mardi 29 mai 2018

MAREE POPULAIRE. QUELLE BLAGUE !


C’est l’appellation qui se sont attribuées les organisateurs des manifestations du 26 mai 2018 dans plusieurs villes de France contre la politique de Macron. Manifestations organisées par environs 65 partis de gauche et d’extrême gauche, syndicats (plutôt des groupuscules qui usurpent le noble mot « syndicat ») et toute une pléiade de coteries minuscules d’enragés. (enragés dans le sens des individus qui ont été contaminés par le virus de la rage et qui ne se soignent pas.)
Prenons le cas de Paris ; d’après un organisme indépendant  « Occurrence » (missionné par un collectif de médias allant de Figaro jusqu’à Médiapart) le chiffre est de 31700 manifestants. Loin de 21000 recensé par la préfecture mais encore plus éloigné des 80000 personnes sorties de l’imagination de  notre Staline de pacotille, de nom Martinez. Le pauvre gus qui participe activement à la fin de vie peu glorieuse de sa CGT (surnommée par Coluche : Le Cancer Généralisé du Travail) essaie de se croire encore vivant. Non, Martinez, tu es déjà défunt, en même temps que ta secte qui est en train de mourir à grande vitesse ! Amen, ne la pleurons pas, elle à contribué suffisamment à la perte de millions d’emplois et à la décrédibilisation de notre pays après des acteurs économique du monde entier !
Revenons aux chiffres : 31700 personnes faites le compte : 0.45 %  d’une une population d’environs 7 millions de parisiens, quel ridicule  « marée », à faire rire même les enfants. Quand on voit la fine fleur des groupuscules organisateurs qui s’époumonent depuis des semaines et des semaines pour attraper des nigauds, le résultat est pitoyable. Mais quand on voit que parmi ces manifestants certains sont de voyous qui se sont livrés, comme d’habitude, à des actes de vandalisme et des violences inqualifiables, ceci me donne la nausée. Marée populaire qui écrit : « nik la France » c’est ceci la convergence des luttes ?





Melenchon, Martinez, Hamon, et consorts, regardez avec qui vous vous encanaillez, c’est sur cette base que vous serez jugés ! Le dégagisme doit commencer par ces piètres clowns, il y a encore de la place dans les poubelles…

lundi 21 mai 2018

UNE VISION DE L’IMMIGRATION


Notre pays a été de tous temps un pays d’immigration ; qui ne se rappelle des flux d’immigrés, des arméniens après le génocide de 1915, des italiens et polonais arrivés pour travailler dans les mines et la sidérurgie après l’hécatombe de la première guerre mondiale pour continuer avec le espagnols réfugiés dans les années trente et enfin les portugais et les maghrébins dans les trentes glorieuses. Tous ces immigrés se sont bien, pour certains même très bien intégrés dans notre société.
Comment expliquer l’échec de l’immigration ultérieure dont nous sommes tous témoins de nos jours, bien que certains cercles immigrationistes continuent de le nier tout en proposant (pour des raisons diverses mais tout aussi inavouables) plus d’immigration ?
A mon avis, l’immigration, dans n’importe quel pays, doit être maîtrisée ; et pour être maîtrisée, elle doit être acceptée sur la base des critères clairs, logiques et adaptés aux exigences du pays à un moment donné. Mais, plus important encore, il faut assurer la possibilité d’une intégration réussie pour la population arrivant sur son sol. Je considère, à titre personnel, qu’il faut assurer au minimum 4 critères pour arriver à l’intégration des nouveaux arrivants, critères nécessaires, indispensables même bien qu’insuffisants.
Le premier c’est la possibilité de trouver un emploi correct et adapté aux possibilités et capacités des personnes concernées ; il s’agit d’un critère essentiel, pas uniquement pour la subsistance matérielle de la personne et de sa famille mais aussi pour lui permettre d’avoir un contact permanent avec des collègues autochtones, de s’adapter aux conditions de vie, de posséder un minimum de connaissance de la langue, la connaissance de l’environnement social, culturel et économique, de s’adapter aux mœurs et coutumes du pays d’accueil. Bien sur, tout ceci sans renier les particularismes propres, mais qui doivent être subordonnés aux règles de vie et aux lois du pays d’accueil.
En plus, en gagnant leur vie par le travail, ceci permettra aux personnes concernées de conserver une dignité et une autorité morale auprès de leurs enfants.
Or, depuis trente années, nous savons tous (et en premier lieu les politiques) que notre pays n’a plus la possibilité d ‘assurer un travail pour des personnes n’ayant aucune qualification particulière et adaptée aux besoins de l’économie nationale. (Souvenons-nous, c’était dans les années 1976 ou 1977 un ministre de Giscard d’Estaing proposait une prime de 5000 francs aux immigrés qui acceptaient de regagner leur pays d’origine. Sans succès !)
Et malgré cela, la France a continué de recevoir des centaines de milliers de personnes chaque année, assurés de ne jamais travailler et donc de vivre exclusivement de minima sociaux.
Un deuxième critère, aussi important, c’est de permettre une réussite scolaire aux enfants, critère primordial pour leur développement harmonieux et la préparation de leur avenir. Mais comment éviter l’échec scolaire constaté souvent, quand des enfants vivent dans des familles où personne ne maîtrise la langue et encore moins les connaissances de base pour les aider dans leurs devoirs scolaires, sans compter le besoin d’une éducation adaptée dont les lacunes sont chaque jour mises en évidence ? Et finalement ce sont des enseignants qui doivent compenser tant bien que mal la charge d’éducation et d’accompagnement, charge incombant aux parents. Quand ils peuvent et/ou quand ils veulent s’en charger de cette tâche…
Le troisième critère c’est la possibilité de posséder un logement décent, permettant de vivre dans un équilibre familial. Or le manque de logements et la tendance de se regrouper entre des gens de même origine ont crée des conditions de vie indignes d’un pays comme le nôtre dans des conditions totalement impropres à l’intégration. L’absence de ces trois critères (qui ne sont même pas exhaustives) conduit à la création des zones nommées pudiquement « sensibles » (doux euphémisme) où les générations suivantes sont souvent condamnées soit à sombrer dans la délinquance, soit d’être les victimes (et en même temps acteurs) d’un extrémisme religieux, dans les deux cas doublés d’une haine envers notre pays et du refus d’accepter les lois et les valeurs de la République.
Enfin, il y a un quatrième critère : c’est la volonté des immigrés et de leurs descendants d’accepter et s’adapter  aux lois, aux valeurs, aux mœurs et au mode de vie du pays d’accueil. Critère que de nos jours est de moins en moins accepté, sous la pression des prêches antirépublicains de certains soi-disant imams auto proclamés, souvent arrivés de pays d’un rigorisme religieux incompatible avec notre mode de vie.
Une politique volontairement laxiste a conduit à une impasse totale dont tous les essais « d’accommodement » ont échoué et dont l’issue me semble plus qu’incertaine, pour ne pas dire inquiétante. Triste constat pour nous tous et en particulier pour moi, immigré qui a choisi la France par l’idéal que constitue cette valeur qui m’est très chère et que je considère comme un acquis inestimable : la laïcité.
Sorel ZISSU

dimanche 13 mai 2018

NOUS VIVONS UNE EPOQUE FORMIDABLE


Arcadia Felice, cette contrée mythique issue de l’imagination fertile des auteurs appartenant à la civilisation gréco-latine. Ce pays de l’harmonie, de paix et de félicité c’est exactement notre environnement actuel. Que du bonheur, comme le dit un célèbre slogan.
Mais peut-être  vous ne me croyez pas. Alors, regardez autour de vous et vous trouverez plein d’exemples pour s’en convaincre.
Voilà le grand festival de Cannes, le temple du rêve et accéssoirement  l’expression de tout le politiquement correct que la création cinématographique puisse supporter. Que nous a concocté ce dernier festival ? L’inéquité par manque de  parité hommes-femmes dans la production cinématographique. Il faut des quotas, crient les thuriféraires du féminisme ultra. Donc, pas de création par le talent, pas par une richesse culturelle, ça non, on ne veut plus ! Ce qu’on veut c’est l’égalitarisme intégral comme partout : en politique, dans les médias, dans la fonction publique, même dans les sociétés privés. Tant que le quota n’est pas atteint, aucun homme de valeur n’a le droit de s’exprimer. Déjà que plein de navets remplissaient les écrans, leur nombre sera multiplié par des super-navets, mais « l’égalité parfaite » gagnera. Je propose de continuer dans cette tendance de société idéale créant des quotas pour les autres composantes de la société moderne : des films produits par des handicapés (non, il y a déjà pas mal d’handicapés de la culture et du bon sens qui se produisent dans l’industrie cinématographique) d’autres par des pratiquants du régime vegan ou Hara Krishna, pourquoi pas…Comme diversité culturelle c’est l’idéal. Et nous n’aurons pas besoin de la charia pour vider les salles de ciné, de ce coté Paris sera l’égal de Djeddah, le pétrole en moins.
Un autre exemple, voir la liberté d’expression, parait-il défendue par notre constitution. Il suffit d’être marqué de gôche, et encore plus « antifasciste » et la liberté est présente : expression par parole et écrits (normal) celle de manifester (normal) mais aussi celle d’empêcher les gens de travailler, de se faire soigner, de chercher du travail, liberté de casser, d’attaquer les forces d’ordre et d’inciter au crime,  de bloquer les lieux de travail et d’étude, de détruire des biens publics et privés et j’en passe. Liberté totale, ne vous ai-je dis ?
Mais si par malheur, une personnalité, un journal ou un groupe est catalogué de « droite » ou pire « d’extrême droite » la situation et totalement différente. D’abord une remarque essentielle : ces appellations ci-dessus sont appliqués par des ayatollahs appartenant à la catégorie décrite dans le paragraphe précédant. La définition précise d’un mot ou d’une expression importe peu ! Si les docteurs de la pensée unique vous ont marqués d’un stigmate mortifère genre « néo réac », « extrême droite » ou pire « fasciste » vous êtes déjà condamné, même sans procès. D’ailleurs, condamné sans procès ou avec le procès d’un  juge  du « mur des cons » (officiellement Syndicat de la Magistrature) c’est kif-kif pareil. Au pilori, comme le titre d’une tristement célèbre feuille des années trente. Et avec les mêmes méthodes !
Voulez-vous des exemples concrets ?
-           - Les 1200 black blocs de la gauche radicale qui ont mis à sac des commerces et biens communs à l’occasion de la manif du 1-er mai 2018 (des vrais pacifistes, n’est-ce pas ?)  Ils sont disparus dans la nature, ni vus, ni connus. Les destructions ? C’est l’extrême droite dixit le leader maximo, Mélenchon. Si c’est lui qui le dit, impossible de ne pas le croire.
-          - Les quelques dizaines d’étudiants (avec les camarades de la NPA, Insoumis, militants SUD et CGT , au total une centaine d’excités) bloquent certaines universités, détruisent les locaux et le matériel destiné aux études et agressent joyeusement les forces de l’ordre ? Ils empêchent des dizaines de milliers d’étudiants qui veulent passer leurs examens ? C’est la liberté  d’expression car ils sont marqués du bon coté politiquement.
-          Et les ZAD-istes de NDDL qui sont toujours en occupation illégale de terres ne leur appartenant pas et ceci en dépit de l’abandon de la construction de l’aéroport ? De 400 permanents, ils sont arrivés à 700 de tous les pays proches ou moins proches. Pas question de les déloger, de leur faire payer les dégâts environnementaux (drôle d’écolos !),  de les éloigner du territoire pour les étrangers. Ils sont  alter mondialistes, écologistes politiques,  anarchistes,  « no borders » stipendiés par la riche fondation Open Society du milliardaire George Soros et autres. On ne touche pas !
-          Et je passe sur le Parti des Indigènes de la République et le Syndicat Sud qui organisent des séminaires ou congrès destinés exclusivement aux « racisés » donc interdits aux blancs. Je passe aussi sur les essais de plus en plus réussis d’introduire le délit  de blasphème, en interdisant la critique d’une religion (en occurrence l’islam) par la pénalisation d’un nouveau crime : l’islamophobie !
Toutes ces actes, toutes ces exactions contraires aux lois du pays sont permises, sinon encouragés.
Mais dès qu’un personnalité  vu de l’autre coté de l’échiquier politique ou soupçonné de critiquer une minorité favorisée par la pensée dominante , ce sont les condamnations judiciaires (Eric Zemmour,  Pierre Cassen, George Bensoussan) ou l’opprobre généralisé (Finkielkraut,  Onfray,  Boualem Sansal, Karim Daoud, Pascal Bruckner, Renaud Camus et plein d’autres).
Qui peut croire que nous ne vivons dans une société idéale ? C’est la nouvelle Arcadia Felice revue et corrigée. Où les héritiers d’Aristote, Socrate et Platon sont Booba, Nekfeu, et Suprème NTM.