mardi 2 février 2016

LES ULTRA RACISTES (ou les loups sont bien chez nous)

Depuis quelques dizaines d’années,   des associations à vocation antiraciste et humaniste, qui dans les temps anciens ont eu une vénérable réputation, ont peu à peu dérivé vers des groupuscules insignifiants, certaines  infiltrés par des extrémistes et traquant souvent le racisme même là où il n’y avait une seule ombre.
Parallèlement, nous constatons  l’apparition inquiétante des groupes structurés,  bien encadrés et avec des fortes ressources financières occultes qui eux manifestent un racisme d’un autre ordre : racisme contre les blancs en général, contre la civilisation occidentale, ils  distillent une haine non dissimulée envers la France et le peuple français,  les juifs, les républicains et un rejet de la démocratie.
Je me résumerais cette fois à l’analyse d’une seule officine de cet acabit, lel PIR (Parti des Indigènes de la République.)
 Le PIR se présente à l'origine en 2005 comme des «descendants d'esclaves et de déportés africains, filles et fils de colonisés» par la France, avec un discours  suprémaciste  racial des « non-blancs», une copie en miroir de la suprématie raciste des nazis.
Ce parti intitulé initialement « Mouvement des Indigènes de la République » a eu comme origine le soulèvement des banlieues du 2005 qui, chose bien connue, fut une manipulation bien orchestrée et organisée, nullement spontanée.
 Ils prétendent que les successeurs des colonisés d’hier continuent d’être colonisés en France même  par les blancs. Ils sont soutenus par  des militants de diverses obédiences anti-impérialistes et altermondialiste, ainsi que des trotskistes et une minorité de syndicalistes.
Leur discours est très clair à ce sujet : ils se considèrent à l’extérieur du « champ politique blanc », dont tous les partis, je cite : «pensent à travers les intérêts des classes moyennes blanches ou de prolétariat blanc. Ils participent tous à l’exclusion politique des post colonisés et des habitants des quartiers » (discours de la porte parole du PIR, Houria Bouteldja)
Dans une émission à la télévision française  elle a eu l’audace de déclarer : « c'est le reste de la société qu'il faut éduquer, (…) c'est le reste de la société occidentale… Enfin de ce qu'on appelle, nous, les “souchiens”, parce qu'il faut bien leur donner un nom, aux “blancs”.»
Le mot « souchien » étant une inversion de « français de souche » défini  dans son langage ordurier  les français blancs comme étant inférieurs à la race canine. Discours provenant d’une personne éduquée dans le système universitaire français qui a obtenue tous les avantages que la France accorde à tous ses citoyens, sans distinction de race, couleur de peau ou religion.
Le PIR dénonce pêle-mêle la loi de 2004 sur les signes religieux à l’école, la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public,  (la loi sur le voile intégral) en affirmant que l'esprit de la laïcité de la loi de 1905 est actuellement  un vecteur d'islamophobie,  et provenant d’une « démarche colonialiste blanche».
Le 8 mai 2008, jour anniversaire de la répression des émeutes musulmanes de Sétif en 1945, les Indigènes ont animé dans Paris une «marche décoloniale» conviant les «immigrés, noirs, arabes» à pourfendre «la République raciste et coloniale».
Mais le PIRe arrive. Non contents de cracher et insulter la France et les blancs à longueur de journée, maintenant ils exigent le pouvoir haut et fort !
Louisa Yousfi dans un article publié le 7 décembre 2015 sur le site du parti  écrit : « Nous voulons le pouvoir ! », slogan asséné mille fois, ne rencontre que peu d’oreilles qui veuillent bien lui accorder quelque crédibilité. Or, oui, le PIR veut le pouvoir ! »
Et encore :
 « J’ai osé arracher la parole au monopole des blancs. Quand je dis “j’existe“, il ne s’agit pas d’une affirmation identitaire, mais d’une revendication collective : mon père, ma mère, mes frères et sœurs, tous ceux qui sont unis par une condition commune, un adversaire commun – le pouvoir blanc – et une lutte commune – la lutte décoloniale -. »
Le 31 octobre 2015 une « Marche de la dignité » est organisée dans les rues de Paris réunissant de 5 à 10000 personnes. Parmi les participants, en dehors du PIR, le groupe MAFED présenté comme une organisation de « femmes racisées, féministes et révolutionnaires », mais aussi le Parti Communiste et Clémentine Autain du Parti de Gauche, l’UIOF (la branche française des Frères Musulmans) le CCIF (Comité contre l’islamophobie en France), les Indivisibles, Oumma.com, Junta islamica et j’en passe.
Houria Bouteldja, le porte parole du PIR prononce un discours mémorable ou elle ne cache plus leurs but final :
« Autonomie par rapport au champ politique blanc en général »
« Priorités de l’immigration et des quartiers et non plus les priorités des prolétaires et classes moyennes blanches portées par la gauche »
Et le summum :
« Nous, habitants des quartiers, Noirs, Arabes, Musulmans, Rroms serons en capacité de construire l’avenir. Je terminerai donc par la parole de ces hommes et de ces femmes noirs, partisans du « Black Power » qui ont déclaré un jour : « Nous serons des mendiants tant que nous ne penserons pas à la question du pouvoir ».
Cerise sur le gateau, le PIR ne se limite aux saillies contre «les Blancs»  ; il a twitté  le 19 octobre 2015 ce message : «Les jeunes Palestiniens nous enseignent comment résister». A lire, même pas au deuxième degré, il incite leurs nervis à poignarder nos concitoyens !
En conclusion, leur stratégie est claire : ils veulent susciter une très grande révolte des banlieues menant une guerre civile sanglante pour prendre le pouvoir, balayer tous les institutions républicaines et instaurer une dictature dans laquelle les blancs serons parqués dans des   bantoustans  à l’image inverse de l’ancienne Afrique du Sud du temps  de l’apartheid.


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