jeudi 17 janvier 2013

L’INTERVETION AU MALI


Quelle que soient les opinions politiques de chacun, quelle que soient les points de vue sur la politique gouvernementale, quand l’armée française est présente sur un champ de bataille, quand des soldats se battent sur un front avec la certitude de perdre des camarades, la seul manière d’agir, il n’y a qu’une seule possible pour des citoyens responsables qui aiment leur pays : soutien unanime.
La grande majorité des responsables politiques français de tout bord ont réagi de cette manière digne, civique et patriotique, il n’est pas nécessaire de les nommer, tout un chacun les connait.
Il est d’autant plus indispensable de soulever l’incongruité de la position singulière des quelques « personnalités » politiques ; j’ai mis le mot entre parenthèses, car au fond, ils ne représentent rien d’autre qu'eux-mêmes… 
Je commence avec l’ancien Premier Ministre (circonstance aggravante !)  Galouzeau de Villepin, plus connu sous le sobriquet de NÉRON attribué par Mme Bernadette Chirac, l’épouse de son mentor et soutien, le Président Chirac. Car si Chirac n’étais pas là, le brave Galouzeau aurait fait toute sa carrière dans la sous-préfecture de Trifouille aux Oies, en faisant des vers pendant son temps libre, soit 16 heures sur 24. Ceci pour sa haute valeur intrinsèque.
Il s’est fait remarquer  plus récemment  comme créateur d’un parti politique que j’ai appelé à l’époque  République Solitaire (1) et non « Solidaire » ; en effet, il fut bien solitaire car ce  parti   fut parmi les plus éphémères que j’ai connus.
Enfin, sorti de son isolement total et avant de prendre sa place bien méritée dans une maison de retraite convenable, il a senti le besoin de se singulariser  en critiquant l’intervention militaire française au Mali, mais évitant soigneusement de relever que cette action est entreprise sous l’égide du Conseil de Sécurité, approuvé par tous les pays et notamment les pays africains, dont des troupes arrivent déjà en renfort pour des opérations au sol.
Un autre « chevalier de la paix » fut notre Pol Pot d’opérette, le célèbre agité de toutes les tribunes (au Tanger où il est né, on lui mettait de la coke dans le lait pour bébés ?) Jean-Luc Mélenchon. De la part de l’ami indéfectible de tout ce qui est dictature d’extrême gauche dans le monde, ce n’est pas étonnant. Heureusement que son Front de Gauche commence à craquer, vu que le communistes mettent pas mal de bémols à ses diatribes contre les socialistes (les braves cocos, sentent l’approche des municipales, où leur seule chance de sauver quelques municipalités c’est l’appui du PS !) sinon il avait un boulevard devant lui, vu les échecs rencontré par le pouvoir actuel dans le domaine socio-économique. Si vous souhaitez connaître ce qu'il nous attendrait dans la probabilité hypothétique d’une arrivé au pouvoir de notre Jean-Luc national, lisez-moi. (2)
Et je termine avec un autre spécialiste fulminatoire contre tout  ce qui est pour et pour tout ce qui est contre,  l’ancien raté de la télé devenu le khmère vert de Beugles : Noël Mamère. En parenthèse, je me demande comment se fait-il qu’il soit toujours élu à Beugles ? Il parait qu'ils existent des lieux où, par la présence de certaines substances dans l’eau ou dans la terre une partie de la population souffre de dérangements endocrines, ce serait une explication ?
Le hic dans cette affaire, c’est que l’imprécateur vert hurle contre ce que ses « amis » (au moins collègues de parti) approuvent au gouvernement. Ne nous posons trop de questions, c’est logique, ça se passe au verts.
Enfin, avec des matadors de tribunes comme ce triplet, les humoristes ont du pain sur la planche ; la partie la plus triste, c’est qu'il y a encore des électeurs pour les soutenir…
Un point hors sujet, mais d’importance ; les autorités algériennes ont procédé d’une manière expéditive, douloureuse humainement, mais la seule qui fonctionne avec les espèces djihadistes : la manière forte. Pour une fois (n’est pas coutume) je les approuve intégralement et je les donne comme exemple aux  « droits d’hommistes » occidentaux qui  ont coutume de discutailler, de négocier, de pinailler avec des spécimens de barbus vaguement humanoïdes pour lesquelles la vie humaine vaut bien moins qu'une kalachnikov.



(2)    http://zissus.blogspot.fr/2012/04/appel-en-faveur-de-j-l-melenchon-qui.html

2 commentaires:

  1. "Car si Chirac n’étais pas là, le brave Galouzeau aurait fait toute sa carrière dans la sous-préfecture de Trifouille aux Oies, en faisant des vers pendant son temps libre, soit 16 heures sur 24. Ceci pour sa haute valeur intrinsèque."

    Excellent. Cela m'a bien fait rire. Galouzeau, je l'ai toujours vu comme un mousquetaire qui fait des moulinets dans le vide. La vacuité, quoi !

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  2. Merci Jean pour ton commentaire; malheureusement, voyant la "stature" des actuels prétendant à diriger la droite, ça ne soulève beaucoup d'enthousiasme (euphémisme) Au FN ça tangue aussi, je ne sais pas s'ils savent ce qui veulent et où ils veulent aller. Quant à l'actuelle gouvernance,je n'ai pas besoin de commentaires, les faits parlent pour eux-mêmes.
    Bonne Année à vous deux au petit et à vos proches.
    Sorel

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