mercredi 4 avril 2018

CGT DESTRUCTEUR DES EMPLOIS


Je commencerais par une définition de l’inoubliable Coluche : « La CGT c’est le Cancer General du Travail ; encore que Krasucki dit que c’est faux, parce que le cancer évolue et pas la CGT » C’est le génie de Coluche de résumer dans une seule phrase toute l’essence de cet organisme qui est devenu au fil des ans une secte lilliputienne mais avec un grand pouvoir de nuisance.
Le comble de la turpitude, ils  osent  toujours de prétendre à l’appellation syndicat. Or un syndicat est par définition une organisation ayant comme but la défense des intérêts des salariés (donc de l’entreprise) de leur emplois et de leurs conditions de travail. Ce qui est tout le contraire des actions de la dite secte. Les salariés français l’ont compris depuis longtemps, la preuve la désertion massive de leurs adhérents ; de 5 millions en 1946 à, seulement 427.431 cotisants au 7 décembre 2017 (d’après le Canard Enchaîné de 27 décembre 2017) Plus inquiétant encore pour le gourou de la secte, la caricature de  Staline de nom Philippe Martinez, les rangs cégétistes ont fondu d’un tiers uniquement en une seule année, 2017 !


La CGT se préoccupe principalement de défendre les intérêts de leurs caste : militants, délégués et autre apparatchiks, grassement payés (certains « rétributions » dépassent les 5000 €/mois, chiffres 2005) et ceci sans aucun travail productif.


Accessoirement, la CGT a une activité bien spéciale ; le détournement illicite des fonds publics  à leur profit et à celui du PCF, tel que les procès de la CCAS d’EdF  et d’Air France (contrôlés à l’époque par la CGT) l’ont prouvé.


Les actions maléfiques de la secte ne se résument malheureusement à ces actes. J’accuse la CGT d’être un acteur majeur dans la destruction d’emplois en France. D’une manière directe par des actions irresponsables, souvent violentes,  en refusant toute évolution des entreprises, ils ont réussi à faire disparaitre des fleurons de l’industrie française : Continental de Clairoix, Goodyear d’Amiens Nord,  l’usine PSA d’Aulnay, la SNCM, fleuron du transport naval, les usines Moulinex en Basse Normandie et n’oublions pas la quasi disparition de la sidérurgie lorraine et du Nord et la descente aux enfers du port de Marseille. Liste de loin non exhaustive;
Mais le pire est constitué par le blocage de tout un pays par des enragés prêts à tout pour défendre leurs privilèges. Il s’agit des grèves paralysantes dans le secteur des transports, particulièrement à la SNCF où la CGT conserve encore un leadership. Le nombre des grèves de la SNCF est purement délirant : L’hebdomadaire l’OBS (peut enclin à critiquer un organisme « de gauche ») titrait le 26 avril 2016 « la 42e grève de l'année à la SNCF depuis le début de l’année » En seulement 4 mois !!!
Le Figaro du 3 avril 2018 comptabilise 2,4 millions de journées perdues à la SNCF en dix ans ! Démentiel.

!http://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/dessous-chiffres/2018/04/03/29006-20180403ARTFIG00001-les-greves-ont-fait-perdre-24-millions-de-journees-a-la-sncf-en-dix-ans.php

Avec les 3 mois de grèves reconductibles annoncés récemment, laction de la CGT et dautres syndicats amènent à des situations gravissimes 

-       Des pertes de production pour les entreprises et la  la fragilisation de nombreuses PME et TPE avec un impact négatif pour l’économie nationale et l’emploi

-       Des drames et tragédies humaines comme l’empêchement des chômeurs pour la recherche d’un job, pertes de salaires pour les absences au travail, l’empêchement des gens d’aller se soigner, l’empêchement des écoliers et étudiants de suivre leurs cours.

-       Le non approvisionnement des hôpitaux et cliniques en matériel ce qui peut produire des situations graves.


-       L’empêchement des pompiers et salariés des services d’urgences d’être présents sur les lieux d‘astreinte, avec les conséquences prévisibles.   

Pour ces raisons, j’accuse la CGT d’être une organisation  criminelle  avec des comportements de type mafieux :


N’entendons pas la mort prévisible de cette secte, demandons sa dissolution immédiate.