dimanche 23 mars 2014

Ecoutes téléphoniques et la STASI

Mais bon sang, c’est bien ça ! Nicolas Sarkozy a bien eu raison de faire la parallèle avec les méthodes de la STASI concernant les écoutes téléphoniques mais aussi au-delà de cet aspect.
Moi, qui ai connu pendant des décennies le bonheur d’être en permanence sous surveillance et à la merci de ces polices parallèles genre STASI, KGB ou SECURITATE me considère suffisamment en connaissance de cause pour  conforter la justesse de sa déclaration.
Nous sommes en France sous la coupe d’une gauche crypto-marxiste, la plus rétrograde, archaïque et intolérante de toute l’Europe, de plus une gauche totalement coupé du peuple sinon contre le peuple comme l’a intitulé un de très rares journalistes de gauche honnêtes (si, si, ca existe, spécimen rarissime) Hervé Algalarrondo. Elle possède tous les leviers du pouvoir politique (la Présidence et le gouvernement, les deux Assemblés, la presque totalité des régions, la grande majorité des départements, etc.) Mais en plus, elle possède deux pouvoirs de choc : les médias (93 % des journalistes sont de gauche) et une grande partie du pouvoir judiciaire avec son fer de lance le Syndicat de la Magistrature organe stalinien pure souche qui ferait pâlir d’envie le cher « regretté » Vychinski, le grand manitou des procès de Moscou.
Or, le système des écoutes téléphoniques à l’excès, ne date pas d’hier ; l’ancien Président de la République, le célèbre maréchaliste à la francisque (ripoliné en socialiste après la libération) a organisé même une cellule de barbouzes pour protéger ses secrets d’alcôve. Avec la même arme, les écoutes téléphoniques !
Revenons aux faits actuels ; notre  Président en exercice a réagi immédiatement, définissant la comparaison comme « insupportable !  Si insupportable que ca ? Voyons !
Si comparaison n’est pas raison, il y a quand même des similitudes plus que troublantes avec les pratiques des pays totalitaires :
-        Nous sommes en démocratie, certes. Mais les pays dotés de polices politiques n’étaient pas aussi des « démocraties » et de plus « populaires » ?
-        Si les agents de la STASI et consorts sortaient des écoles spécialisées dans la police de la vie et la pensée « correcte » nous avons l’Ecole de la Magistrature et l’Ecole du Journalisme qui formatent de la même façon les troupes de moutons ou des loups plus ou moins enragés prêts à mordre toute individu coupable d’une parole ou pensée non conforme.
-        Si dans les pays de la glaciation soviétique tous les organisations légales étaient affidés et collaboraient avec la police politique, nous avons aussi nos associations soi-disant antiracistes et de défense de minorités agissantes qui sont prêtes à venir au secours de la pensée officielle et condamner pénalement, civilement et même tuer professionnellement toute personne coupable de mal penser.
Les similitudes ne sont pas suffisantes ?  Il n’y a qu’à voir le flot de dénégations maladroites, de contradictions flagrantes et surtout des mensonges effrontés (Mme Taubira, la plus dangereuse et la plus antirépublicaines de tous les ministres de la V-e République) concernant la connaissance et l’implication dans l’organisation du système de flicage politique récent. A quelques jours d’une élection dont la déroute de cette gauche était annoncé !
Et on mesure la terreur de ces ploutocrates de gauche devant la furie populaire par leurs réactions  hystériques d’une ampleur jamais connu suite à la lecture de la tribune de Nicolas Sarkozy dans Le Figaro.
Mais leur pensée perverse va bien plus loin ; l’objectif c’est d’abattre Nicolas Sarkozy par tous les moyens, même illégales, en tout cas les plus abjectes. Car c’est le seule homme capable de pulvériser les chances de n’importe quel candidat socialiste en 2017. En son absence, un duel Hollande- Marine le Pen peut sauver la mise de ce cancer mortel appelé le socialisme à la française, maladie déjà à l’œuvre depuis deux ans qui poursuit la tâche destructrice de ce qui reste de notre civilisation.



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