouragés.
Mais dès qu’un personnalité  vu de l’autre coté de l’échiquier politique ou soupçonné de critiquer une minorité favorisée par la pensée dominante , ce sont les condamnations judiciaires (Eric Zemmour,  Pierre Cassen, George Bensoussan) ou l’opprobre généralisé (Finkielkraut,  Onfray,  Boualem Sansal, Karim Daoud, Pascal Bruckner, Renaud Camus et plein d’autres).
Qui peut croire que nous ne vivons dans une société idéale ? C’est la nouvelle Arcadia Felice revue et corrigée. Où les héritiers d’Aristote, Socrate et Platon sont Booba, Nekfeu, et Suprème NTM.  


lundi 24 avril 2017

NOUS AVONS EVITE LE PIRE

Les Français on voté ! Ils ont voté comme des veaux (Général de Gaulle) mais le résultat et là, il faut l’accepter : vox populi, vox dei !
Une première constatation, on a évité le pire scénario qui hier était encore possible : l’élection du satrape stalinien, et de sa bande de  sinistres personnages qui l’entourent, sortis des diverses  mouvances trotskistes, des membres de l’actuel PCF en putréfaction (mais pas moins dangereux pour autant) et des affidés de même acabit.
Lisez cet article de « Libération », pour se faire une petite idée.
Et qui sont ses troupes :
-           ---des « activistes » tel que les « antifa » (mais fascistes de la pire espèce) connus pour des actions violentes, avec des armes de poing et autres outils meurtriers afin d’attaquer des policiers et des militants ou sympathisants de tout parti ou mouvement qui leur déplaît.
-          --- les « no borders » (crée et financé par le milliardaire américain Gearge Soros)  qui, comme le nom l’indique, militent pour l’abolition des frontières et la transformation du pays dans un énorme camp  de lumpenprolétariat.
-          --- les adeptes éphémères des « nuits debout » manipulés par le sinistre Frédéric Lordon et ses acolytes du « Monde Diplomatique » l’homme qui préfère, parmi d’autres,  la multiplication des attentats de Daesh à l’état d’urgence.
-          --- des anarchistes de tout bord, parme lequels les « zad –istes »
-          --- toute une nébuleuse « d’alter mondialistes » tarés
-         --les derniers avatars du Parti Communiste Français dont des maires qui font l’apologie des terroristes poussant l’outrecuidance jusqu’à faire « citoyens d’honneur » de la commune qu’ils dirigent.
-        
Et enfin des groupes de militants sortis des banlieues, formés et manipulés par des groupe comme le Parti des Indigènes de la République, les veritables racistess.
Il faut reconnaître que l’homme est un tribun de haute volée pour réussir un agrégat aussi disparaitre et entrainer des gens d’autres galaxies, des naïfs enthousiasmés par le déluge des promesses démagogiques ou d’autres attirés par le vote utile. Un tribun aussi fort, que même un torchon comme Minute le compare à  Jean Marie le Pen.  
Par ailleurs, quelques années auparavant, il se déclarait un grand admirateur du parti F N à l’époque de Jean Marie le Pen, comme il atteste cet article :
Voilà l’homme qui nous promet une « alliance  bolivarienne » avec Cuba et Venezuela, pays dont les dictateurs Castro et Chavez ont ruiné et fait subir aus populations les pires atrocités. Et il souhaite inclure aussi l’Iran des mollahs !
Quelle brochette...Quelle Belle perspective ! 
Pour citer un autre candidat, Melenchon nous promet Cuba sans soleil et Venezuela sans pétrole. Et j’ajoute : une république soviétique avec le même bonheur que pour les peuples qui ont connu les soviets.