mardi 30 mai 2017

L’ETAT ISLAMIQUE A GAGNE LA GUERRE !

Titre provocateur, racoleur, mais il n’est ni l’un ni l’autre, c’est une réalité qui ne parait pas évidente à toute le monde. Mais c’est une réalité incontestable !
Les nouvelles provenant d’Irak et de Syrie sont encourageantes, le « califat » est en train de perdre les derniers territoires autour de Mossoul et de Rakka. Mais c’est une victoire mineure, localisée,  face au déluge qui constitue la guerre déclarée, une guerre en marche forcée d’un islam radical sous toutes ses formes : idéologique, politique, militaire, psychologique et terroriste. Et, utilisant le terme E. I., j’ai voulu définir ce totalitarisme islamique qui a gagné la guerre. Victorieux, face à des démocraties impuissantes, démoralisées, dont les responsables, sans aucune vision de l’avenir, se préoccupent de gérer plus ou moins bien le quotidien, tandis que les populations majoritairement anesthésiées s’adonnent au consumérisme débridé, à la fuite dans les loisirs et le rêve d’opulence matérielle.
Partout dans le monde, le spectre du totalitarisme islamique menace. Des territoires entiers en Asie et en Afrique tombent sous la coupe des guerriers et prêcheurs (armés ou non) de ce nouveau fléau du XXIe siècle. 
Dans notre Europe, l’offensive de cet islam guerrier se développe d’une manière exponentielle. En moins de 20 ans des zones de non droit, où la pratique de la charia s’impose, ces « Territoires perdues de la République » s’installent et  se propagent.
L’islamisme gagnant opère sous diverses formes :

-        1 Politique et idéologique , sous la coupe de la Confrérie des Frères Musulmans qui propagent l’idéologie de la conquête mondiale des pays sous la loi islamique (Dar al Islam) contre les pays « mécréants » qui doivent être vaincu par la guerre (Dar al Harb  ou Dar al Kufr) ou se soumettre comme vassaux payant une dîme et fournissant des mercenaires aux barbus (Dar al Ahd).
-         
Cette Confrérie comme ses filiales, est déclarées organisation terroriste et interdites dans plusieurs pays musulmans (Egypte, les pays du golfe et autres) et non-musulmans. Contrairement à la France, où la branche « locale », l’ancien UOIF, rebaptisé en 2017 en « Musulmans de France » est très active. Elle contrôle la majorité des mosquées de France et applique la stratégie de maillage par l’intermédiaire d’associations  culturelles, écoles, organisations caritatives et médicales.


A ce mouvement politique de conquête universelle, il faut rajouter le salafisme, mouvement religieux prônant le retour aux pratiques sociales, comportementales, réglementaires et morales du temps du prophète Mohamed. Pratique appelée la charia, basée sur les sources saintes, le coran et les hadiths (recueil des paroles et des actes du prophète). Ces pratiques doivent être la loi obligatoire et exclusive pour tout musulman sunnite, où qu’il se trouve. La charia est censée avoir la suprématie par rapport aux lois et mœurs du pays respectif.


Le salafisme peut se présenter sous diverse formes et pratiques : quelques fois d’un aspect purement piétiste, mais souvent débordant par des discours de rejet de la société non islamisante et aux incitations à la guerre religieuse, le djihad. Le nombre de mosquées salafistes considérées dangereuses pour la République est de 169 mais le nombre de celles qui sont fermées est de seulement 20.
Dans les pays anglo-saxons où la séparation des cultes et de l’Etat n’est pas défini , la multiplication du salafisme fut fulgurant, amenant à des excès  de manifestations virulentes contre le modèle démocratique occidental. Sachant que la charia est par définition en opposition frontale avec la démocratie et la liberté de conscience.

-        2 Militaire et terroriste

C’est une mise en pratique, une excroissance de la précédente. Depuis le début de ce siècle, le nombre d’attaques militaires et terroristes dans le monde ont pris une ampleur considérable. Si dans la période  1980-1999 (20 ans)  on a compté 15 attaques, dans la période 2000-2017 le nombre est passé à 277 actes en uniquement 17 ans. ; la liste est effarante :


Ces attaques barbares, si nombreuses, sont devenues d’une telle banalité que le grand public se manifeste uniquement dans la sphère géographique proche. Qui s’est  ému de l’attaque du le 26 mai 2017 des chrétiens coptes dans un autobus égyptien,  de celui du 23 mai 2017 faisant 5 morts à Bosaso/Mali, ou le  23 mai 2017, de l’attentat à la voiture piégée à Homs en Syrie, enfin celui du 3 mai 2017, contre un convoi de l'OTAN à Kaboul ? (uniquement des exemples du mois actuel!)
Et quand les actes barbares, inconcevables humainement parlant (la tuerie récente de Manchester dont les victimes furent des enfants et adolescents)  quelle furent les réactions ? Comme d’habitude, des condamnations « solennelles » et unanimes des responsables politiques et religieux, des fleurs et bougies, des marches de soutiens. Enfin, une déclaration commune dans la réunion du G7 à Taormina qui aura la même efficacité qu’un cataplasme sur une jambe de bois.

Une analyse sommaire

Que nous sommes en pleine troisième guerre mondiale c’est une évidence qui s’impose à tous. Pour montrer la raison de mon pessimisme sur l’aboutissement de cette guerre, regardons l’évolution de la situation des populations dans les pays arabo-musulmans du proche orient.
Pour les chrétiens, leur extinction est en cours :


 Suivant les estimations concernant le début du XXe siècle, les chrétiens représentaient alors entre 12 et 15% de la population dans les pays arabes du Proche-Orient. Au début du XXIe siècle, ils ne représenteraient plus que 4 à 5% de la population d'environ 300 millions d’Arabes.  (Chiffres en 2010, mais avec la guerre contre E.I. en Syrie et Irak, la situation est bien pire)
Concernant les juifs, l’évolution est notable : dans la même région, leur nombre qui était d’environs 1,5 millions en 1945, est réduite à moins de 10000 de nos jours.
Par contre, l’évolution du nombre de musulmans en Europe est concluante : on apprécie leur nombre dans l’Union Européenne actuelle à environs 15 millions de personnes, tandis qu’à la fin de la dernière guerre on comptait 1,8 millions de personnes sur le même territoire. La même évolution pour le nombre de convertis : en France, il y a 3500 conversions par an à l’islam.  
Un autre chiffre significatif : en France, on comptait 20000 personnes fichées « S »en 2015, (http://premium.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/24/97001-20151124FILWWW00383-valls-20000-fiches-s.php) par rapport à 5000 en 2012 et uniquement 1450 en 2008 ! Sans commentaires.

Conclusion

La disproportion entre les forces  qui nous combattent et les molles et insuffisantes réactions de nos propres forces de défenses est criarde.
Le comportement de toutes nos élites et de la majorité des citoyens est comparable aux mêmes dans  l’empire romain du fin du 4e siècle après JC. L’empire s’est remis dans les mains de barbares qui ont fini par la mise à sac de Rome et provoqué sa chute finale pratiquement sans opposition.
CQFD   





lundi 8 mai 2017

L’APRES 7 MAI 2017 : QUELLE POLITIQUE ?

Dire que les élections présidentielles de 2017, d’une totale imprévisibilité, ont conduit à un énorme tsunami politique c’est une lapalissade.
Hier, 7 mai, le visage (attendu) du nouveau Président de la République Française apparaissait sur tous les écrans de France et même du monde.
J’essaye modestement d’examiner les premières leçons à tirer.
Je commence avec la perdante ; bien que la defaite soit prévisible, son amplitude  dépasse largement les chiffres espéré par Marine le Pen ; dans un interview donné par Marion Maréchal le Pen 2-3 jours avant le scrutin, la nièce-sœur ennemie- tablait sur un chiffre de 40 % comme un minimum acceptable.  Le redoutable animal politique qui est Marine le Pen, à toujours un coup d’avance : à l’arrivée des chiffres elle annonce immédiatement une rénovation, une reconstruction du F. N. Sur quelle bases, « that is the question ». Je pense que le changement de nom parait inévitable. Aura-t-elle le courage de sacrifier son bras droit – Florian Philippot – dont la ligne sociopolitique et économique est considérée comme le principal obstacle, le célèbre plafond de verre qui empêche la victoire massive du parti ? On ne peut pas savoir à ce jour, mais on l’apprendra sous peu. En tout cas, les forces opposées à Philippot demanderont  au moins une forte diminution du poids politique de ce dernier. Une deuxième tendance que Mme le Pen proposera (d’après moi) c’est de pousser vers des alliances avec tous les mouvements ou tendances appelés « la droite hors des murs » L’alliance avec Dupond Aignant étant une première prise de poids, elle espère gagner une partie des ténors du LR, dans l’hypothèse de l’éclatement de ce dernier.
Justement, c’est dans ce parti que se joue le plus important et actuellement imprévisible scénario. L. R. est une vrai auberge espagnole, avec des tendances centrifuges partant d’une droite ferme jusqu’au centre-droit mou. Tiendrons-t-ils ensemble après ce coup dur qui fut l’élimination de M. Fillon au 2-e tour ? Des craquements se font déjà sentir, Bruno le Maire fait cavalier seul, proposant « ses services » au nouveau Président (un poste de Premier Ministre ??) M. Raffarin, centristo-compatible, a l’air sous un discours alambiqué d’offrir aussi sa participation au gouvernement Macron. La prestation de M. Baroin, chef de file du parti pour les législatives a été décevante, je m’attendais à plus de pugnacité, de clarté et de détermination dans l’affirmation des valeurs de la droite. Seule affirmation claire fut la  perte automatique de toute investiture pour un cadre ou élu L. R. qui manifesterait le désir de joindre un autre mouvement politique (en occurrence Macron ou F N). Le ferons-t-ils pour le Maire ?
Rien de spécial pour l’ex P S, ce parti n‘existe plus, c’est une évidence. Il subsistera peut-être comme un groupuscule insignifiant, on peut se demander.
Les « insoumis » du castristo-stalinien Melenchon, répéterons le scénario de 2012 ; grand score au présidentielle du au bagout  de son « leader maximo » et résultats sous-médiocres aux législatives ; ceci se confirme déjà par le clash prévisible entre les melechonistes et les communistes.
Et maintenant, le grand vainqueur incontestable, Emmanuel Macron. Son score inhabituellement élevé ne doit pas faire illusion ; comme en 2002, une partie importante des électeurs de gauche, de droite et même d’extrême gauche ont voté non pas par adhésion, mais par volonté d’élimination de Mme le Pen. Mais le plus dur, c’est devant lui . Pacifier la France, son objectif déclaratif ! Quoi de plus faux, a peine élu, des groupuscules défilent dans les rues en le conspuant, des personnalités politiques d’opposition lui déclarent déjà la guerre. Et la majorité législative, la condition indispensable pour conduire sa politique (au moins, connait-il lui-même cette politique ?) est pratiquement impossible. Alors, il sera obligé de s’orienter vers des coalitions plus ou moins bancales, une odeur de la 4-e République. A ce train là, la marche vers une victoire indiscutable en 2022 d’un nouveau F N avec ou sans MLP est assurée.
Sur les débats d’hier soir ; en attendant le début d’un film pour me distraire, j’ai regardé sur France 2 les débuts. Quelle bande de branquignoles alignés sur le plateau !
Un Dupont Aignant, mauvais perdant (c’est vrai qu’il est complètement out, avec un mini parti éclaté, sans poste et sans aucun espoir d’avenir politique majeur) il était d’une agressivité répugnante.
Pour les soutiens de M. Macron : des vieilles peux politiques, usées jusqu'à la corde par des dizaines  d’années dans le paysage politiques avec des résultats minables. Je passe sur Galouzeau de Villepin, connu uniquement par des mauvais conseils (dont le surnom de Neron « offert » gracieusement par Mme Chirac) et un grand discours. C’est tout, pour le reste, il a tout foiré d’où la sage et inévitable décision de mettre les voiles.
Mais le duo Bayrou-Ségolène Royal, tous les deux englués dans le choix du plus minable Président de  la V-e République – François Hollande- celui qui a ridiculisé la fonction présidentielle et la France devant le monde entier. Ces deux-là, sont capables seulement de tourner leur veste et de courir derrière la victoire seulement pour avoir un bon job sous la dent. Il y a un Français, UN SEUL FRANÇAIS capable des les croire, de croire à leur sincérité ? En les écoutants j’ai eu envie de vomir et j’ai quitté précipitamment l’émission.
Avec des énergumènes pareils, Macron a des soucis à se faire. Ce ne sont pas des boulets, ce sont des tonnes de boulets qu’il sera obligé de trainer. Un travail supérieur à celui de Sisyphe…
Alors, bonne chance Emmanuel ! Il vous reste de croire en votre prénom (le messager) et souhaiter  l’arrivée d’un nouveau Messie  pour vous aider. Sinon, bonjour les dégâts.


P. S. Aussi détestable, même exécrable qu’il soit, au moins Bayrou est intelligent ; quant à la bécasse de Poitou…sans commentaire.

  

samedi 6 mai 2017

TRISTESSE ET DESENCHANTEMENT

Aujourd’hui, je traîne péniblement mes guêtres pour aller voter au deuxième tour des élections présidentielles. Pour voter, ce n’est pas le mot, plutôt pour ne pas voter, car pour la première fois, je jetterai une enveloppe blanche dans l’urne pour exprimer le dégoût qui m’inspire le spectacle  dégradant, humiliant, le spectacle de foire que nous avons subi tout au long de cette campagne électorale.
Une quantité de commentateurs et de citoyens dénoncent la piètre qualité des politiciens, ceux qui sont au pouvoir, comme ceux d’opposition ; et ceci à juste titre. Mais personne ne se demande pourquoi avons-nous ce type de personnes qui nous gouvernent, qui ont gouverné, ou qui aspirent nous gouverner.
Car une évidence me saute aux yeux. Mais bon sang, nous avons les politiciens que nous méritons ! Et nous les méritons pleinement.
Car que s’est-il passé pendant cette pénible campagne ?
D’abord la majorité des journalistes et commentateurs nous ont abrégés avec des histoires, souvent tirées du caniveau, sur des sujets calomnieux ou dégradants à l’égard des candidats. Que ces histoires soient vraies, partiellement vraies ou totalement fausses, ce n’est pas la question. De les passer sous silence, ce n’est non plus ce que je veux dire. Mais s’obstiner  maladivement,  vicieusement, sans pudeur et sans arrêt à ressasser ces anecdotes  c’est une manière de procéder digne des pires tabloïds de gare.
Avec quel résultat ? D’occulter au maximum les programmes des candidats, sommes toute ces programmes qui définissent la ligne politique, socio-économique et sociétale que ces candidats promettent pour la marche du pays pendant les 5 ans à venir.
Quelle influence pour les électeurs de base, soit la majorité d’entre nous ? On s’est contenté de nager avec volupté dans ces eaux pestilentielles, à goûter tous les détails peu ragoûtants sur la famille, sur les habits, sur l’orientation sexuelle, sur leur pratique religieuse, sur les accointances passés ou à venir, même sur les restaurants préférés et j’en passe. Quant au contenu des programmes, chacun s’est contenté de cueillir quelques bribes, surtout les bribes qu’ils voulaient entendre et que certains candidats, comprenant  le jeu ou participant à ce jeu, leur jetaient voluptueusement dans la besace.
Le résultat fut logique. La grande majorité de nos concitoyens se sont rués sur les promesses les plus intenables quelques fois mêmes avec des conséquences dangereuses, ce qu’on nomme des promesses populistes. Mais populisme dans le mauvais sens du mot. (Car il y a un sens plus noble, celui de la défense des véritables intérêts du peuple) En quelques mots : français, je vous promets de travailler moins et moins longtemps, de gagner plus d’argent, de payer moins d’impôts, d’avoir plus de loisirs et de vivre dans une France- Arcadia Felice- complètement isolée du reste du monde !
Et presque moitié du corps électoral a mordu à ce hameçon, comme les poissons destinés à se faire déguster en friture.
D’autres électeurs, souvent désabusés à juste titre par des promesses non tenues, se sont jetés corps et âme vers un nouveau venu, avec une physique de jeune premier et des airs d’envoyé messianique qui envoyait des paroles de Merlin Enchanteur à un public aux anges.

Voilà qui sommes nous, que sommes nous devenus, électeurs français. Et nous aurons en retour ce que nous méritons. 

mercredi 3 mai 2017

OBSCENITE ET INSULTE POUR LA FRANCE

Le  spectacle  déshonorant, minable et humiliant pour la France  que les finalistes, candidats pour la présidence de la République, ont présenté hier 3 avril 2017 dans la soirée fut lamentable, et j’utilise un euphémisme. J’ai honte à titre personnel pour ce numéro de cirque de très mauvaise qualité que les deux prétendants ont montré à la terre entière.
Mme le Pen, avait un comportement genre tenancière de maison close qui s’eng… avec les macros de ses pensionnaires, un comportement identique à celui de l’hystérique obsédée de sex et scatologie, « l’écrivain » Christine Angot (en présence de M. Fillon)
Mme le Pen, éructant en permanence comme une Walkirie sous extasie, ne faisait que taper sur un pauvre Macron, en infériorité évidente qui essayait timidement de présenter son programme. Elle ne présentait rien, ne répondait pas aux questions précises des journalistes que par des phrases creuses et en sortant des chiffres de sa manche comme un prestidigitateur. EN VEUX-TU ? EN VOILA. Normal, quand on a un programme économique creux, démagogique et donc inapplicable. Par contre une logorrhée ininterrompu, avec des hurlements sinistres, des imprécations dignes d’un procureur militaire, d’une  cacophonie totale qui m’ont dégoûté à tel point que je n’ai pas pu suivre ce « débat » jusqu’à la fin. Devant elle, un Macron tétanisé, ayant du mal à se défendre sous le tonneau d’accusations, d’imprécations et d’insultes.

J’ai changé la chaîne, totalement estomaqué, en pensant que ce spectacle ordurier, du niveau d’un navet cinématographique de pire espèce, offrait aux spectateurs étrangers. Voilà l’image de la France qu’ont donné ces deux là ! Écœurant, et le mot est trop faible.

mardi 2 mai 2017

FAIRE BARRAGE AU FRONT NATIONAL

C’est un slogan que j’entends depuis 30 ans et qui commence à me fatiguer à mort.
Je passe sur les énergumènes de type « antifa », black block » et autres excités, casseurs  d’extrême gauche, ce que j’appelle les gaucho-fascistes.
Je passe aussi sur des gens qui ont encouragés volontairement l’irruption et le développement du Front National. Je donne un seul exemple, un ancien Président de la V-e République, homme d’extrême droite, issu de l’extrême droite, pétainiste zélé et décoré avec la francisque par son idole de maréchal, celui qui allait chaque année pleurer sur la tombe de Pétain –ennemi de son ennemi- le Général de Gaulle. 

Tellement d’extrême droite, que même après la guerre, bien que ripoliné en « socialiste » il a continué de faire ami comme cochon avec les Bousquet, Touvier et autres collabos. Lui, oui, il avait tout intérêt de pousser le Front National et il l’a fait avec joie et succès.
Mais je pense à plein de gens sincèrement opposés à l’idéologie lepéniste. (Surtout celle de le Pen père qui n’est quand même pas la même que celle de Marine le Pen). A tous ceux qui crient à perdre la voix « à bas le Pen, à bas le Front National » mais qui par leurs actions deviennent les plus purs propagandistes du Front National, contribuent activement, bien qu’involontairement, à l’essor du Front National dans les urnes et dans les esprits.
Je pense aux gens qui, exerçant dans des postes importants ou moins importants, ont appliqué des mesures opposés aux intérêts des classes populaires, ouvriers et  petits employés. A ceux qui ont favorisé la création des ghettos communautaristes dans ce qu’on appelle « Les Territoires perdus de la République", obligeant les gens du peuple à les quitter ou, pour ceux qui n’ont pas les moyens, de subir le diktat des dealers ou des islamistes radicaux.
Je pense aux personnes qui ont favorisé et continuent de favoriser une immigration sauvage, incontrôlée, sachant pertinemment que la France n’a plus les moyens d’intégrer même pas ceux qui sont depuis longtemps sur le territoire national.
Je pense aux maires de certaines communes qui favorisent l’essor d’un islam radical, ennemi des valeurs républicaines, et ceci pour des calculs électoralistes ; en bafouant quelquefois même la légalité, en construisant des mosquées avec l’argent publics, sous le masque de « salles polyvalentes » ou « centres culturels ».
Je pense aux personnes qui critiquent ou s’opposent à l’état d’urgence, tout en sachant que le péril terroriste est plus fort tous les jours.
Je pense à tous les responsables et militants de certains syndicats ou organisations politisés qui pratiquent la politique du pire, s’opposant, souvent d’une manière violente, aux mesures favorisant la réduction du chômage et le redressement de l’économie nationale.
Je pense à des juges fortement politisés qui laissent en liberté des criminels dangereux, et même des terroristes fichés et récidivistes, conduisant à des nouveaux crimes et actes terroristes.
Je pense enfin à ces (soi-disant) associations antiracistes, qui traquent juridiquement tous ceux petits ou grands, qui osent dire la vérité sur ce que beaucoup de monde appelle l’islamo-fascisme (d’après moi c’est plutôt du nazi-islamisme)

A tout ce beau monde qui utilise à ne plus supporter ce slogan  je dis : ASSEZ, TAISEZ VOUS !